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 L'homme sous le tilleul 5

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MessageSujet: L'homme sous le tilleul 5   L'homme sous le tilleul 5 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 19:37

- Tu ne disparaîtras jamais de ma vie, moi aussi j’éprouve des sentiments de cœur très forts pour toi, tu es le premier homme auquel je me donne, jamais tu ne quitteras mon cœur car je t’aime et puis je reviens déjà en septembre, tu seras toujours mon éternel amour de vacances.
- Comme c’est beau ce que tu me dis, tu es un soleil pour moi, Pichoun » et il m’embrassa.
Dans ce baiser, il y avait tant d’amour que les larmes me vinrent aux yeux comblé par cet amour.
Après une petite toilette tout en quittant la chambre Félicien me dit, « on va prendre un dernier rosé dehors ?
- d’accord.
On s’installait nus sous le catalpa, et je savourai des yeux la beauté de son corps tout en buvant mon verre de rosé, j’étai fasciné par cet homme.
- Tu crois que tu pourrais vivre dans le pays ?
- Pour sûr que oui ! Mais c’est un rêve, car je ne n’ai pas les revenus pour loué à l’année en Provence, avoir deux résidences est au-dessus de nos moyens.
Il restait un long moment pensif le verre dans la main, le regard posé sur moi, puis brusquement, il se le va, « viens suis-moi ».
Il posa sa main sur mon épaule, et tout en nous dirigeant vers les bâtiments, sa main courrait lentement sur mon dos venant caresser mes fesses.
- Félicien ! Même si j’ai toujours envie de toi, maintenant je dois redescendre au gîte.
- Ne dis rien ! Contente-toi de me suivre.
Il ouvrit la porte d’une annexe à côté de la maison et l’on entra dans une grande pièce aux volets entre ouverts, elle était encombrée d’un tas de choses, un vrai bordel, puis il me guida vers une autre l’ouvrant sur une pièce vide où par les volets mi-clos le soleil faisait danser la poussière, il referma la porte et sa main sur mon épaule il me conduisait vers une troisième, là, du mobilier y était entreposés recouvert de draps.
- Tu vois ! Il y a bien longtemps nous avions construit cette annexe pour ma belle-mère, mais la pauvre vieille nous a quittée avant la fin des travaux et puis je me suis retrouvé veuf, dans cette grande bâtisse.
- Tu n’as jamais pensé à te remarier ?
- Non, j’avais trop de peine et je ne voulais pas d’une autre femme dans ma vie tant Fanny m’avait donnée du bonheur, elle me connaissait bien et me pardonnait mes écarts.
- tu aurais pu louer cette maison où en faire un gîte.
- Je n’avais pas envie d’avoir à côté de moi d’autres personnes, je m’étais habitué à ma solitude, j’étais bien comme ça jusqu’au jour de notre rencontre. Mais maintenant que tu es là c’est différent. Pourquoi ne viendrais-tu pas t’installer ici avec te femme ?
- Félicien ! Tu es fou, je ne saurai jamais te payer une location à l’année.
- Oui ! Je suis fou, mais c’est fou de toi, j’aimerai te voir, te sentir là vivre à mes côtés, et puis qui te parle de location ! A mon âge je n’ai plus besoin de faire ma paillasse. Tu pourrais venir plus souvent être près de moi, je ne veux pas de ton argent, ta tendresse et ton amour sont pour moi une vraie fortune.
- Là ! Je suis tout retourné ! Je ne trouve pas les mots, tu m’offres ce dont j’ai toujours rêvé.
Je ne pouvais retenir les larmes de joie qui coulaient sur mes joues, de ma vie je n’avais jamais reçu de plus beau cadeau et surtout une telle preuve d’amour.
Il me prit dans ses bras et me serra contre lui, « Arrêtes grand couillon, tu me fais pleurer aussi».
- Marcel, tu en parles avec la femme et vous montez voir si elle aimerait cet endroit. Maintenant, sauves-toi, je vais te donner un panier d’abricots comme cela tu pourras justifier ta visite et parler de ma proposition à ta femme.
Je pris mon chapeau et mon panier d’abricots, je lui fis la bise puis je me mis en route pour redescendre vers le logis.
- Ho Pichoun ! Si tu descends comme ça tu ne passeras pas inaperçu », Il riait aux éclats.
Saoulé de ce rêve qui devenait réalité, j’avais oublié de remettre mes vêtements et je redescendais nu sur le chemin avec comme unique vêtement mon chapeau de paille et mon panier d’abricots à la main.
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L'homme sous le tilleul 5
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