Au petit matin, ce mardi après la Pâque, Luc et Philippe triquent "grave" :
conséquence des rêves érotiques de la nuit, plaisir et excitation de se retrouver au réveil, nus et côte à côte sous les draps.
Doucement, Philippe attire son ami sur lui, contemple son visage ensommeillé, ses cheveux en bataille, ses petits yeux qui ont encore du mal à s'ouvrir complètement.
Il est attendri, presse son amant contre lui, caresse son dos, descend à ses reins, puis à ses fesses qui se mettent à frémir.
Les deux hommes se déhanchent l'un contre l'autre, bite tendue contre bite tendue.
Ils sentent leurs jouissances monter peu à peu, mais ne la précipitent pas.
Puis Philippe ose glisser un doigt dans la raie de son compagnon, titiller sa rosette imberbe .... et Luc ne résiste pas :
il râle au contraire sur les lèvres de son amant et accentue ses ondulations,le frottement de sa queue contre celle qui la cotoie.
Dans un commun "oh, mon Amour", ils jutent ensemble et inondent leurs ventres.
Une douche durant laquelle ils se lavent et frictIonnent mutuellement, un rapide petit-déjeuner et Luc dépose Philippe devant son immeuble de la Place Bellecour.
Il lui laisse Philuc-minet dans sa panière.
Durant toute la journée, les deux compères sont fébriles, s'envoient des "SMS".
La Secrétaire de Philippe connaît ses goûts homosexuels et exprime son plaisir de savoir son patron de nouveau amoureux, de s'occuper aussi du chaton.
Luc, de son côté, travaille avec plus d'entrain que naguère et se réjouit d'avoir conquis de nouveaux clients pour la Banque dans laquelle il travaille.
Chacun a hâte d'être aux 17 heures prévues pour les retrouvailles chez Philippe,
de se trouver à nouveau blotti dans des bras accueillants,
de renouer le dialogue,
de parler d'avenir.. .