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 L'homme sous le tilleul 8

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MessageSujet: L'homme sous le tilleul 8   L'homme sous le tilleul 8 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 19:42

Regarder les courbes rondelettes de son corps nu, était pour moi une jouissance visuelle qui faisait partie du charme de notre relation, qu’il était beau mon homme.
Gagner par le besoin de lui exprimer ma jouissance, mes mains s’agrippant à ses cheveux faisaient buter contre mon bas ventre cet organe dévastateur qui me ravageait de plaisir compriment son visage dans mon poil quand il s’enfonçait en moi.
Je voulais par tous les moyens retarder mon éjaculation pour prolonger le délire de ma jouissance, mais je ne pus garder le contrôle de se sexe affolé par la gourmandise de Félicien.
Non ! C’était trop, je n’étais plus de maître de mon corps, malgré moi, je succombais à la tendre passion de mon amant.
Mes reins se cambraient, et tout en le gardant contre mon corps de mes mains enserrant sa tête, j’éjaculais en lui, laissant ma voix témoigner ma délectation, Félicien me garda en lui comme s’il désirait s’abreuver de toute ma semence.
Quel divin spectacle que de regarder sa main s’agitant de plus en plus vite sur sa verge, alors qu’il pompait toujours mon bordons ne voulant pas quitter la raideur de son plaisir.
- Arrêtes ! Je veux voir ta jouissance quitter ton corps pour se répandre sur moi.
Me soustrayant à cette bouche goulue, je m’assis sur la caisse de bois, « Je t’aime mon Félicien, pendant tant d’années, je t’ai attendu qu’aujourd’hui je me dois de te dire mon bonheur ».
- je t’aime aussi Marcel, c’est pour cela que je te voulais près de moi, à mon âge le temps devient mon ennemi, mais le bonheur que tu me donnes, dans mon cœur arrête le temps.
Personne n’aurait put comprendre cet amour, seul nous y avions trouvés la réalité d’une vie secrète qui jamais ne pourrait danser dans la lumière des hommes.
- Oh putain ! Je vais jouir, que c’est bon pichoun.
Sa jouissance éclaboussait mon corps tandis qu’il me murmurait d’une voix hésitante la plénitude de son bonheur, je posai ma bouche sur la sienne pour la taire d’un baiser sulfureux, je sentais la chaleur de son sperme enduire ma peau.
Nous ne pouvions rester là , à prolonger cet instant d’instance tendresse car cet amour clandestin était notre secret et pour le protéger au yeux du monde nous devions le cacher pour encore et encore s’aimer.
Le lendemain, je commençais à peindre les plafonds et les murs pendant que ma femme nettoyait les meubles et les objets que Félicien nous avait donnés pour le logis.
Au bout du troisième jour, les peintures étaient terminées et Marie avait astiqué le mobilier, il ne nous restait plus qu’à installer les meubles et les lustres dans notre futur gîte.
Quand Félicien rentra des vignes, il était dix-sept heures, nous n’avions pas vu passer le temps, heureux à la pensée que nous serions ici en septembre.
- Hé alors les Pitchouns ! Le travail avance bien ?
- Nous avons fini, Marie a ciré les meubles et moi j’ai terminé les peintures, j’ai besoin d’un homme fort pour transporter avec moi le mobilier dans la maison.
- Je suis ton homme, tu veux qu’on le fasse maintenant ?
- D’accord comme cela nous rangerons la remise d’une fois.
Aussitôt dit, aussitôt fait, il se leva et Marie et moi le suivirent direction de la grange, le transfert commença, et au bout d’une heure tout fut mis en place et la garde robe remontée dans la chambre, Marie pour nous aider avait transporté les bibelots et les lustres.
Marie, nous avais laissés pour aller dresser la table du souper, pendant que nous rangions dans la remise les autres meubles que nous avions sorti de la maison, et qui ne furent pas choisi par Marie, nous les recouvrions de draps, alors que je passais la corde pour maintenir les draps sur le mobilier, Félicien en passant derrière moi avec la boule de corde, furtivement caressa mes fesses.
- Hum ! Tu as vraiment un joli petit cul Pitchoun.
- Tu es un fada, tu ne penses qu’à ça.
- Tu veux me faire croire, que toi tu n’y penses pas !
- Nous sommes deux vieux fous, mais que notre folie est belle, vieux filou.
Il avait replié les draps que nous avions de trop et pour une fois, il les rangeait sur l’étagère, et perché sur une caisse, il se courbait pour les prendre.
- Attends, je vais te les passer, afin d’épargner ton vieux dos.
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