Chapitre 38 - Monsieur Antoine

Le lendemain, Monsieur Antoine appela les deux garçons après la fin des cours et les invita à venir le trouver dans sa chambre, qui est la chambre 2 de l'Hôtel où ils étaient hier, juste prêt de la porte de service ce qui sera assez pratique...

Il leur dit qu'il savait ce qui s'était passé avec "Monsieur Bernard", ce client qui vient souvent le weekend, car la semaine il voyage pour ses affaires et loge donc ailleurs.

- Je connais très bien ce Monsieur Bernard, et nous sommes assez amis depuis longtemps...
- Assez amis pour baiser ensemble ? ose demander Phil.
- Eh bien oui, mon garçon, ainsi tu pourras voir que je m'y connais assez bien en caresses de toutes sortes, et je continuerai votre éducation sexuelle que Monsieur Bernard a commencée : ainsi, vous serez vite des experts !
- Vous savez, on commence à se défendre déjà...
- Je n'en doute pas mes amis ! A ce soir pour voir ça : venez dès l'extinction des feux à 22h, ok ?
- Bien m,sieur ! firent ensemble les garçons.

Et nos deux amis rentrent chez eux faire leurs devoirs en attendant le souper, puis, celui-ci étant terminé, ils étudièrent encore un peu avant d'aller prendre une douche. Ensuite, ils enfilèrent leurs vêtements collants de la veille pour éveiller la libido de Monsieur Antoine...

Après 22h, dès que le surveillant soit passé dans leur couloir voir si tout était éteint, ils sortirent sans bruit et se rendirent à l'hôtel et entrèrent par la porte de service, située du côté de l'école, heureusement. Personne n'avait pu les voir.

Aussitôt entrés, ils grattèrent à la porte n°2, et entendirent "entrez !" derrière la porte.
Phil poussa donc la porte et s'effaça pour laisser passer son jeune condisciple devant lui et le suivi dans la pièce.

"Monsieur Antoine" était assis dans un fauteuil, mais se leva à l'entrée des garçons :

- Entrez mes amis, et mettez vous à l'aise sur mon lit, je vous suis...

Les garçons, un peu intimidés allèrent jusqu'au lit et s'assirent sur le bord de celui-ci, attendant que leur hôte fasse les premiers pas.
Monsieur Antoine les poussa un peu et s'installa entre eux deux :

- Mes amis, ne soyez pas timides, vous connaissez un peu la musique maintenant, non ? Alors, nous allons nous déshabiller et le lit est là pour accueillir toutes nos folies, d'accord ?
- D'accord, Monsieur Antoine, dit Phyl en enlevant son t-shirt qu'il fit passer au-dessus de sa tête, tandis que Yves l'imitait en tous points.

Après le haut, ils enlevèrent leurs baskets, leurs chaussettes et leur jeans, mais gardèrent leurs slips, timidement...
Sur ce temps-là, Monsieur Antoine avait fait pareil et fut le premier à ôter son slip qui cachait une queue longue et fine, déjà bandante !

- Voyez l'effet que vous me faites, les garçons ! Enlevez-moi ces derniers remparts à la volupté et couchons-nous sur le lit, moi au milieu de vous deux, et caressez-moi, j'adore ça !
- Nous aussi, M'sieur Antoine, nous aimons les caresses, vous savez ! dit Phyl avec un sourire en dévoilant sa nudité.
- Ah mais c'est très bien, et vous aurez votre part de caresses les gars, venez vite me rejoindre !

En effet, Monsieur Antoine s'était vite couché sur le dos et attendait les garçons, Phyl à gauche, Yves à droite, et tandis que ceux-ci lui caressaient timidement la poitrine, lui touchait directement les bites des garçons pour les travailler un peu et les faire durcir très vite.
Il ne fallut pas longtemps pour que tous les trois soient en forme, et Antoine se mit à embrasser d'un côté, puis de l'autre, puis ses lèvres descendirent rapidement sur le corps d'Yves dont il engouffra de manière gourmande, avec un grognement, sa jolie bite dressée !

