Sur le canapé du petit-salon, Pierre fait preuve à mon égard d'une tendresse qui contraste avec la violence par laquelle il me saillit sur la terrasse quelques instants auparavant.
J'en suis tout à la fois ému et inteterpellé, ayant du mal à interprêter les sentiments de mon bo-quadra et ce qu'il attend de notre relation.
Une certaine perennité en tous cas ... car il ne cesse de déposer des baisers sur mes bouche et corps, de me caliner et, surtout de ressasser que je suis le jeune homme qu'il désirait depuis longtemps.
Il avoue aussi qu'il avait été immédiatement séduit par ma beauté et mon charme en me croisant dans une rue de LYON,
qu'il m'avait suivi discrètement pour savoir où je logeais et qui j'étais,
qu'à l'aide des membres de la C.I.A. rencontrés dans le train, il avait enquêté sur mon sérieux et
qu'il avait provoqué l'accrochage léger en voiture pour me contacter enfin.
Je l'écoute en silence, me contentant de répondre en gémissant à ses caresses et en mélant ma langue à la sienne lorsqu'elle s'enfonce entre mes lèvres.
M'invitant à m'agenouiller devant le canapé, il écarte les cuisses et me présente le plug de nacre grise.
Après l'avoir imbibé de ma salive, je le lui mets doucement, puis le fais tourner eu vrille dans son cul. Il se met alors à frémir, à onduler et à pousser des râles dont j'apaise le son en l'embrassant voluptueusment.
Mais Pierre n'entend pas en rester là, à être "travaillé" par le seul god : mon heure de sodomie active est arrivée.
Sans un mot, mon amant retire l'instrument luxueux de sa véritable "chatte" et se met à genoux sur le canapé, torse contre le dossier, cuisses écartées et mains sur ses fesses pour me présenter son trou.
J'en suis surpris et excité, même si je me suis déjà rendu compte que le bourgeois distingué et "'au-dessus de tous soupçons pouvait , dans les actes d'amour, perdre toute pudeur.
Alors, joignant mes mains aux siennes sur sa croupe, je dégage son anus et le perfore sans ménagement, m'enfonçant d'un seul coup - et pour la première fois - dans une antre masculne.
Nous nous mettons à crier de bonheur, à nous déhancher presque sauvagement pour donner plus d'impact à ma lime.
Et, de même qu'il l'avait fait la veille lors de mon cunilinguisme, Pierre balance des "Oh ouiiii', "Tu es super", "Baise moi à fond" "Donne-moi ta superbe queue", "vide-toi en moi".
Ces derniers mots ne tardent pas à être exaucés, d'autant que je le branle au rythme de mes assauts dans son fion et que je sens son jus monter comme le mien.
Il blanchit les coussins du canapé au moment que j'enneige ses entrailles.
Alors que je suis encore en Pierre pour me vidanger complètement, je constate que les deux femmes sont entrées dans le petit-salon et nous regardent attendries..
Elles approchen tlenteement et, alors que je me retire, Hélène s'agenouille devant moi , me suce et pompe avec fébrilité.
Elle est manfestement désireuse de goûter aux humeurs de mon sexe sortant des parties intimes de son mari. En lui souraint, je m'empresse de lui limer la gorge et d'y déverser quelques dernières gouttes de mon miel.
Quant à Elodie, elle lèche le trou de Pierre, l'aspire pour faire dégouliner dans sa bouche le foutre que j'y ai déposé.
Ensuite de cela les deux Dames s'embrassent goulument aux fins de méler leurs saveurs recueillies.
Puis elles nous disent que l'apéritif du soir est servi sur la terrasse où nous les suivons, Pierre et moi, bras autour de nos tailles.