La VIDEO/GAY

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1) l'Annonce

Me connectant sur le nouveau site d'Histoires Gays, je lis une annonce qui m'émoustille :

" Réalisateur-amateur recherche 3 hommes de 25, 35 et 45 ans pour contribution à un film X.
Envoyer photo à Lolo qui sélectionnera 10 personnes par tranche d'âges et fera paraître ses choix dans sa rubrique quotidienne "les mecs du ...".
Ensuite, celui qui aura reçu le plus de voix des membres d'Histoires Gays participera à la séquence ".

Ayant 24 ans, désormais sans tabous et, ma foi, pas mal du tout
(1.80, 78, 19x5 et belle croupe, yeux bleus, chatain, torse bombé et imberbe),
je m'empresse de m'autophotographier et d'envoyer mon image par e-mail.

Quelques jours plus tard, j'ai le plaisir de me trouver parmi les 10 de 25 ans retenus par Lolo et, quinze jours après, d'être l'élu des membres d'Histoires Gays.
Il est vrai qu'au lieu de choisir les slip, maillot de bain ou autre "feuille de vigne" endossés par les gars intéressés comme moi par la video, j'ai revêtu un short/jean super-moulant et un mini-pull suffisamment
court afin de ne pas masquer mon nombril et ma superbe chute de reins, enfin pour ne rien cacher de mon joli poitrail.

En revanche, désirant me réserver la surprise des deux autres co-acteurs de 35 et 45 ans, je me garde
de les visionner sur "Histoires Gays".

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2) Introït à la Video

Appelé sur mon portable par le réalisateur/annonceur, je suis aimablement prié de me rendre dans un pavillon de la proche banlieue parisienne et d'apporter les shorty/jean et mini-pull moulants dont le côté "sexy" plut à Lolo, puis aux membres d'Histoires Gays qui m'ont élu.
Un peu fébrile, je vais au rendez-vous fixé  et fais la connaissance du réalisateur, lequel est assisté d'un second cameraman.
Tous deux sont assez âgés et bedonnants, mais sympathiques ... ce qui me suffit.
Au deuxième étage de la villa, ils ont aménagé une grande pièce en "loft"  :
pour les besoins du film, ce lieu est censé être le domicile où - après contact sur le net - je dois recevoir un homme mûr, en l'occurrence le 45 ans choisi, comme je le fus, sur "Histoires Gays".
Pour ne pas perdre de temps et vu que je ne désire toujours pas connaître mes partenaires de video avant l'action, il est décidé de commencer immédiatement la première séquence.

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Conformément au scenario qu'on m'a rapidement présenté,  j'endosse ma tenue provocante et, sous l'oeil de la camera, vais m'asseoir devant mon ordinateur pour pianoter sur un forum.
Le dialogue est naturellement filmé :
" -  Bjr, bel  H 48 ans ch + J assez passif pour matinée coquine.
 -  Slt, 24 ans, pas mal, peux recevoir rue de la Pompe.
 -  Humm, rue de la Pompe, quel programme  !!!  En plus je suis tout près.
 -  Alors O.K.? sonne à l'interphone du 23 - Je suis Vincent.
 -  Super Vincent - Moi c'est Paul - dans 10 mn. "

Ensuite de cela les objectifs me suivent en train de déambuler dans le "loft, de baisser les stores, de déposer un préservatif et un vaporisateur de gel sur la table de nuit, de me mettre à poil et d'enfiler un boxer de coton blanc.
Des "zooms" prennent en gros plans mon desssous de ceinture recto et verso, en short, nu, et en boxer.

Puis toujours filmé et enregistré vocalement, je vais à l'interphone :
" - C'est Paul.
 - 2ème étage droite. Ma porte sera entrouverte - Referme-la et mets le verrou après être entré."

Après cette  brève conversation, je vais m'étendre à plat ventre sur le lit ..... toujours filmé , cela va de soi.

