Tel un enfant, Marc s'endort vite dans les bras de son oncle, lequel est attendri par la scène et tarde à éteindre la lumière.
Le lendemain matin, Jean se lève précautionneusement pour ne pas réveiller le jeune éphèbe et vaque à quelques occupations avant de se décider à sortir son neveu des bras de Morphée.
Quel beau spectacle que ce jeune gaillard s'étirant nu sur son lit, sans chercher à dissimuler son corps nu, ses jolies fesses et sa queue tendue de ses 18X4.
La tentation est grande de jouir plus que du spectacle ainsi offert .... mais le "tonton" résiste, par crainte de donner l'impression d'être trop "porté sur la chose", par la nécessité aussi de faire quelques emplettes, ce Samedi, en vue de la rentrée scolaire du Lycéen le surlendemain.
Dans les magasins de la ville/sous-préfecture et au restaurant du Lion d'Or lors du déjeuner, chacun semble charmé par la grâce et la sympathie de Marc et le rassure sur la gentillesse bien connue de Jean et Mathilde.
On fait aussi allusion, davantage encore, à la Déclaration de Guerre .... sans combats pour l'heure, sinon en POLOGNE, et beaucoup de gens pensent sottement que les Allemands craignent de se mesurer aux armées françaises !!!!
Le soir venu, les deux compères revêtent les robe de chambre en soie et peignoir déja portés la veille.
Ecoutant les "Nouvelles" à la T.S.F., Jean se sert une bon "Bourbon", avant de se rendre sur le grand-canapé du petit-salon/bibliothèque.
Avant qu'il ne s'y installe les deux compagnons échangent un long baiser, ensuite de quoi l'adolescent s'assied sur ses talons au bas du sofa et, avec un sourire malicieux, défait la ceinture du vêtement de son aîné, caresse adorablement le slip, lui aussi en soie qui se déforme rapidement.
Jean n'a jamais bu son apéritif dans de telles conditions.
Aussi ravi que surpris, il se laisse faire, écarte ses cuisses et tend les jambes.
Il frémit de tout le corps, exhale un "oh ouiii" entre deux gorgées, lorsque le garçon se met à mordiller le tissu du dessous de luxe.
Jean se soulève quand deux doigts un peu maladroits essayent de dégager le slip; lequel finit bientôt à terre.
Quelle volupté!!!!
Quel plaisir merveilleux pour Jean de siroter un whisky en se faisant tendrement sucer, mais pour Marc aussi, apparemment enchanté de déguster une mouille abondante plutôt qu'un alcool fort !!!!
Jean a rapidement des spasmes-annonciateurs d'éjaculation et ne fait rien pour empêcher son ardent "fellateur" de se désaltérer à la coupe de son gland, de goûter pour la première fois les saveurs d'une semence masculine.
Dès que le verre de Jean et sa queue sont taris, il se lève du canapé, demande à Marc de s'y allonger et s'empresse, à genoux devant lui, de rendre la monnaie de sa pièce à celui qui vient de lui apporter une extaordinaire libération sexuelle.
Queues ainsi vidées et ventres affamés, il est désormais temps d'une petit dînette .... avant de' 'remettre le couvert".