Après leur dîner aux chandelles dans l'appartement de Philippe, ses relations amoureuses avec Luc se déroulèrent dans une continuité logique.
Au fil de leurs rencontres et de leurs ébats, ce dernier avait progressivement perdu ses tabous d'hétérosexuel et pris goût aux plaisirs entre hommes.
De timoré, il était devenu ardent..
D'ami successif de quelques femmes, il l'était maintenant d'un bo-quadra qu'il admirait autant qu'il s'en savait passionnément épris.
S"allongeant nu sur le lit, Luc s'offrit,
en se mettant sur le dos, écartant et relevant ses jambes,
en bégayant un "Viens mon amour" dénué de toute ambiguité.
Et, après avoir copieusement enduit sa bite de gel, Philippe entra lentement dans la chapelle tant désirée.
Au départ les deux complices se trouvèrent craintifs :
peur d'aoir mal et peur de faire mal.
Mais, à l'étonnement de chacun, il n'y eut aucune anicroche :
les couilles du sodomisateur purent se coller, sans douleur ni réticences, aux fesses du défloré.
Ce fut ainsi un fort élan d'émotion partagée lorsque les lèvres purent se joindre et qu'un baiser plein de tendresse put marquer la victoire de l'amour, l'union totale entre les deux amants.
Philippe demeura longuement immobile dans l'antre de Luc,
conquise, savourant ce désir de leur unité,
sachant aussi qu'il convenait d'adapter, de forger, le fourreau étroit à ses 19X5, voulant aussi que, décontracté peu à peu, , Luc bande bien entre leurs ventres.
Les limes que Philippe entreprit ensuite furent lascives et dépourvues de "défonces" qui auraient pu blesser le conduit tout nouvellement occupé.
Titiller les tétons de Luc, l'embrasser, le branler au rythme des mouvements de la sodomie, suffirent à exciter les deux partenaires, à faire monter leurs sèves.
Quand Luc eut ses derniers spasmes et se vida dans un grand cri, Philippe emplit les entrailles dans lesquelles il était enfoncé et resta quelques instants enchâssé dans le canal inondé.
Des larmes d'émotion et de joie embuèrent les yeux de chacun dès que Luc et Philippe se retrouvèrent face à face, enlacés, se caressant mutuellement le visage.
Il s'endormirent apaisés et sereins ..... certains qu'ils étaient ésormais faits l'un pour l'autre.