Chapitre Cinquième
L'UNITE
Dès qu'il l'eût vu pour la première fois, Philippe ressentit le désir du petit cul de Luc.
C'était au "Bouchon" du quartier Saint Jean, sans que, passant devant la table de son futur ami, le trentenaire se fût rendu compte qu'il était "maté" (cf. épisode 2).
Par la suite le quadra-Docteur en Psychologie eut le bonheur, dans les Monts du Lyonnais, de contempler les jolies fesses, nues cette fois, de l'ami en voie de devenir son amant.....
puis, la nuit dernière chez le même Luc, de constater que la croupe d'icelui était sensible à la caresse de ses paumes.
Pour autant, ¨Pilippe savait bien qu'il ne lui serait possible de "baiser" un ex-hetero qu'après quelques préparations et préliminaires..
Alors que les 17 heures de leur prochaine rencontre approchaient, il se dit qu'un cunilinguisme et son empalement sur la bite de son futur "enculé" seraient de nature à lui donner des envies de passivité.
Lorsque Luc sonna, Philippe était en peignoir blanc et savates, le corps encore frais d'une douche.
Il serra son invité dans ses bras,
l'embrassa très longuement en calinant son visage, passa une main sous la veste de son costume et,
à travers le tissu du pantalon assez moulant, pelota la croupe tant attirante..
Comme Luc avait travaillé toute la journée, allant d'un client à l'autre, son hôte le conduisit à la salle de bains, lui montra un linge identique au sien et, les ablutions faites, le convia à le rejoindre dans sa chambre.
Philippe trouvait Luc d'autant plus charmant qu'il avait les cheveux en bataille et fut donc ravi lorsque celui-ci se présenta décoiffé sur le seul de la pièce.
Il lui fit un grand sourire et signe de venir se coucher à ses côtés.
Leurs lèvres s'unirent,
tremblantes, leurs mains dénouèrent la ceinture de leurs peignoirs,
puis firent vibrer leurs torses imberbes, excitèrent leurs tétons,
tandis que leurs queues archi-raides déversaient leurs mouilles l'une contre l'autre.
Heureux de voir et entendre son amoureux dans l'expression d'un réel bonheur, Philippe décida de passer à l'acte.
Il fit doucement basculer Luc sur le ventre,
alla s'étendre au-devant de lui, tête entre ses jambes, remonta le peignoir sur son dos pour dégager les globes qu'il admira et palpa.
Puis il les écarta à pleines mains, et, tirant la langue, saliva sur la rosette de son bien-aimé.