Allongés face à face sur le côté, les corps de Marc et Pierre (ce dernier sur sa droite pour ne pas fatiquer son bras gauche blessé) ne tardent pas à se rencontrer.
Archi-bandées les deux queues écoulent leur mouille l'une contre l'autre et les lèvres se joignent pour un premier baiser plein de tendresse.
Chacun porte une main caressante sur le visage de son ami et ondule très légèrement pour donner quelque mouvement à l'étreinte amoureuse.
Lorsque Pierre se met à l'embrasser, plus exactement à le lécher, dans le cou, Marc se couche doucement sur le dos et s'abandonne aux calins de son amant.
Le jeune homme gémit et frémit sous les lapes,
râle de bonheur quand ses tétons sont excités merveilleusement par la langue de Pierre et qu'une paume habile fait frissonner la peau de ses ventre et cuisses imberbes.
Afin d'éviter des contorsions susceptibles de raviver sa plaie, le Maître du Barreau va s'allonger sur le ventre entre les jambes écartées de son sauveteur et entreprend une découverte buccale du service trois-pièces qui lui est offert :
il titille le méat, l'enduit de salive et le suce sans aucune violence,
il lèche l'entrejambes, frotte sa bouche contre les poils pubiens, gobe voluptueusement les couilles rondes et lisses, aspire le nombril et
se réjouit d'entendre des "Oh Pierre, oh ouiiii", de sentir des doigts fouiller sa chevelure encore plus poivre que sel.
Ces moments sont divins et durent d'autant mieux qu'à la bonne surprise de l'Avocat, l'adolescent sait maîtriser sa jouissance.
La sentant monter inexorablement et ne désirant pas la provoquer déja, Marc soulève la tête de Pierre et lui murmure :
"Laissez-moi vous aimer à mon tour".