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 Envoyé par "Sextan"

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MessageSujet: Envoyé par "Sextan"   Envoyé par "Sextan" Icon_minitimeVen 2 Déc 2016 - 13:58

Histoire de Sextan :

Il est quinze heures et la chaleur est suffocante, je me taperais bien une mousse, mais le boss est pas pour, et vu qu'il en à viré deux la semaine dernière, je fais gaffe...plus que trois étages avant d'arriver en enfer sur cette putain de terrasse. D'un coup de langue je recueille les rigoles salées qui coulent sur  ma tronche .
Le sac de ciment me scie les épaules, la sueur ruisselle sur mes flans et dans mon dos en marquant ma combinaison de trainées sombres jusqu'à mon calbut bon à essorer...Ma gorge asséchée par la poussière est cartonnée et ma langue semble avoir doublée de volume. Bon dieu qu'est-ce que je donnerais pas pour une bibine, vivement ce soir. J'ai maintenant envie de pisser et pas trop envie de me retaper la descente. Je stoppe donc à l'avant dernier niveau, dépose mon sac au bord d'un échafaudage et m'avance dans la pénombre à la recherche d'un coin tranquille...
Les bruits se sont atténués, et la relative fraicheur du lieu me repose les neurones. Je stoppe dans l'angle d'une cloison, fait glisser ma fermeture éclair et sors ma queue trempée de sueur quand j'entends derrière moi un pas qui approche. Bordel, on peut pas être tranquille. Je remballe mon matos et me glisse discrètement dans un cagibi attenant.
De ma planque, j'ai l'enfilade du futur couloir et vais donc laisser passer le quidam...Je vois à contre-jour se pointer une silhouette massive qui stoppe  à trois mètres de moi. Il se retourne, s'appuie au mur, soupire, ouvre sa ceinture et dégrafe lentement  son jean.....
Je suis tétanisé, c'est Alberto, un chilien magnifique à qui j'ai adressé la parole une paire de fois, qui vit apparemment seul en foyer, et  reste à l'écart des autres ouvriers, toujours très discret. Il ouvre son falzar doucement et en écarte les pans à deux mains. Çà commence à être chaud, et ma queue s'étire le long de ma cuisse. Putain! j'avais eu un aperçu de sa tube sous les douches, mais là je vais être aux premières loges. Bien qu'il fasse sombre, j'aperçois parfaitement sa main droite quitter le jean et monter  doucement vers le téton gauche qu'il commence à agacer à travers le marcel. Tout en se tripotant lascivement, sa main droite s'est égarée dans le slibard qui commence à prendre des proportions intéressantes. Ma queue elle aussi s'étire douloureusement et je m'empoigne la barre à travers le tissus détrempé.
Des idées salaces commencent à m'assaillir. Il libère maintenant son gourdin qui  a pris des proportions hallucinantes. Il bande à moitié mais sa queue est énorme.....et il commence une sturbe lente et appliquée. Je suis au bord de l'implosion et descend doucement la fermeture éclair pour pouvoir me branler aussi. Merde...... le  zip  fait un crissement discret mais parfaitement audible. Ma main suspend son geste, je guette.
Le salaud braque directement son regard sur le cagibi, se tourne légèrement vers moi, une épaule toujours collée au mur et dans une voix rendue rauque par la nicotine me balance avec cet accent sud Américain inimitable :
- " tu peux sortir mec, je t'ai déjà vu mater dans les douches, je sais que t'es une fiotte, viens par là on va s'amuser un peu "

Je suis tétanisé ne sachant plus quoi faire. Le mec se met alors en mouvement, viens lentement vers moi en maintenant son pantalon d'une main et me pousse fermement dans un recoin du réduit sous un vasistas dont il écarte légèrement la toile de protection afin de faire un peu de lumière. Il me fait maintenant face, et me dépasse d'une bonne tête. Sa gueule carrée est noircie d'une barbe de trois jours dont la peau olivâtre huilée de sueur brille faiblement.  Un sourire narquois barre sa tronche, l'éclairant du trait immaculé de ses dents. Il m’agrippe des deux mains et m'attire à lui lentement...

Le regard rivé au mien. Nos bouches se rapprochent dangereusement mais juste avant de s'unir ses mains m'imposent une pression insistante vers ses bijoux de famille. Je n'ai pas d'autre choix que de m'agenouiller dans la poussière de plâtre, face à son paquet. Son nœud  toujours aussi bandé est couronné d'un gland énorme et cramoisi dont le méat suinte déjà son filet de mouille .
J'ouvre grand le becteur, pas sûr de pouvoir engloutir l'engin. Une de ses pognes exerce une pression appuyée sur ma nuque et je commence à engloutir lentement le morceau. Je bave comme un moutard et l'avale en pleurant centimètre par centimètre jusqu'à avoir le nez dans ses poils odorants. Il se retire de mon gosier et replonge aussi sec jusqu’à la glotte. Putain, je crois que je vais gerber.
La crevure me sentant harponné baisse son slip aux genoux, libérant une énorme paire de burnes pendantes. Le scénario commence sérieusement à m'échauffer et tout en lui tétant le dard, je m’empare de ses couilles que je malaxe d'une main comme un malade. Mon autre main a plongée vers mon entrecuisse et je commence à me branler au rythme de ses coups de boutoir.  
Il apprécie et feule en balançant son bassin de plus en plus violemment. Sa bite veinée est toute luisante de salive, et le va et vient s'accélère. Il a maintenant remonté le marcel et se malaxe les tétons à deux mains .  Je sens la sauce  monter...je lâche ma hampe et tout en le pompant comme une trayeuse je m'enfonce  deux doigts  dans le derche et me défonce la chatte à la cadence de sa baise. Il accélère le mouvement et je sens monter son venin. Je vais gicler aussi et me démonte le trou de balle.
Il me saisit par les deux oreilles, enfonce son calibre au fin fond de ma gueule et lâche des giclées de foutre en criant comme un marteau. J'explose en même temps et libère des litres de sperme qui viennent se perdre dans les résidus de plâtre du sol.....
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Envoyé par "Sextan"
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