Sur une commode d'époque Louis XV deux lampes aux pieds de porcelaine chinoise et abat-jours de tissu fauve donnent à ma chambre une lumière très tamisée et, sous cet éclairage en clair-obscur, le spectacle offert par Pierre est plus érotique que pornographiqueI.
Pour le quasi-puceau que je suis, cela est hallucinant : dès que ma langue se détache du fion de mon ami, j'ai vue sur son anneau entrouvert, les bourrelets bruns de sa rosette luisant de salive et de mouille anale, les poils noirs qui la cernent et son laqués par nos fluides mélés. Et puis, pendant entre ses belles cuisses écartées, il y a des couilles délicieusement frippées et lourdes, une queue magnifique, dure, tendue et veinée, un gland turgescent qui perle de gouttes sur le drap.
A la lumière s'ajoute le son : les râles de mon bo-quadra sont terriblement excitants, ses begaiements aussi, surprenant de vulgarité chez cet homme tellement bcbg et bourgeois, mais merveilleusement réalistes dans leur "baise-moi avec ta langue"^.
Pierre n'est plus véritablement mon professeur en amour, mais un homme qui, frustré et en manque depuis un certain temps, s'offre et crie son bonheur.
Du coup, l'esprit d'initative passe dans mon camp et je vire sur le dos pour recueillir, à la place de la couette, la mouille généreuse de mon amant et doucement, très doucement pour ne pas mordre ni m'étouffer, attirer les 20X6 dans ma gorge.
Le Juriste de Droit international exulte : il se met à limer ma bouche avec une intensité croissante, prend un doigt de ma main pour le diriger vers son antre et se faire "travailler".
Il me fait découvrir ainsi les splendeurs de la fellation active et la divine sensation sur un, puis deux doigts, de la soie de son intérieur intime.
Tout devient plus fort, plus "Hard", surtout lorsque, sans cesser de se faire sucer et doigter, pierre se retourne lentement au dessus de moi et vient happer ma hampe entre ses lèvres..
Etouffés dans nos palais abondamment remplis, nos râles se font écho tandis que nos sèves montent à vitesse "grand V".
Nos esprits sont en folie, nos corps vibent de toutes parts, et nous "partons" ensemble par giclées drues qui nous abreuvent en tornades blanches.