6) JACQUES, MARC et PHILIPPE
Durant les quelques 25 mn qu'un omnibus met pour joindre CREPIEUX-la PAPE à MONTLUEL, Jacques rassure son jeune compagnon sur la rencontre avec Philippe, non pas que celui-ci craigne un triolisme déjà connu avec ses oncle et tante - quoiqu'il fût mixte -, mais un attachement du Vicaire à cet ami de plusieurs mois.
Au fond de lui, Jacques n'est pas mécontent de cette sorte de jalousie :
elle démontre l'amour de son jeune protégé.
Lorsqu'il parvient à l'appartement de Philippe, Marc est vite rassséréné :
il constate, en effet, que son Curé et leur "recevant" ne tombent pas dans des effusions trop affectives et se serrent la main comme de simples camarades.
Ceci étant, Philippe n'est pas du style à perdre du temps en "bla-bla" :
Sitôt un jus de fruits rapidement avalé à la cuisine, il conduit ses hôtes dans sa chambre et se met en slip.
Cela doit être habituel lors des rencontres entre Jacques et lui, car le premier l'imite dans l'instant.
Un peu intimidé, Marc hésite ... mais se déshabille à son tour quand il voit les deux compères se coucher sur le lit, entreprendre des "palpouilles" et lui sourire en disant : "Viens, on ne va pas te mordre".
Au demeurant une excitation gagne vite le Lycéen :
il est vrai que le spectacle des deux hommes en train de se palper,
la superbe déformation de leurs dessous lâches qui laissent échapper une vue sur leurs belles couilles et
la virilité de Philippe, quinquagénaire bien conservé,
tout cela invite à la sexualité.
Allongé entre ses deux aînés, Marc est entrepris par eux avec douceur.
Il ne tarde pas à bander "grave", Jacques l'embrassant amoureusement en titillant ses tétons, tandis que Philippe s'attaque directement aux parties dites en dessous de la ceinture.
S'extasiant devant les charmes de l'adolescent, il aspire son nombril, lèche son ventre plat, le caresse de ses paumes,
puis mordille son slip avant de l'enlever ... ravi de l'aide apportée par le petit gars en se soulevant légèrement.
S'agenouillant, têtes baissées, de chaque côté des cuisses de leur cadet, Jacques et Philippe honorent de leurs bouches gourmandes son sexe et ses couilles rondes : ils les lapent, se donnant parfois une "pelle" sur le gland baveux.
Tout en se régalant ainsi, il se défont de leurs dessous, laissant apparaître de superbes hampes, luisantes de mouilles et raides à souhait, des burnes consistantes et velues, des toisons broussailleuses, celles-ci plus denses chez Philippe
Marc s'empresse de les tâter, en continuant de se faire divinement bien lécher et de gémir.
Se rendant compte que le garçon n'est pas farouche, Philippe propose un "triangle".
Les trois lascars partent alors dans des fellations sensuelles, avec retournements des corps pour que chacun soit sucé par les deux autres et les pompe aussi.
Jacques et Marc n'hésitent pas à pratiquer de savants cunilinguismes que, sans doute moins libéré, le troisième larron ignore.
En revanche, il sait doigter avec art.