3) IntroÏt charnel

Le bruit d'une porte et d'un verrou délicatement fermés, le bruissement de vêtements qu'on enlève, me font deviner que mon invité du film est arrivé.
Toujours allongé sur le ventre, je ne vois rien de ce qui se rédoule dans le "loft", mais je sais que les caméras doivent s'empresser de prendre des vues que je contemplerai plus tard :
la survenance d'un homme bcbg en costume/cravate,
sa "mate" de mon corps allongé sur le lit en seul boxer immaculé,
son déssaage lascif comme un strip-tease, jusqu'à ce qu'il ne porte plus qu'un slip de soie blanche,
ses belles formes recto et verso que le tissu recouvre en les épousant parfaitement,
sa lente avancée vers moi.

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Une main se pose doucement sur mon boxer et entreprend de caliner mes fesses sensibles.
Ravi de cette "entrée en matière", j'ondule légèremnt et gémis un "Oh ouiiii" qui incite Paul à accentuer la pression de sa paume, à glisser un doigt sous la cotonnade pour un accès direct à ma raie, puis à abaisser quelque peu mon dessous pour que le haut de cette raie ne soit plus dissimulé à l'objectif.
Dans le respect du scenario, mon palpeur émet un "Superbe croupe, Vincent" .....
ce à quoi, joignant le geste à la parole, je me retourne sur le dos et dis avec un sourire coqun :
"Et mon recto, il te plaît aussi?"

Ce faisant, je découvre enfin mon partenaire de video, cet homme choisi par les membres d'Histoires Gays" au sein des 10 de 45 ans initialement retenus par Lolo.
Son allure me séduit aussitôt : un port aristocratique, des cheveux abondants plus sel que poivre, des lèvres sensuelles, un torse aussi finement musclé et imberbe que le mien, une bosse de slip révélan,t un "outillage " de rêve.
Mais je n'ai guère le temps de jouir du spectacle ainsi offert :
en effet, Paul se met à genoux, courbe l'échine et commence à mordiller le coton déformé par ma vive érection.

Mon corps frémit, mes gémissements reprennent, naturellement enregistrés comme nos paroles par l'appâreil de son des cinéastes.
Paul caresse mes cuisses, soulève mon boxer avec les dents et dégage ma bite; il la lèche avec gourmandise m'arrachant des râles.
Comme je ne suis pas du style à demeurer longtemps inactif, je saisis une hanche de mon excellent suceur pour l'inviter à me rejoindre sur le lit, à nous mettre en 69 sur le côté, à entamer une double fellation, nos sous-vêtements descendus au niveau des genoux .
Hummmm comme tout cela est géant et d'autant plus excitant que nous nous savons filmés et entendus! !!!
Qu'il est bon d'être merveilleusement "fellationné", de sentir un 22X6 limer tendrement ma gorge, de goûter à une mouille savoureuse.

Le scenario le prévoyait, mais quel plaisir de le suivre :
je prends le préservatif et en enrobe la queue que je désire ailleurs en moi, arrose le capuchon avec le vaporisateur de gel ... tandis que nos mouvements de pieds, à Paul et moi, envoient nos boxer et slip valser sur la carpette.
Mon compagnon vient s'asseoir sur ses talons entre mes jambes et, me souriant, en porte une à son épaule droite
Ne serait-ce que pour donner à la caméra le temps de filmer la scène, il entre lentement en moi.

Alors, au commencement de cet introït anal. je lance un vibrant " Paul, baise-moi bien".

4) Sublimes Pénétrations

J'ai souvent donné mon cul, mais jamais avec une satisfaction aussi intense et complète que, présentement, devant les caméras.
Certes, leur jeu nous excite, Paul et moi, nous invite à être de bons acteurs, à nous dépenser et agir au mieux.
Mais il y a , aussi, le fait que ledit Paul est une excellent "baiseur', fort endurant qui mieux est :
- il se plaît à me saillir dans toutes les positions imaginables, parfois avec tendresse, d'autres plus "hard",
- il sait se servir habilement de sa superbe bite comme de mon antre réactive et généreusement offerte,
- il aime sortir de moi et y entrer à nouveau sous l'objectif de cameramen enchantés de filmer ses "va et vient" autant que mon anus bien élargi quand il est libéré quelques secondes durant.

Et puis, comme si nous étions amoureux - je crois le devenir un tantinet -, il y a nos baisers, nos "pelles", nos mots d'amour qui, enregistrés par la bande sonore, alternent avec des termes plus crus :
- "Vincent, je préfère ton cul à la chatte de ma femme"
- "Donne-toi à fond"
- "Encule-moi grave"
- "Je veux sentir tes couilles contre mes fesses";
ce, sans compter les râles sonores qui fusent dans le loft.

