PREMIERE PARTIE
AUTOMNE 39 ou un NEPOTISME très PARTICULIER
1) MATHILDE et JEAN
Les parents de Marc sont ce que l'on pourrait appeler des "jansénistes de l'amour chrétien" :
- abstinence les vendredis, jours de fêtes carillonnées, périodes du Carème et de l'Avent,
- relations uniquement de nuit, dans la pénombre, et après avoir retourné contre le mur de la chambre une icône représentant la Vierge,
- interdiction de toutes turpitudes du style fellation, sodomie ou - quelle horreur! - cunilinguisme.
A l'opposé leurs frère/beau frère et belle-soeur, Jean et Mathilde, étaient complètement libérés et des libertins discrets.
Sans tabous entre eux, il appartenaient depuis deux ans à une sorte de club super-privé qui, sis à GENEVE, organisait des partouzes que le Médecin-Généraliste de NANTUA et son épouse honoraient de leur présence trois à quatre fois l'an.
Par ailleurs, ils avaient noué avec un Industriel d'OYONNAX, le Chef de Gare de BELLEGARDE sur VALSERINE et leurs épouses une complicité qui, tantôt chez les uns, tantôt chez les autres, conduisait à des rencontres fort coquines de quatre ou six partenaires.
De fait lorsque, pour raison de guerre annoncée, les parents de Marc suggèrèrent de l'inscrire au Collège de NANTUA, ses oncle et tante acceptèrent avec bonheur d'héberger chez eux un aussi joli jeune homme.
Entre deux étreintes, le couple émit l'idée de dévergonder le cher neveu avec cette triple excitation
- de le faire "à la barbe" de ses père et mère terriblement coïncés,
- d'initier un puceau à toutes les facettes de l'amour,
- de s'encanailler avec un garçon aussi mignon.
Il fut ainsi convenu de laisser à Mathilde le soin des "premières approches",
ce pourquoi, au matin du 3 Septembre, elle resta seule avec Marc dans la ferme aménagée des hauteurs du GRAND ABERGEMENT,
tandis que Jean descendait dans la Combe de NANTUA pour déposer à la gare les parents de l'adolescent en partance pour PARIS, puis gagnait son Cabinet médical.
C'est égalemet pourquoi , ayant vu Marc revenir seul de la cueillette des champignons, Mathilde s'affala sur une chaise longue, déboutonna sa robe/tablier, dénuda ainsi ses torse et ventre.
Déjà bien excitée, elle attendit l'arrivée de l'adolescent désiré en palpant un de ses beaux seins et titillant sa chatte sous une culotte noire. -