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 L'homme sous le tilleul 10

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MessageSujet: L'homme sous le tilleul 10   L'homme sous le tilleul 10 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 19:46

Il refermait la porte et se dirigea vers la remorque en retira deux cisailles.
- Je vais te montrer comment il faut couper les gourmands de la vigne : tu vois toutes ces branches qui filent un peu partout, il faut les couper pour rabattre la vigne car ils prennent toute la force.
Il me montra, et chacun dans une ligne on commença; le travail n’était pas rude, vers neuf heures le soleil avait prit possession du ciel et se faisait brûlant, la transpiration m’inondait le corps et sous mon chapeau mes cheveux étaient trempés comme sous la douche.
Félicien vint me rejoindre ‘’ Il chauffe bien ce matin, viens nous allons aller nous mettre à l’ombre dans le cabanon et boire un coup.
Il posa sa main sur mon épaule tout en m’entraînant vers la cabane, la fraîcheur de l’endroit était la bien venue, il y avait comme un lit de fortune fait de planches posées sur deux petits murets de pierres.
- Nous allons boire un petit coup de rosé.
- Avec cette chaleur moi je ne bois pas de vin.
- Je vais pas te faire boire le vin, je vais te faire le breuvage des gens de la vigne, c’est la même préparation que le pastis, un tiers de rosé pour deux tiers d’eau, pour étancher la soif, il n’y a rien de mieux.
Je m’assis sur l’espèce de lit, quand il vint vers moi avec les deux verres, je ne pus résister à l’envie de le toucher, je fis descendre la tirette de sa braguette et dans cette ouverture béante j’introduisais ma main pour aller cueillir sa verge dans son panier de coton; cette chair moite sous ma main était molle comme de la terre à modeler était aphrodisiaque.
Je la pétrissais tendrement faisant rouler sous mes doigts ces couilles humides tout en massant sa bite, remodelant ce membre par le jeu des caresses.
- Tu as envie de moi, là ! Maintenant ?
- Oui ! Tu sais que j’ai toujours envie de toi, mais cette fois je voudrai te dévêtir.
Je déboutonnai sa chemise et lui retirai pour me pâmer de ce torse grassouillet qui m’en jetait à chaque fois, puis je me rassis et fit glisser le long de ses jambes son pantalon, seul son caleçon masquait mes attouchement sur sa courge qui murissait du soleil de mes caresses, se trouvait soudain à l’étroit sous l’étoffe blanche.
Lui retirant ce bout de tissu, elle vint tapoter mon visage de ses vibrations m’invitant à soustraire d’elle, les charmes de sa belle chair qui appâtait mon désir.
Il était clair que je n’allais pas faire refus à cette belle douce que ma bouche aidée de mon regard convoitait, de ma main domptée, j‘enserrai le terrible engin découvrant de ce geste son gland boursoufflé de son érection.
De la pointe de la langue, j’en fis le tour, remontant lentement de lapées comme sur une boule de glace qui n’était pas encore garnie de chantilly.
Ma gourmandise n’avait pas de limites, je voulais sentir fondre en moi le parfum de ce cornet d’amour.
De ma bouche je suçais à en perdre haleine ce joyau de mon délire, tripotant cette paires de couilles pour mieux pomper l’élixir de mon amant.
Je le regardai les yeux mi-clos, osciller, fléchissant parfois les jambes, le corps affaiblit par sa jouissance, ses mains se crispant sur mes épaules et les miennes sur ses fesses.
- Arrêtes ! Je ne veux pas éjaculer maintenant.
Ma bouche abandonna son délice et de ses grosses mains il me basculait tendrement sur la couche, il me caressait tout en faisant remonter mon T-shirt, je le retirai tandis qu’il m’enlevait mon short et mes chaussures.
Accroupit devant mon corps nu, Félicien embrassait mes pieds puis d’une chaîne de baisers, il rampait à pas feutrés sur mes jambes pour soudain s’arrêter sur mon sexe le couvrant de bisous, reprenant cette chaîne câline, il escaladait mon ventre puis mon torse pour enfin poser ses lèvres sur les miennes.
Comment résister à un tel amour, mon corps se couvrit d’un frisson de jouissance qui me chavirait le cœur, pudiquement presque à mi-voix, je lui dis, ‘’ je t’aime mon Félicien’’.
- Moi aussi je t’aime Pitchoun ! Nous vivons nos dernières rencontres amoureuses avant ton départ, alors je veux enrichir ma boîte de souvenirs de toi, dans une relation où la tendresse s’harmonise avec notre passion, prenons le temps de nous faire l’amour, le vrai celui qui brûle les cœurs, la vigne pourra attendre demain.
Posément il s’allongea sur moi, sa chair puissante m’enveloppait me faisant bouillonner d’ardeur, ho! Que j’aimais, ce corps dominant qui me transportait dans le jardin des délices la puissance de son corps et le musc de son odeur m’imprégnait me livrant à tous ses caprices.
Ses lèvres charnues se régalaient de ma bouche tandis que sa langue fouineuse tournoyait voluptueusement autour de la mienne me coupant presque le souffle.
L’exaltation de ce baiser nous transportait dans le monde de notre secret partagé loin des regards, mais comblés de ce bonheur.
Navigant sur mon corps, il vira soudain de bord offrant à ma bouche sa queue bandante, alors qu’il prenait possession de mon membre qui ne cessait de se tendre, je léchais et embrassais le poil pour mieux dompter l’animal.
De ma main, je découvris le gland pour le mordiller tendrement, et le faire disparaître entre mes lèvres de velours, de nos sucions évolutives nos corps étaient à la dérivent, de flux en reflux surfant sur la vague de notre plaisir.
Tétanisé par ma jouissance, je m’agrippais à ses fesses pour ne pas perdre pied et couler vers mon orgasme.
Félicien serrait ses lèvres contre mon pieu, écrasant son corps contre le mien émoustillé de sa jouissance dans notre jeu.
Notre complicité était à l’image de notre amour car nos bouches dans un rythme diabolique vénéraient ces obélisques avides de récolter le fruit de cette adoration.
Dans ce marathon nos corps survoltés de vibrations saccadées déversaient en nous le liquide de notre fusion.
Epuisés de cette course folle, nos corps vinrent quérir le repos enlacés, extasiés de ce bonheur, s’abreuvant de douces caresses sur cette chair parfumée du musc de notre jouissance.
J’étais bien, là blotti dans son bras, la tête reposant sur son torse puissant, tandis que ma petite patoche taquine jouait dans le duvet grisonnant de mon bel amant.
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