Pierre s'allonge sur mon lit et me regarde disposer sur la cheminée le "plug" de nacre grise. Amovible, un joli socle d'ardoise noire maintient le bibelot debout, tel un menhir miniature .....
mais, toujours sybillin, mon Professeur d'amour précise que l'objet de décoration serait muni d'un autre "bout" pour les usages personnels auxquels il avait fait allusion durant le repas et dont je commence à deviner la nature.
Dans la glace qui surplombe la cheminée, le corps de Pierre est terriblement tentant .... d'autant que l'homme tend les bras dans ma direction pour m'accueillir sur lui.
Alors je me retourne et vais nonchalamment vers mon amant, ondulant légèrement, quelque peu "pute", ce qui ne fait que nous exciter davantage et provoque chez chacun une sortie de langue pour lécher nos babines.
"A toi de jouer et de montrer ce que tu sais faire", murmure l'éducateur-guide que je fais rouler avec moi sur la couette.
Embrassant fougueusement mon compagnon et massant sa croupe .. j'imite ce qu'il me prodigua dans l'après-midi. Et, toujours dans le souvenir des moments passés,
je bloque Pierre sous moi,
frotte mon sexe contre le sien, provoquant ainsi des écoulements de mouilles,
porte mes lèvres sur le cou de l'examinateur qui me demande d'agir doucement pour éviter des suçons manquant de discrétion,
puis, dans une reptation descendante sur le "recto" désiré, mes lèvres et mes doigts atteignent les seins du bo-quadra, ses aréoles brunes plus larges que les miennes, ses tétons plus épais et qui se mettent à durcir dès ma premiàre lape.
Les gémissements de Pierre me rassurent sur mes talents de lécheur et augmentent mon plaisir à faire vibrer pour la première fois le corps d'un autre.
Mon amour m'encourage, haletant des "Oh Ouiiii, chéri", donnant aussi parfois quelques directives : "sois plus tendre, ne mordille pas trop fort, pince plus doucement".
Lorsque Pierre soulève ses bras, je sais que le moment est venu de titiller ses aisselles, de les renifler, d'en humidifier les poils. Au départ, les effluves dégagées et l'acreté de la sueur me déplaisent quelque peu, mais je m'y habitue vite et, mieux encore, commence à les apprécier.
Pour ma part, je ne trouve pas grand intérêt à passer ma langue sur les pieds de mon amant, à les presser entre mes mains. Mais, comme c'est lui qui porta ses plantes et orteils à mon visage, qu'il ressent quelque plaisir à mes caresses et "lapes", je ne bâcle pas cette exploraton des extrémités présentées.
Toutefois, je ne suis pas mécontent d'être invité à autre chose, de voir mon "maître de ballet amoureux" virer de position et m'attirer contre lui en 69.