Après de longs instants à se bécoter, caresser mutuellement le torse, Jean fait doucement évoluer Marc sur le dos et lui murmure : "Abandonne-toi, jeune amour, j'ai envie de t'aimer, de faire frémir ton corps si beau".
Bien qu'il ait, lui aussi, envie de découvrir la sensibilité des chairs de son oncle, l'adolescent s'offre à lui et rapidement gémit, râle au bénéfice des caresses digitales et linguales de son aîné.
Admiratif, amoureux, de la beauté d'un amant à la peau si douce et réactive, Jean s'émerveille :
quelle différence avec les "palpes" et autres pelotages des hommes mûrs de ses partouzes précédentes, même si - dans tous les cas - - il s'était agi de mâles bien conservés !!!!
C'est véritablement un délice de descendre lentement le long du recto d'un garçon aussi frais et sensible, de sentir frémir sa peau sous les doigts ou les lèvres, d'aspirer tendrement son nombril, de déguster la mouille de son gland, de contourner sa jolie hampe avec la langue, de gober délicieusement ses couilles rondes et lisses, de lécher l'intérieur de ses cuisses.
Pour l'heure, il n'ose pas s'attarder sur la rosette de son neveu et remonte sur lui pour l'embrasser encore, frotter sa belle bite contre la sienne .... et entendre, avec une très heureuse surprise, le bégaiement d'un "A mon tour, maintenant".
Jean ne connaissait pas le plaisir intense de caresser et lécher en douceur, un jeune homme qui mieux est ... mais il n'avait pas davantage eu l'occasion de recevoir la pareille.
Or Marc imite son partenaire avec la même habileté que lui et trouve dans ses jeux de mains et bouche un bonheur encore plus grand que celui qu'il avait éprouvé avec Mathilde :
la toison pectorale de Jean, ses 22X6 somptueux, les écoulements abondants de son gland, la musculature et le velouté de ses cuisses, la grosseur de ses burnes ; tout cela attire le collégien comme un aimant .... sans compter les encouragements donnés par des "Oh ouiii, mon amour" - "Je n'ai jamais connu ça" - "Tu es merveilleux".
Un geste de Jean suffit à inviter Marc au renversement de son corps et à mettre les deux hommes en position de 69, têtes réciproquement enfouies entre leurs cuisses et mains calines sur leurs croupes.