- Mmmmh, mon garçon, ta bite est délicieuse ! Phyl, lèche-lui donc le cul pendant que je suce ton copain ?
- Ok, m'sieur Antoine...
- Et appelez-moi Antoine tout court quand nous sommes en intimité, ok ?
- Ok Antoine ! firent les garçons en coeur.

Et Phyl se mit à lécher la rosette d'Yves, tandis qu'Antoine le suçait savamment, ce qui fit que le pauvre Yves gémissait de bonheur très vite, et il ne fallut pas longtemps à ce régime pour qu'il crache dans la bouche d'Antoine quelques longs jets de bon jus juvénile !

- Mmmh, mon gars, tu es délicieux !  Maintenant, je vais te prendre en douceur, tu vas voir, et toi Phyl, occupe-toi de sa bouche et de ses tétons.
- D'accord Antoine...

Et tandis que Phyl changeait de place, Antoine tira sur les jambes d'Yves pour amener son cul sur le bord du lit et releva ses jambes et présenta sa longue bitte au trou du garçon...

- Vous ne me ferez pas trop mal, m'sieur !
- Non, t'inquiètes pas mon gars : Phyl t'a bien préparé et tu es tout ouvert là, ça ira très bien, et j'irai doucement.

En effet, Phyl avait bien préparé Yves et son anus était ouvert dans l'attente de la suite qui vint très vite car Antoine mit un peu de gel sur un doigt et l'introduisit entre les fesses d'Yves qui gémit à nouveau de bonheur. Bientôt, Antoine remplaça son doigt par sa bite et poussa très doucement, s'enfonçant sans problème entre les fesses du garçon. Puis, se trouvant au fond, il se mit à remuer doucement d'abord puis plus vite et Yves sembla assez vite prendre son plaisir, d'autant plus que Phyl ne restait pas à rien faire, au contraire : il avait embrassé son compagnon, puis il suça les tétons et il joua avec ceux-ci, tandis qu'il présentait sa bite à la bouche de son compagnon, qui ne se fit pas prier et le pompa en cadence, celle donnée maintenant par un Antoine aux anges !

Bientôt, celui-ci poussa un grognement, tandis qu'il se tendait au fond de sa victime, lui lâchant toute sa semence dans les entrailles !
Se retirant alors, il invita Phyl à le prendre à son tour :

- Vient Phyl en moi, car tu n'as pas encore été fort gâté jusqu'ici, et j'aime aussi jouir du cul !
- Ouais, t'es un p'tit pervers, mon Antoine ! dit Phyl en lui introduisant un doigt garni de gel dès qu'Antoine fut en position, et le voyant s'ouvrir directement, il l'embrocha d'un coup !

- Oh, doucement, jeune étalon ! protesta Antoine, vas-y en douceur, puis tu accéléreras...

Phyl ne se fait pas prier, et durant 10 bonnes minutes lime le professeur de plus en plus vigoureusement, jusqu'à le bourrer brutalement quand il vit que celui-ci aimait cela :

- Oui, oh oui, mon gars, on ne m'a jamais pris aussi bien, tu es un champion déjà, vas-y, lâche-toi, donne-moi tout ton jus !

Phyl ne se fit pas prier, et bientôt, il lâcha 5 longs jets bouillants dans le cul de "Monsieur Antoine", le bon professeur !

- Aaaaah, c'est trop bon joui celui-ci en même temps que Phyl l'inondait copieusement, merci mon gars, je m'en souviendrai...

Après cela, il offrit aux garçons un petit Porto et des biscuits secs pour qu'ils se remettent de leurs émotions et les renvoya dans leur chambrée, en leur promettant de les revoir quand ils voulaient :

- Du moment que nos bons points suivent, Antoine, tu auras mon vit dans ton cul autant que tu veux ! fit Phyl.
- Ne sois pas si vulgaire, mon garçon, je vous aime doux comme des agneaux, et je sais que les agneaux aiment les douceurs : vous aurez, chez moi, les meilleurs points de l'école !

Sur ces promesses alléchantes, les garçons retournèrent rapidement dans leur chambre, heureux d'avoir expédié tout cela en une heure à peu près, et ils s'endormirent directement !