Assisse sur son lit, Mathilde attire Marc entre ses jambes et lui retire sa chemise. Avec les paumes de ses mains, elle caresse le torse du jeune homme qui se met à frémir de tout son corps. Jubilant de plaisir, elle se rend compte comme son neveu s'abandonne peu à peu et se met à gémir sous l'effet du tiillement de ses tétons imberbes.
"Comme tu es beau, mon chéri", lui murmure-t-elle, "Laisse-moi t'aimer, te cajoler". Les doigts de la tante intrépide glissent sur le ventre du garçon dont la poitrine est désormais délicieusement frôlée par les seins de la Dame.
Marc ferme les yeux et ne résiste pas quand on s'attaque à la ceinture de son short ..... mais lorsque ce vêtement tombe sur ses espadrilles, il porte vite les mains à son bas-ventre pour cacher ce que son slip blanc ne saurait masquer :
il est vrai que ce dessous est quelque peu informe et lâche ... si différent des soies moulantes de Jean, que Mathilde, sans le révéler, se promet de faire porter désormais au puceau qui est devant elle .
Elle lève la tête, ne cherche pas à dégager la menotte de Marc, lui disant simplement : va défaire tes sandales, pendant que je nous prépare un lit douillet.
Se levant, elle tire la courte-pointe, en fait comme une sorte de couette, se démunit de ses robe et culotte noire, s'enfonce sous la cotonnade et dit doucement un quatrième "Viens".
Marc hésite à nouveau, d'autant qu'il a transpiré en forêt pour cueillir des champignons
Il sait également que les slips achetés par sa mère ne sont pas "sexy" et il a vu Mathilde enlever sa "brésilienne".
Aussi, avant de monter sur le lit - haut comme ceux d'autrefois à la campagne, - ôte-il vite son dernier rempart.
Bras tendus puis vite refermés, Mathilde enserre aussitôt l'adolescent.