Sans cesser de m'embrasser, toujours à genoux devant le canapé sur lequel je suis allongé, Pierre défait la ceinture de mon peignoir et en écarte lentement les pans, dévoilant mon torse imberbe et finement musclé, mon ventre plat, mes cuisses lisses et mon slip blanc super-tendu.
Ses doigts s'activent sur mes tétons, les caressent, les pinçotent, et je découvre des sensations que mes propoes palpes n'avaient jamais provoquées avec autant d'intensité.
Lorsque ses lèvres quittent les miennes pour aller parcourir mon cou, mes gémissements de plaisir se font entendre, d'autant qu'entre deux succions, il murmure : "Abandonne-toi jeune amour. Exprime ton bonheur qui accroit le mien".
Sous l'effet de ces baisers et de l'excitation de mes tétons - que je n'avais pas imaginés aussi sensibles -, je me mets à vibrer de tout mon corps, à haleter, à mouiller davantage encore mon slip blanc à poche.
Peu à peu, Pierre poursuit l'exploration de ma petite personne; ses lèvres sont maintenant sur mes seins qui se tendent de plus en plus, ses paumes de mains passent doucement sur mon ventre et mes hanches , avant de se porter sur mon slip.
Puis, il écarte tendrement mes cuisses pour en palper l'intérieur et mordille mon dessous, provoquant un râle de ma part et en bégayant un "Piiiieeerrrre" plein d'émotion.
Avec ses dents aidées de deux doigts, il fait glisser mon slip sous mes couilles, libère ma queue glorieuse de ses 19X5 et y dépose un "bisou". Me décalottant doucement, il lèche la mouille de mon gland.
Sans doute sent-il qu'à me sucer ou masturber, il me ferait éjaculer trop rapidement?Toujours est-il que, redressant le visage de mon bas-ventre, il retire complètement mon slip, me fait asseoir sur le canapé pour me dégager du peignoir et me mettre totalement nu.
Un peu dans les "vaps" - il est vrai - après toutes ces découvertes, je me laisse faire docilement.
Pierre me prend alors dans ses bras comme si j'étais un enfant et bien que mes taille et poids soient semblables aux siens.
Je me donne à lui et, éperdu de bonheur, le conduis vers ma chambre lorsqu'il me dit : :"Mène-moi à ton lit, Alexis Chéri. Allons nous y aimer".
Tel une jeune mariée enlevée par son nouvel époux, je me laisse emporter.