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 Chapitre 24 - L'inspecteur amoureux...

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MessageSujet: Chapitre 24 - L'inspecteur amoureux...   Chapitre 24 - L'inspecteur amoureux... Icon_minitimeDim 9 Mai 2010 - 21:55

Chapitre 24 - L'inspecteur amoureux...


Ray est à présent bien rentré dans « sa » prison, et Céline un  peu triste est retournée avec Yves chez eux, où ils seront un peu seuls, Pierre étant rentré tout à l'heure, car son père doit le conduire voir une école ou deux demain, avant de prendre une décision : son année a été catastrophique, et Pierre voudrait en changer car il doit doubler, se retrouvant au même niveau que son jeune cousin.

Pour Yves, les choses sont différentes : il vient de terminer brillamment son année, et il a parlé à sa mère de son désir de rejoindre une école de cuisine, car il ambitionne de devenir « un grand Chef, si possible étoilé... ».

Céline s'est renseignée, et après avoir vérifié sur le net que l'Ecole Hôtellière Provinciale de Namur compte parmi les meilleures, elle pense aller y présenter Yves prochainement, mais elle doit se résoudre à accepter qu'il vive là en internat, ce qui est deux fois un sacrifice pour elle : financièrement, mais aussi « affectivement » car elle craint de se retrouver seule...

Heureusement, Ray lui a dit qu'il avait toutes ses chances d'être bientôt libéré : son avocat pense que cette fois ses chances sont grandes. Il aura d'abord quelques permissions, encore, pour trouver du travail cette fois, puis il pourra sortir définitivement et la rejoindre. Quelle chance de pouvoir ainsi retrouver un compagnon, qui de plus s'entend à merveille avec Yves, qui les rejoindra sans doute les weekend, très prochainement, puis plus longtemps.

Ils pensent à tout cela en soupant, puis une soirée TV conclu cette journée déjà si chargée. Elle ne discute même pas quand Yves décrète qu'il va « dormir avec le chat Collier dans le chalet »...


Yves, qui a effectivement emmené Collier avec lui, qui ronronne à présent sur ses pieds, s'est très vite déshabillé, restant en slip sous le drap qui le couvre : il a fait si chaud aujourd'hui que même ici la chaleur se fait encore sentir.
Il n'a laissé qu'une lampe de chevet qui éclaire faiblement, et il somnole déjà quand il entend un léger bruit en haut : c'est la porte qui se referme, et une clé qui tourne dans la serrure...

Ainsi, l'inspecteur était exact, et cette fois, il avait accepté cette visite. Son expérience avec Ray lui avait fait comprendre que des hommes plus âgés n'étaient pas désagréables à aimer, et il savait cet homme-ci à sa dévotion, l'adorant littéralement, même s'il était carrément plus vieux.
Il verrait s'il avait eu tord ou raison de lui faire confiance, mais il était trop tard à présent pour reculer car, déjà, l'homme descendait l'escalier, venant le rejoindre...

- Alors, mon garçon, pas de mauvaise surprise, cette fois ? Nous sommes bien seuls ?
- Oui, Inspecteur, ne vous en faites pas : nous ne sommes que nous deux...
- Merci, mon garçon, de m'avoir fait confiance, cette fois. Tu ne le regretteras pas : je vais t'aimer comme tu n'as jamais été aimé !
- Ne vous emballez pas, Inspecteur, sinon vous allez me faire peur...
- Surtout, n'aie pas peur de moi, Yves, car je ne te veux aucun mal, au contraire.
Et appelles-moi Armand, si tu veux bien ?
- Oui, Insp..., pardon, Armand. Vous n'allez pas me faire mal, hein ?
- Mais non, au contraire... Tu vas voir, je serai très doux, comme la première fois, tu te souviens ?
- Heu, oui : ça m'avait fait très drôle, et mon zizi avait craché un liquide visqueux, c'est bizarre ?
- Non non, rassures-toi, c'est normal ! sourit l'inspecteur devant cette candeur qui l'enchante. Tu n'as plus eu ça depuis ?

Yves s'amuse en ayant l'idée de jouer le jeu du néophyte, comme s'il ne savait rien encore « de la vie », et que l'inspecteur lui avait fait découvrir quelque chose de nouveau quand il l'avait fait jouir, lors d'une visite précédente...

- Heu, si Armand : depuis que tu m'as fait cela, j'essaie de reproduire le bien que cela m'a fait, mais sans y parvenir vraiment. Tu vas m'apprendre ?
- Oui, mon petit, je vais t'apprendre, tu verras... Fais-moi une place près de toi. Là, c'est bien...

Tout en parlant, l'inspecteur s'est déshabillé et il rejoins Yves sur le grand lit, s'étendant à ses côtés, lui aussi en slip. Très doucement, il se met à caresser Yves en commençant par ses épaules et son cou, descendant vers ses tétons qu'il fait vite durcir tandis qu'Yves à l'air de se détendre. Il lui susurre encore des encouragements, tels : « n'aie pas peur... » ou « détends-toi, laisses-toi aller... », et Yves se laisse ainsi faire sans lui-même participer. Il est complètement passif, les yeux fermés, sentant le plaisir des caresses l'électriser doucement.

Bien sûr, il se met très vite à bander, et lorsque Armand, de ses longues mains fines, commence à caresser son slip et ce qu'il contient, il ne peut s'empêcher de gémir doucement, encouragent ainsi son « caresseur »...

Armand est pris de passion pour ce jeune corps qui semble lui obéir, et ses lèvres bientôt le parcourent également, partant elles aussi du haut, s'arrêtant sur des tétons maintenant bien durs, puis descendant vers l'objet de ses désirs : avec ses dents, il écarte l'élastique du slip, et une jeune queue en profite pour se libérer de la contrainte que cet objet lui inflige et se dresse fièrement aux yeux de l'inspecteur ébahi :

- Mon Dieu, mon garçon, que tu as déjà là une belle queue !
- Mmmh, merci, Armand...
- N'aie pas peur, je vais te sucer : tu vas aimer ça !

