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 Chapitre 31 - L'orage...

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MessageSujet: Chapitre 31 - L'orage...   Chapitre 31 - L'orage... Icon_minitimeMer 19 Jan 2011 - 20:46

Chapitre 31 - L'orage...


Le lit est un peu dur, mais ce n'est pas dérangeant aux fesses de nos amis qui s'étendent là nus comme des vers et se caressent mutuellement dans une découverte de l'autre toute nouvelle. Yves a l'impression que Benjamin a fait ceci des tas de fois, et pourtant, à part quelques attouchements avec d'autres enfants de choeur ou du catéchisme, c'est vraiment sa « première fois » !

Yves étant à présent rompu à cet exercice de découverte, il sait comment caresser son partenaire, et Benjamin imite tout ce qu'il lui fait, en sorte que si Yves souhaite quelque chose, il lui suffit de le faire lui-même à Ben pour que celui-ci lui rende la pareille.

Ainsi, après quelques caresses de découverte du corps de l'autre, Yves fait entrer ses lèvres en action, partant des pieds de Ben pour remonter doucement vers le creux des genoux, les cuisses, puis les bourses de Benjamin, pour avaler l'une après l'autre ses couilles et les faire rouler dans sa bouche. Ensuite, il lèche la queue de son partenaire par petits coups, avant de la prendre en bouche après s'être attardé quelque peu sur le gland.
Benjamin suit l'action pas à pas, ou plutôt... de coup de langue en coup de langue, de caresse en caresse : il apprend vite, et ce qu'il apprend lui plaît énormément, car il a la sensualité innée : il a toujours aimé les câlins, ceux de sa mère Eunice d'abord, puis ceux d'Armand, plus bourru cependant, mais aussi ses petites découvertes avec ses petits copains d'église. Mais là, avec Yves, il est vraiment à son affaire, et tandis que l'orage gronde au-dessus de leurs têtes, des éclairs zébrant le ciel et la pluie battant les vitres, il déguste littéralement son nouveau petit ami qui lui apprend à aimer autrement : avec les mains ! Et comme il est un manuel... ça lui va très bien !

Yves est heureux de faire plaisir à ce grand gars si doux, et c'est avec amour qu'il suce  la queue de Ben, tant et si bien que celui-ci, à un certain moment se met à gémir et à tenter de retenir son plaisir, mais il n'en peut plus et il jouit brusquement, inondant la gorge d'Yves de longs jets généreux et puissants. Yves en étouffe presque et doit renoncer à avaler toute cette manne qui lui coule de la bouche, alors il se met à en graisser la rosette de Benjamin, ce qui fait gémir celui-ci à nouveau, car c'est là une caresse buccale qu'il ignore tout à fait et dont la découverte le fait se tordre de plaisir, prolongeant ainsi sa jouissance d'il y a un moment.

Yves, tout à son affaire, voit que la rosette de Ben s'ouvre comme une fleur au soleil de l'amour, et il le travaille à présent d'un doigt, puis de deux, et enfin, il demande à Ben de monter ses jambes sur ses épaules à lui...
L'instant d'après, c'est son gland gonflé de désir qu'il présente à l'orifice vierge encore de Benjamin, et y introduit doucement son jeune poireau.
A partir de là, Ben gémit de plaisir de manière continue, car la douceur d'Yves lui procure un plaisir fou : il n'a rien senti de l'introduction de sa queue, et les mouvements de va et vient que son jeune ami pratique à présent le rendent heureux au delà de ce qu'il pourrait dire : « oh oui, Yves, vas-y, je t'aime, c'est bon... » sont les mots qui lui viennent aux lèvres tandis que son jeune amant le travaille maintenant depuis un petit quart d'heure, jusqu'à ce que, n'y tenant plus, il accélère ses mouvements pour se mettre à gémir aussi.
Alors Ben l'encourage, et il vient dans un cri d'abandon et de jouissance énorme, tandis que Ben jouit lui aussi pour la seconde fois déjà !...

Yves s'est laissé tomber sur Ben, leurs semences mêlées entre eux, les collant l'un à l'autre comme pour toujours.
Ben caresse à présent la tête de son jeune amant en lui disant des mots doux sans arrêt, tandis que celui-ci, épuisé, se laisse faire par ce grand nounours qui le cajole comme un bébé...


Dehors, l'orage tente doucement de s'arrêter et diminue d'intensité, progressivement.
Chez Eunice, quand Pierre est arrivé trempé chez elle, elle a eu le même réflexe que si cela avait été son Benjamin : elle a sorti une grande bassine de cuivre dans laquelle il prenait toujours son bain, étant petit, et elle y a mis à chauffer beaucoup d'eau, tandis qu'elle obligeait Pierre à se déshabiller car il grelotte à présent. Alors, elle sort un grand essuie de bain et se met à frictionner celui-ci comme elle l'aurait fait de son fils.

- Je vais te mettre l'eau chaude dans le bain, mon garçon, mais avant, il faut te frotter pour que tu ne prennes pas froid, car tu étais trempé comme une soupe, mon grand !
- Mer... merci Eu... Eunice, bredouille Pierre qui se demande ce qui lui arrive. Ca va aller vous savez...
- Bah, laisse-toi faire mon gars, tu n'auras pas froid ainsi !

A ce traitement, le pauvre Pierre reprend vite de la chaleur et, chaud lapin comme il est, il se met à bander dans le grand essuie d'Eunice, ce que celle-ci voyant, elle le charrie :

- Beh dis donc, mon grand, t'es pire qu'un âne qu'on débourre, dis donc !
- Ex... excusez-moi, Eunice : c'est votre traitement vigoureux qui me...
- ...qui te fait de l'effet ?
- Beh dis donc, mon gars, tu vas vite aller au bain, toi !

Pierre se demande ce qui lui arrive : Eunice n'est pas vieille, bien sûr, et même encore jolie, après tout, mais lui ferait-elle tant d'effet, ou bien c'est son traitement vigoureux qui a éveillé sa libido ?

Entre-temps, Eunice a empoigné son chaudron d'eau, bouillante maintenant, et a été le vider dans la baignoire de la salle de bain toute proche, et invite le garçon à s'y tremper dès qu'elle a ajouté l'eau froide nécessaire.

- Voilà, mon gars ! T'as plus qu'à faire trempette, peuchère ! Prend ton temps !
- Merci Eunice, vous êtes trop bonne.

Pierre s'étrille à nouveau dans le bain bien chaud et, comme il est seul à présent, il en profite pour se faire plaisir par une bonne branlette, l'eau chaude lui ayant rendu sa belle « bandaison » !

Ainsi les cousins, même à deux endroits différents, ont pu satisfaire leurs jeunes envies...
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