Arrivé à la chambre de Hans, je fais semblant d'hésiter à retirer mon peignoir, puis ma veste de pyjama. Simulant la timidité et une totale inexpérience en matière de massage, je demande comment je dois m'allonger et j'entends un "'sur le ventre, beau jeune homme"..
M'exécutant, je sens rapidemet les mains du "Teuton" sur mon dos.
Cela me fait frémir d'autant qu'assis à mes côtés, le militaire a retiré sa robe de chambre et n'ayant que son pantalon de pyjama, offre à mes yeux égrllards son torse superbement musclé et imberbe.
Du coup, je me mets à bander, heureux de n'être pas couché sur le dos.
"Humm, tu es très sensible", me dit le Masseur ayant sans aucun doute d'autres appétits qu'un simple jeu de mains.
D'ailleurs, il se penche pour m'embrasser et lécher dans le cou, tandis que ses paumes descendent à mes reins à la lisière de ma ceinture de pyjama.
Presque dans la foulée, il mumure : "Soulève-toi un peu, gentil Marc, pour que je puisse masser tes fesses".
"Oh, mais je vais être tout nu", est ma réponse de faux pudique.
Mais, je lève tout de même mon arrière-train et aide Hans à faire glisser mon fute de nuit.
Deux doigts de mon "palpeur" effleurent alors ma queue tendue.
Toutefois, il se garde d'émettre un mot sur mon.
érection, et se contente de prononcer un "Comme tu est beau, jeune amour".
Hans retire mon pantalon et donne un doux baiser sur mes globes.
Dans le même temps, il retire son propre pantalon de pyjama et donne à ma vue le spectacle d'un sexe dont les dimensions me paraissent encore supérieurs à celles de mon oncle Jean et du Vicaire Jacques.
Du coup, je ne peux réprimer un "oh", tandis que le massage reprend .... cette-fois-ci sur mes parties charnues.