A 19 heures, les cloches de l'église Saint Martin d'Ainay me réveillent et j'ai du mal à émerger de ma torpeur, à réaliser que je suis nu sur mon lit, que j'ai précédemment joui dans la gorge de Pierre et que celui-ci n'est plus à mes côtés.
Ma panique est de courte durée car je constate rapidement que mon amant a laissé sa montre sur la table de nuit et, en entrebaillant la porte de ma chambre, qu'il parle avec le serviteur Hi.
Me rendant à ma salle de bains pour une douche rapide et une légère onction d'eau de toilette, je constate que le dévoué vietnamien a rapporté mes slip et peignoir ôtés par Pierre dans le petit-salon. Après mes ablutions, je remets ce dernier linge et, pieds nus, vais rejoindre les deux hommes.
Ils sont dans une petite salle à manger (il en exsite une autre plus vaste pour les repas en nombre) et achèvent de préparer une table de fête avec cristal, porcelaine et chandelier.
Pierre a remis son costume/cravate et je me précipite dans ses bras, l'embrassant fougueusement sous le regard attendri de Hi.
Puis, Pierre qui a profité de mon sommeil pour aller faire quelques courses, décaler téléphoniquement un rendez-vous du lendemain pour le porter à 10 heures 30 près de BELLEY, monter sa petite valise restée dans sa voiture,
Pierre, donc, me prend par la main et me dit : "Retournons au petit-salon. Hi y a déposé un plateau à apéritifs".
A peine sommes-nous installés sur le même canapé que celui occupé en milieu d'apres midi qu'Hi m'apporte le téléphone mobile et déclare pompeusement : 'Monsieur Alexis, Madame votre Grand-Mère est à l'appareil".
La conversation me rassure sur les bons voyage et arrivée en ARDECHE de l'aieule qui, invitée à dîner par des cousins-voisins, ne s'attarde pas au fil.
Ne perdant pas son temps durant ce dialogue, Pierre ôte mon peignoir et me fait asseoir nu sur ses genoux.
Le mobile posé, il me glisse à l'oreille : "Alexis amour, tu me permets de réaliser un fantasme qui m'anime depuis plusieurs mois :celui d'être vêtu auprès d'un jeune homme qui ne l'est pas".
S'en était-il entretenu précédemment avec le domestique asiate, alors que je dormais? Sans doute, car Hi revient au petit-salon avec un appareil photo et nous invite à poser devant son objectif.
Assis en équerre sur les genoux de Pierre, pieds sur les coussins du canapé, ma jambe de premier plan est relevée pour masquer pudiquement mon sexe.
Mon super-quadra et moi, nous sourions, exprimant la plénitude de notre amour.