2) MATHILDE et MARC
Marc est pétrifié devant le spectacle offert par Mathilde;
il s'apprête même à retourner dans la salle de séjour lorsque sa tante le hèle à nouveau d'un "Viens".
Alors, hésitant, presque chancelant, le garçon avance lentement sur la terrrasse .... terriblement gêné, d'autant qu'il bande ostensiblement sous son short de toile.
S'étant quelque peu redressée sur sa chaise longue, la belle quadragénaire saisit une main de Marc dès qu'il est à proximité d'elle et la porte sur un de ses seins plantureux.
Le collégien n'a jamais vu une poitrine de femme nue ni, à plus forte raison, tâté un téton.
Il rougit de confusion, mais perçoit aussi cette sensation, inimaginée, d'une chair vibrant sous une de ses paumes .....
et ce contact le fait frisonner, durcir davantage encore de sa jeune bite.
Tandis que la main de Mathilde aide celle de l'adolescent à caresser son mamelon sensible, elle lui sourit gentiment et susurre :
"Marc chéri, tu es à l'âge de la découverte des amours et cela se passe souvent avec une femme mûre et expérimentée comme je le suis. Laisse-moi t'apprendre et je ne doute pas qu'ensuite, tu me sois reconnaissant, que tu deviennes un véritable mâle .... à l'exemple de ton oncle Jean".
Puis, posant son autre main sur la braguette du short, elle ajoute :
"D'ailleurs, petit amour, tu es déjà en pleine forme".
Eberlué, n'en croyant pas ses oreilles, Marc est dans l'incapacité de prononcer d'autres onomatopées qu'un série de "Heuhh" bégayés.
Avec un grande agilité, Mathilde se lève.
Elle se colle face à son neveu,
pose ses lèves pulpeuses sur les siennes,
déboutonne fébrilement sa chemisette et
frotte ses "'nichons" contre le torse imberbe de son vis-à-vis.
Elle se déhanche et fait frémir la queue à travers le tissu de la culotte, du short et du slip.
Puis, murmurant un troisième "Viens" et prenant son futur amant par la main, elle le fait entrer avec elle dans la maison et le conduit à sa chambre.
A demi-conscient, Marc se laisse piloter.