JOURNAL de PHILIPPE
"Luc vient de partir :
il n'a pas désiré que j'aille au-delà d'une palpe légère de son slip ni, à plus forte raison , que nous dormions ensemble.
Bien sûr, dans l'état de mon excitation, je suis quelque peu frustré ... mais je songe aussi que tout est mieux ainsi et qu'à la longue, à la longue seulement, j'aurai tout l'amour désiré de mon jeune ami.
Prudent, je m'étais bien gardé, lorsqu'il vint s'allonger à mes côtés de me frotter contre lui et de caresser son "blancà poche" avec le mien super-tendu.
Prndent, ne voulant pas aller trop vite en besogne, je me suis contenté
de lui donner des bisous sur ses lèvres demeurées fermées,
de caresser son torse et ses tétons dont la sensibilité ne tarda pas à se manifester; puis son ventre plat et, enfin, de
passer un main sur un slip à la bosse rapidement indicative d'une érection intéressante.
C'est à ce dernier geste que Luc réagit.
Il s'écarta; émergea de dessous le drap et murmura gentiment :
"Merci Philippe, ca ira pour ce soir.
Je ne suis pas encore prêt à tout.
Je vais rejoindre ma chambre, y méditer et te laisser dormir en paix.
A demain pour le petit-déjeuner".
Il gagna lentement la porte de ma chambre, ne se doutant vraisemblablement pas qu'il offrait ainsi à mon regard sa jolie croupe, admirablement moulée dans son "slob".
Me voila seul, libre pour reprendre mon Journal et écrire ces mots,
exprimer l'attirance, pas uniquement physique, que j'ai pour Luc, mon plaisir ému d'avoir pu l'embrasser, même timidement, sur la bouche, senti frémir à ma caresse de ses tétons et bander au frôlement de ma paume sur son slip.
Demain sera un autre jour et nous irons plus loin, lui et moi.
J'en suis d'autant plus certain que des gémissements parviennent de la pièce voisine :
A coup sûr, Luc se branle et je vais l'imiter après avoir achevé ma phrase, rangé mon Journal et viré mon dessous".