J' ais lu et relu cette lettre et à la longue, ma colère disparaissait car je savais que mon frère m' aimait et que je n' avais pas à être jaloux de ses aventures .
Mais qu' allais-je faire de mon week-end car avec Luc à l' hosto et Phil à Namur ?
Sans parler que la météo nous promet de la pluie, pour pas changer .
Le samedi matin, en rentrant du marché avec ma mère, il y avait du courrier dans notre boîte aux lettres .
Je pris le paquet d' enveloppes,le rythme de mon coeur s' accélérait car j' avais reconnu la couleur du papier à lettres de Phil .
Je ne me suis jamais autant dépêcher pour monter les escaliers !
J' avais encore le temps de lire sa lettre avant le repas et c' est avec nervosité que j' ouvris l' enveloppe .
Que me raconte-t-il cette fois-ci ?
- Mon petit frère adoré, j' espère que tu n' est pas trop fâché ? Saches que je t' aime et que tu resteras mon petit frère .
- Tu sais après les ébats que j' ais eu avec Yves, nous nous sommes endormis enlacés tous les deux mais, qu' es ce qu' il peut parler en dormant !
- Je suis sûr qu' il n' est pas si innocent qu' il veut le faire croire car dans son sommeil, il parle de Pierre et de Ray mais surtout de Pierre et ces deux là, je pense qu' ils ne doivent pas s' embêter !
- Au réveil, il a fait l' étonné et il ne comprenait pas que j' étais dans son lit alors, j' ais dû lui rafraîchir la mémoire .
- Avec douceur, il m' a déposé un baisé dans le coup et nous nous sommes embrassés tendrement .
- Il voulait plus mais nous devions nous préparer pour les cours alors, je verrais bien ce soir ce qui va se passer et je te le dirais dans ma prochaine lettre .
- Je t' embrasse bien fort .
Là franchement, il exagère un peu !
Il ne va quand même pas tout m' expliquer, je n' en demande pas autant .
En début d' après-midi, je me décida d' aller voir Luc .
Lorsque la porte s' ouvrit, une ravissante femme se présenta à moi :
- Tu dois être Claude ?
- Oui madame, je viens voir Luc si vous le permettez
- Tu n' as pas de chance car il est de nouveau à l' hôpital, nous avons dû appeler une ambulance cette nuit
- Oh ! C' es grave ?
- Non, juste des complications et les medecins m' ont promis qu' il serait à la maison pour le week-end prochain .
- Bien dans ce cas vous lui direz que je suis passé et je reviendrais dès que possible .
La porte se refermat me laissant bien pensif .
Zut, zut et rezut, quel week-end !
A peine installé devant mes cahiers, voiçi que le temps se déchaîne .
Une véritable tempête et la grêle cognait tellement fort contre les vitres que de temps en temps, j' allais voir ce qui se passait derrière mes rideaux .
Il faisait noir, les gens couraient, les arbres pliaient tellement que le vent était fort mais au milieu de ce déluge, une situation qui m' intriguait :
Le bus venait de passer et dans l' abri-bus, un jeune homme y était resté .
Il regardait souvent vers notre immeuble et se comportait comme si il avait rendez-vous .
Je ne tenais plus en place et le temps de me changer, je me retrouve face à lui .
- Pascal, mais que fais-tu là ?
- Ah, Claude, surpris ou déçu ?
- Dis pas de conneries, suis super content de te voir mais viens, ne restons pas là .
Pendant que j' ouvris la porte, il s' était collé contre moi et je pouvais sentir sa queue .
- Hé, recule un peu, tu t' imagines si on nous voit ainsi ?
- Avec le temps qu' il fait, je doutes fort que quelqu' un nous voient .
Je présenta Pascal à ma mère comme copain de classe .
- Mon dieu, dans quel état êtes-vous !
- Vous allez prendre une bonne soupe bien chaude mais avant allez vous changer et prenez donc une douche, le boiler est encore plein .
Là, ma mère n' aurait pas pû faire mieux et sans le savoir, elle sera responsable de ce qui suit !
A peine la porte de la salle de bains fermée, je l' ais coincé contre le mur pour l' embrasser .
Nos langues se sont entrelacées pour fêter ces retrouvailles.
Corps contre corps, nos jean's trempés nous aidant, nos pulsions étant au maximun firent que nous étions nus plus vite que la lumière du son !
Nos queues étant au garde à vous, l' une contre l' autre, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous carresser tout en se savonnant .
Lorsque la porte s' ouvrit et ma mère présente !
- Maman, quand même !
-Oh ! Claude, arrête un peu, j' en ais déjà vu avec mon âge !
- Je prends simplement vos vêtements mouillés car il faut les sécher .
La porte refermée et malgré ma crainte qu' elle ne revienne, j' entrepris de savonner Pascal qui ne demandait que cela .
Mes doigts étaient devenus très agiles et parcouraient inlassablement ses fesses pour s' arrêter sur son petit trou que j' excitais au maximun !
Il ne tenait plus en place et m' aida à introduire plusieurs doigts dans son intimité !
C' était clair dans ma tête : il voulait que je le pénètre et il allait être comblé !
Mon gland se présenta à l' entrée et par un geste de Pascal, il entra très profondément en lui .
Je commençais un lent va-et-vient pendant qu 'il se branlait .
Mon excitation était telle qu' il ne m'a pas fallut longtemps pour décharger tout mon jus dans ses entrailles .
Cette fois-ci, je me suis vite retiré car je voulais le sucer et l' empêcher de gaspiller son jus .
Sa queue était fière, son gland virait au violet, il fallait faire vite et j' ouvris ma bouche pour l' acceuillir .
Il tenait ma tête avec ses deux mains et insistait pour arriver au fond de ma gorge .
Un dernier coup de reins et des jets imposants m' inondaient !
En sortant de la salle de bains, nous pouvions sentir une bonne odeur de soupe et c' est avec une serviette autour de nos tailles que nous nous dépêchons d' aller en cuisine .
Ma mère nous regardat avec ses grands yeux :
- Faut pas vous gêner, allez vous habiller sinon rien !