Durant l'hiver 39/4O et le printemps qui suivit, Marc fait très souvent l'amour :
avec Mathilde et Jean, avec Jean seul,
mais surtout en compagnie de Jacques, son cher Curé, deux ou trois fois assisté de son ami Philippe.
Dans leur ensemble, les ébats ont lieu dans la chambre maritale de Mathilde et Jean, dans celle de Marc pour les relations avec Jacques, voire Philippe.
Mais, outre quelques havres d'amour dans la guimbarde du prêtre, la sacristie et le bureau médical de Jean s'avèrent des lieux d'hospitalité assez peu catholique.
Comme on le sait, Marc est deveu l'Enfant de Choeur privilégié pour les sépultures, vu qu'ils étaient seuls à la célébration.
Aussi, au retour du cimetière (les enterrements se font alors à pieds et en tenue liturgique) ils n'hésitent pas à transformer la sacristie en lieu d'étreintes, de débauche même.
Il sont toujours excités lorsque l'on ou l'autre, sinon les deux, retire pantalon et culotte sous l'aube et qu'il suffit de la relever pour mettre des fesses ou queues à nu, les palper, les enduire de salive.
Depuis qu'il a vu son amoureux se faire enculer par Philippe à MONTLUEL, Marc n'hésite plus à se montrer actif dans ses rapports avec Jacques.
Aussi, selon l'humeur du jour, Marc défonce ou se fait défoncer, le torse du sodomisé étant couché sur le plateau du grand bahut du local-annexe de l'Eglise..
Quant à Jean, il ne déteste pas recevoir son neveu dans son cabinet médical, lui faire passer une visite très particulière, glisser sa belle bite entre les boutons de sa blouse blanche pour la donner aux lèvres de Marc, limer bouche et fion du jeune Lycéen alors étendu sur sa table d'auscultation.
Speculum et petit loupiote, en principe réservés aux femmes enceintes, servent à admirer les soies rouges et soyeuses de l'intérieur anal d'un garçon toujours heureux d'être examiné et "maté"sous toutes les coutures.
Durant cette période, les combats évoluent vers l'Ouest.
Le DANEMARK, puis les Pays Nordiques, font l'objet de raids.
Mais les Français ne commencent véritablement à s'inquiéter qu'avec l'invasion des PAYS-BAS et de la BELGIQUE, les premiers exodes.
Dans leurs dicussions amicales, Jacques et Jean - qui se partagent Marc sans jamais lui faire l'amour ensemble - sont de plus en plus alarmés ... sans que cela porte atteinte aux régularité et vigueur de leus activités homosexuelles.