5) Tornades blanches

Alors que je suis assis sur Paul, empalé,
que je monte et descends le long de son superbe chibre,
il se déchaîne et déhanche au rythme des mouvements de mon bassin.
En transes comme moi, il hurle presque "Jute fort Vincent. Enneige mes seins".
Ne pouvant résister à un tel appel, je ne tarde pas à décharger abondamment sur le torse du beau senior.

Mon dernier jet survenu, il décule, retire sa capote d'un geste vif et vient s'accroupir au-dessus de mon visage, cuisses enserrant mes joues.
Quelques rapides masturbations suffisent pour qu'il gicle en une formidable tornade blanche :
elle s'abat sur me lèvres et mon menton, dans mon cou aussi, remplit ma bouche béante.
Hummmm, quel délice !!!

Les dernières images de la première séquence du film s'attardent sur un baiser très langoureux.
Quant aux ultimes paroles, elle sont :
- "Géant mon Vincent. Veux-tu remettre le couvert en fin de journée".
- "Sûr Paul. Repasse apès 17 heures".

Dans la réalité hors video, les réalisateur et assistant nous demandent, à Paul et moi, de ne revenir au pavillon que le surlendemain pour un troisième épisode du film.
Le deuxième est prévu chez le troisième larron, celui de 35 ans choisi par Lolo et les membres d'Histoires Gays.
En solo, il doit être filmé dans son hangar de pompier professionnel.

Rhabillés, Paul en tenue bcbg dont j'admire l'élégance, lui et moi, nous regagnons PARIS.
Dans le R.E.R, le bel homme mûr glisse à mon oreille :
" - Tu sais, Vincent, ce fut extra devant les caméras.
Mais que dirais-tu d'un duo intime?
Si tu le veux et peux, viens chez moi ce soir pour profiter de ce que ma femme est en voyage.
Tu seras le premier homme que je recevrai et auprès duquel je dormirai".
Emu par ces propos, je bafouille :
"Volontiers Paul, d'autant que je souhaite aller avec toi au-delà de la simple participation à un scenario".

Nous nous séparons à la station Denfert-Rochereau.
Dans une de mes mains, je serre la carte de visite d'un homme dont, même s'il est marié, je désire devenir le jeune amant.

6) Solo Exhib

François, le pompier soliste, est un vrai mâle :
râblé, musclé, très brun et velu, il est doté d'un 21x6 orné d'une toison somptueuse et d'imposantes couilles.
Fier de ce physique, il l'exhibe volontiers en privé et en profite pour se livrer à des aventures sans lendemain.
Bi, il n'est pas du genre à s'empêtrer dans des relations suivies, qu'elles soient féminines ou masculines.

Elu sur "Histoires Fays, il n'est pas mécontent que le réalisateur et son assistant lui proposent de débuter par un solo.
Le "Sapeur" en offre même le décor, à savoir son local professionnel, hangar des voitures du feu.
C'est donc là que va se dérouler la deuxième séquence du film/video.

Les caméras commencent par projeter des vues générales sur la salle, puis se focalisent sur un camion aux girophares allumés.
A son arrière, François est debout, pieds au sol, jambes écartées, dos contre l'échelle à demi-relevée.
En bottes, fute et blouson aux rayures "fluo", casque sur la tête, il palpe la bosse de son pantalon, avant d'en faire glisser la braguette et de laisser apparaître un slip rouge superbement gonflé.
Dans le même temps, il lèche le bout de la lance d'arrosage comme il le ferait d'un god.
Après avoir longuement manipulé le tissu rouge, il le distend et en extirpe un outillage que ses mains et le fer de la lance s'empressent de caliner, de faire vibrer .... sous l'oeil vicieux et rapproché des objectifs.

Quelques instants plus tard, le Sapeur n'a plus que ses bottes et son casque.
Il a grimpé au milieu de l'échelle et, lui faisant face, présente sa croupe aux cameramen, n'hésite pas à écarter ses globes à pleines mains aux fins de dévoiler ses raie et antre sombres de poils.
Il ondule, se déhanche lascivement, et continue , mais sur ses fesses maintenant, de se frotter avec le tuyau d'arrosage des incendies.
Puis, il se retourne et, très souriant, donne le beau spectacle de sa bite archi-dressée, de ses burnes imposantes.

