L'anneau de Marc est si souple, la vaseline au beurre si abondamment déposée et le désir du jeune homme si fort que, malgré son beau diamètre de 6, Jean ne rencontre aucune difficulté.
Il pénètre lentement le cul offert, dont Mathilde fait béer l'ouverture en écartant à pleines mains les fesses de son neveu.
Celui-ci ressent en lui une chaleur inimaginée, se met progressivement à bander entre les lèvres de "Tantine" qui le suce doucement et, entre deux gémissements, lape la chatte ruisselante de sa partenaire..
Tout cela est merveilleux, inespéré.
La hampe est maintenant entièrement enfouie, les couilles velues de Jean se frottant contre la croupe imberbe.
De lui-même l'adolescent se déhanche, comme son oncle l'avait un peu plus tôt, et Jean, le seul à ne pas avoir la bouche occupée, feule de plaisir.
Certes il encule régulièrement sa femme et le fit même une fois devant Marc .... mais, avec un homme, un jeune qui mieux est, il éprouve des sensations nouvelles, se rendant compte que des antres anales de mec et de nana procurent des plaisirs différents.
Il se met à crier de bonheur, à limer sans jamais déculer, et la queue de Marc se tend, vibre de plus en plus dans la gorge de Mathilde .... laquelle mèle une mouille abondante à la salive du sodomisé.
C'est "géant" : les trois corps frissonnent, les coeurs palpitent, les sèves montent et, en une incroyabe unisson, l'adolescent inonde la bouche de sa tante dans le même temps qu'au tréfonds de ses entrailles, il reçoit pour la première fois les jets puissants et délicieusement tièdes d'un sperme conséquent.
Lachant la queue enfoutrée de Marc, Mathilde criaille en donnant aux lèvres de son neveu les élixirs de son orgasme.
Hébétés, émus, chacun s'effondre sur le lit, enlacé, se donnant des bisous, se caressant mutuellement torse et fesses.
Fier et ravi d'un Samedi après-midi au cours duquel il fut sailli pour la première fois par un homme, avant de rendre la pareille à celui-ci, Jean propose un dîner au restaurant gastronomique de l'Hôtel de France.
Un gratin d'écrevisses, des quenelles de NANTUA et un savoureux vin d'ARBOIS sont de nature à féter dignement la victoire de la queue sur le cul .... dans un oubli total de la "drôle de guerre" du moment.