Il pleut sur NANTUA en ce début de Dimanche après-midi et, dès que Jean est parti pour sa tournée de garde des malades du jour, Mathilde enlace Marc et, avant de l'embrasser amoureusement, lui dit :
"Petit Chéri, voila un temps à ne pas sortir et à demeurer couchés. Viens mon amour".
Le jeune homme se laisse volontiers entraîner vers la chambre de ses oncle et tante, déshabiller par celle-ci, effleurer par ses doigts fins sur chaque peau découverte.
Alors qu'il est nu, bandant dur, Mathilde ouvre son corsage, défait adroitement son soutien-gorge et offre ses seins déja palpitants à la palpe, puis à la gourmandise, du garçon.
"Oh ouiiii, tête-moi bien, j'aime ça", susurre-t'elle en faisant glisser la jupe de son tailleur en velours chic.
La voila vite, en bas, porte jarretelles et culotte brésilienne, tous effets de soie noire, terriblement sexy.
Sur le lit, la vicieuse mène les ébats, branle la queue entre ses mamelons, la suce doucement en se faisant lécher la culotte déjà bien trempée.
Marc enlève ce dessous, mate le con et le cul de sa tante, superbement mis en valeur par les bas et le porte-jarretelles, lape les chairs et poils qui lui sont offerts par la Dame quasi-assise sur son visage.
Il n'a pas le temps de réagir lorsque Mathilde change de position, s'accroupit au dessus de la bite raide, tend un bras en arrière pour la saisir et
s'empale sur elle.
Montant et descendant le long de la hampe, elle provoque des râles communs et balbutie " Fouille ma chatoune"
Marc se déhanche pour mieux saillir encore son enculée de partenaire.
Il lui doigte la "foufoune".
L'un et l'autre des endiablés sont prèts à exploser ensemble et ne tardent pas à jouir dans le même temps, au son de deux cris résonnant dans l'immeuble.
Ils sont maintenant affalés sur le lit, jambes entremélées, se donnant des bisous, se titillant mutuellement les tétons.
Mathilde murmure alors comme au confessionnal et entame le dialogue suivant :
- "Tu es si beau, mon Marc, que le Vicaire me semble en "pincer" pout toi".
- "Oh, mais c'est un Curé"
- "Et alors, ils ont bien le droit à quelques plaisirs"
- "Ouiii, mais quand même"
- "Et en plus, tu as de la chance parce qu'il est beau"
- "Ca c'est vrai, il est super bien foutu, comme l'oncle Jean"
- "Sauf qu'il est plus jeune et doit avoir un tout petit peu plus que trente ans"
- "Ben moi, je trouve qu'ils sont beaux tous les deux et j'aime beaucoup Jean"
- "J'en suis sûre,, mon chéri, et Jean t'aime beaucoup mais, tu sais, on peut bien fare l'amour avec plusieurs personnes. D'ailleurs, ton oncle et moi, nous ne nous en privons pas et avons des amis"
- "Ah bon... et je pourrais les rencontrer moi aussi"
- "Non, tu es trop jeune et nous ne voudrions pas les choqer. Et puis, c'est aussi bien d'avoir des amis différents. Alors, si tu as une occasion avec Jacques, le Vicaire, ça pourrait être très chouette pour toi".
Marc est interloqué, ne sait trop que penser de ce qui vient de lui être dit
C'est alors qu'un bruit de pas dans les escaliers annonce le retour de Jean.
Mathilde dit alors : "Réfléchis à tout ca et n'en dis rien à ton oncle".
Puis, d'une voix plus élevée, elle ajoute : "Jean, nous sommes là. Viens nous rejoindre".
Sam 14 Fév 2009 - 17:14