Tandis que Jean "s'attaque" au côté droit de Mathilde, Marc l'imite sur le côté gauche de celle-ci .... laquelle se met à vibrer de tout le corps, gémit et balbutie des "Oh ouiiii, mes beaux amants".
Les deux hommes palpent les seins lourds et durcis par le plaisir, les tètent avec douceur ou plus goûlument.
Ils caressent le ventre de leur maîtresse et joignent leurs lèvres sur son nombril, fouillent sa chatte en chaleur et humidité bouillonnante, chacun d'un doigt qu'ensuite ils se donnent mutuellement à lécher.
Les trois déshabillés de soie tombent les uns après les autres et, de ses mains agiles, la femme en rut libère les sexes masculins de leurs slips.
Elle passe sa langue sur chacun des glands que, parfois, elle accole entre ses lèvres.
Puis, savamment orchestré par Mathilde, le trio se complaît longuement dans des dégustations en triangle .... avec des renversements permettant à Jean et Marc de goûter successivement à des mouilles féminines et masculines.
Mais les langues savent aussi se poser sur les antres anales, ce qui donne l'occasion au jeune adolescent de lécher pour la première fois le cul de sa tante.
En transes, cette dernière éructe un "Je voux veux tous deux en moi".
Marc songe alors que Mathilde désire une queue en bouche et l'autre en "con" ..... n'ayant jamais imaginé qu'une femme pût se faire enculer.
Aussi est-il ahuri, mais terriblement excité, de voir la superbe bite de son oncle pénétrer lentement les intimités intestines de "Tantine" et de constater que, loin d'éprouver quelque mal à cela, la vicieuse râle du bonheur d'être ainsi emmanchée.
Du coup, il n'hésite pas à s'efoncer dans le vagin ruisselant.
Tout est géant, sonore, vibrant.
Dans une belle unisson, Jean et Marc liment Mathilde devant et derrière, accélérant peu à peu leurs mouvements, défonçant de plus en plus vivement chacun la cavité dans laquelle ils ont enfoui leur dard.
Mathilde, dont les seins sont pelotés par les deux mâles, entre en quasi-folie, invite ses partenaires à se répandre aux tréfonds de ses entrailles.
Elle est vite exaucée lorsqu'elle a son orgasme et que son jus de femme vient se méler au foutre de Marc, dans le même temps que Jean inonde l'anus de son épouse.
Hébétés, les trois personnages demeurent quelques instants enchâssés, ensuite de quoi Mathilde se lève pour aller préparer le dîner.
Sans aucune jalousie, elle laisse ses mari et neveu se caresser tous deux, s'embrasser avec tendresse.
Sam 14 Fév 2009 - 17:02