Lorsque Jean vint chercher ses épouse et neveu, à la ferme/maison de campagne du GRAND ABERGEMENT, ceux-ci avaient activement travaillé pour nettoyer la maison, en calfeutrer toutes les ouvertures et la fermer ainsi pour l'automne,
amasser aussi légumes, fruits et jambons ou autres "charcutailles" afin de n'être pas dépouvu de vivres en temps de guerre anoncée.
Mais cela n'empêcha aucunement Mahilde de poursuivre l'éducation sexuelle de Marc dont les talents en la matière furent aussi brillants que sur le plan scolaire.
Les pauses coquines furent nombreuses et firent progresser l'adolescent dans une parfaite maîtrise des jeux de l'amour.
Initialement brusques, ses caresses devinrent voluptueuses et sensuelles.
Quant à ses jeux de bouche, ils égalèrent rapidement l'art de sa tante/maîtresse.
Son sexe vigoureux et très érectile sut servir, avec endurance, dans la gorge et le "con" de Mathilde, entre ses seins aussi : finies les éjaculations au terme de trois minutes
Si , sans le dire à Marc, Tantine réserva à plus tard et à son mari l'initiation à la sodomie,et au cunilinguisme,
elle ne manqua pas de faire découvrir à son partenaire les charmes du pelotage - donné et reçu - de fesses et cuisses, de bisous et morsures légères sur ces parties charnues, voire de petits doigtages.
Bref tout est prêt à l'arrivée de Jean :
la demeure en état de fermeture,
la réserve de nourriture et
un jeune homme déjà bien aguerri.
Nous sommes un vendredi et la rentrée au Lycée de NANTUA doit avoir lieu le mardi suivant.
Un week-end est donc donné à Jean pour convertir Marc à la bi-sexualité .... ce avec la complicité de Mathilde, déposée en gare de La CLUSE pour se rendre à LYON en compagnie d'une amie.
Epouse d'un Industriel d'OYONNAX, celle-ci faisait partie de l'un des deux couples que Jean et Mathilde rencontraient assez régulièrement pour des quatuors ou sextuors très débridés.
Mais cette Dame aiMait aussi partager avec Mathilde des relations de lesbiennes .... ce pourquoi, sans que Jean en soit dupe, le petit "trip" lyonnais n'est pas uniquement ocassionné par un désIr de lèche-vitrines ou de soirées musicales.
Bref sur le quai de La CLUSE, Marc est laissé aux bons soins de son oncle Jean.