Et avant qu'Yves puisse lui donner une réponse, Armand enfourne goulûment cette belle asperge qui suinte déjà un élixir tout à fait à son goût, et Yves ne peut que gémir de plaisir...

Pris par sa folie adoratrice, Armand a fait descendre complètement le slip léger, jusqu'aux pieds du garçon, et il enfui maintenant son visage dans la jeune toison qu'il découvre à la base de l'arbre de jouissance d'Yves, léchant à présent les jeunes couilles, tandis qu'Yves écarte de plus en plus ses jambes quand il sent une langue fouineuse chercher sa rosette.

Arrivé là, Armand sent qu'il va peut-être trop vite, et il tente d'intéresser le garçon à son propre corps : il enlève son slip et se colle à Yves qui découvre que lui aussi bande, bien évidemment !  Il tend alors la main vers cette queue plus mature, découvrant une assez longue queue, peu épaisse, mais qui lui tient bien en main.
Il la caresse donc, faisant gémir Armand à son tour, tandis que de l'autre main il tâte les tétons de son nouvel amant.

Voyant ainsi que le jeune homme, qu'il croit toujours aussi néophyte, tente de participer à l'action, Armand l'encourage vivement, puis il le mets en position de 69, proposant à Yves de faire comme lui, s'il ose : il reprend donc sa succion de la jeune queue du garçon, tandis que celui-ci donne de timides coups de langue sur la longue bite de l'inspecteur. Mais quand Armand s'enhardit et lui lèche à nouveau la rosette, pénétrant cet antre qu'il croit neuf encore, de sa longue langue fouineuse, Yves se met à engloutir le gland du policier, le suçant bientôt comme s'il n'avait jamais fait que cela, l'inspecteur l'encourageant de la voix et de ses gémissements.

Mais Armand sait ce qu'il fait, et il pompe bientôt Yves de telle manière que celui-ci se tende tout à coup des reins, ne pouvant plus retenir l'onde de plaisir qui est née là et qui s'échappe à présent en flots généreux d'une jeune semence que le policier avale avec gourmandise, n'en retenant qu'un peu en bouche, pour à nouveau s'intéresser à la rosette d'Yves qu'il mouille de cette manne, la graissant et pénétrant d'un doigt le jeune fion :

- Tu as eu bon, mon grand ?
- Ooooh oui... soupire Yves avec le sourire, et maintenant ?
- Maintenant, mon grand, si tu veux qu'on aille plus loin, je vais voir si tu supportes la pénétration de un, puis deux doigts, et peut-être ensuite de mon dard ? Qu'en penses-tu ?
- Mais, je ne sais pas... Si cela ne fait pas mal, pourquoi pas ?

Encouragé de cette manière, l'inspecteur qui a déjà bien travaillé la rosette d'Yves, faisant s'ouvrir celle-ci doucement, peut risquer facilement un deuxième doigt, et peu de temps après, il se place en position de pénétration, plaçant Yves devant lui et sur un côté pour le prendre doucement par derrière. Il place ensuite un gland qui suinte de désir à l'entrée tant désirée, et celle-ci semble l'avaler avec une grande facilité, ce qui procure un plaisir fou à cet homme qui semble adorer ce jeune homme.

Poussant son avantage dans ce jeune fourreau, Armand est bientôt à fond, ses couilles  touchant les jolies fesses du garçon. Il se met alors à faire de lents va-et-vient, faisant bientôt gémir Yves de plaisir, ce qui l'encourage et le fait accélérer.
Après un long moment de lime, Armand sent à son tour le désir lui monter dans les reins, et bientôt il se décharge dans ce petit cul si beau qui l'excitait tant !...

Après avoir joui, Armand est resté un bon moment en Yves, le gardant tout contre lui, tout en le caressant à nouveau, obtenant ainsi très vite une nouvelle érection de son jeune amant...

- Si c'était bon, mon Yves, as-tu envie de m'en faire autant ?
- Oh oui, Armand, je veux bien essayer...
- D'accord. Je vais me mettre à genoux, et tu vas me prendre « en levrette » comme on dit.
- Ok, comme tu veux.

L'élève, qui pourrait presque en remontrer au maître, mouille alors la rosette de celui-ci avec son propre jus qui suinte un peu entre ses propres fesses, et il peut ainsi très vite saillir Armand qui semble ne demander que cela, car son fourreau s'est ouvert comme une fleur gourmande pour accueillir la jeune queue d'Yves !

Celui-ci fourbi rapidement son homme et le fait bientôt gémir, puis réellement jouir, semble-t-il, tellement ses encouragements pressent le jeune homme. Quand il sent son partenaire bien « mûr », Yves lâche sa manne en de longs jets qui le font gémir lui-même, tandis qu'Armand grogne ses derniers encouragements, ses muscles fessiers semblant aspirer plus profond la jeune asperge qui le travaille, jusqu'à vider entièrement les couilles du jeune homme.


Ils ont longtemps fait l'amour encore, Yves semblant tout découvrir comme si c'était nouveau, et Armand heureux qu'un tel élève réponde aussi bien et aussi vite à ses avances.

Quand, au petit matin, il se décide à prendre congé de son jeune amant, il regrette sa promesse de ne venir « qu'une seule fois », mais Yves accepte la carte de visite qui lui est proposée « dans le cas où il aurait envie de le revoir... », phrase dite avec beaucoup d'espoir dans la voix. Yves ne promet rien, mais dit que, si cela se présente, pourquoi pas ?...
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