En dernier lieu, il est au sommet de l'échelle, empalé sur un godemiché fixé à la dernière barre métallique.
Il se branle avec frénésie, râle bruyamment et, au son d'un cri sonore, largue sa sève sur la lunette de la caméra.
Embuée de foutre, elle enregistre les ultimes moments de cette séquence de solo exhib avec "veuve poignet".[

7) Pompes et Pompier

La troisième et dernière séquence du film/video a lieu dans le loft qui servit de décor à la première.
Aux images, de départ, en peignoir largement ouvert, Paul est assis sur un rocking-chair et, à genoux entre ses cuisses bien écartées, revêtu de mon seul shorty/jean moulant, je suce et lèche les beaux trésors de mon co-acteur.
Il gémit, lance des "Régale-toi Vincent" et, à l'aide des mouvements du fauteuil à bascule, me lime la gorge.

On frappe à la porte et, sans attendre de réponse, François, l'élu des 35 ans d'Histoires Gays et soliste de la deuxième partie de la video, entre et nous mate.
Pour ma part, je ne vois pas cela, ma tête étant maintenue au-dessus du bassin de Paul, mais j'entends clairement :
"Bonsoir les amis, ne vous dérangez pas. Je viens seulement apporter le calendrier annuel et peux très bien recevoir votre don en nature".

En bottes, fute et blouson avec des rayures "fluo", casqué, il s'approche de nous, enjambe le siège sur lequel Paul est installé.
Le saisissant à la tête, il lui dit :
"Sors ma bite et pompe la. Il faut la lubrifier pour le cul de ton pote".
En plans généraux ou "zooms", les caméras filment alors les deux fellations :
celle que je continue d'opérer sur Paul et
celle que celui-ci entame avec délectation sur le superbe chibre de notre Soldat du feu.

Quelques instants plus tard, mes deux aînés échangent leurs positions.
François est mainteant vautré sur le rocking-chair, fute "fluo" et slip rouge aux chevilles.
Il offre son service trois pièces à mes succions, tandis qu'il en pratique sur les couilles et la hampe de Paul.
Tout cela continue naturellement de se dérouler sous l'oeil des objectifs, les râles et incitations verbales de l'homme qui n'a pas la bouche pleine étant aussi enregistrés.

Au bout de deux ou trois minutes, nous disparaissons du champ de vision.
Le loft est filmé , le temps de faire la transition avec la scène suivante des ébats du trio.

Chaleurs finales

A présent, Paul et moi, nous sommes entièrement nus mais, ayant tenu à conserver son look de Pompier, François a gardé ses bottes et son casque.
Debout près d'un table sur laquelle je suis allongé, cuisses écartées et jambes relevées sur mon torse, il me "baise" sans ménagements.
Il est d'autant plus excité que, dans le même temps, Paul est à genoux derrière lui et "bouffe" son cul avec ardeur.

Quelques instants plus tard, le Sapeur est l'enculeur/enculé :
il me défonce au rythme des assauts de notre senior .
Puis les rôles, sauf le mien, sont échangés et c'est Paul qui se trouve alors au centre du trio.
Inutile de préciser que les cameramen sont ravis de filmer tout cela en gros plans, de prendre en zooms l'image des queues allant et venant dans les antres sodomisées, des visages convulsés, des tétons pincés, des doigts qui me branlent au tempo des deux limes.

En transes, totalement offert à deux hommes qui alternent dans mon anus, masturbé par eux avec vigueur, je ne tarde pas à arroser mon ventre et mon torse .....
ce, sous les encouragements haletés de mes pourfendeurs :
"Vas-y, Vincent. Vide-toi bien".

Ayant déculé, François et Paul se plantent chacun d'un coté de la table sur laquelle je suis toujours étendu.
Ils "s'astiquent grave" en se donnant des "pelles" et éructant des râles que l'appaeil de son s'empresse d'enregistrer.
Presque concomitamment, ils jutent sur moi et mon recto reçoit leurs foutres qui se mèlent au mien.

Courbant l'échine après s'être copieusement répandus, ils me lèchent et nettoient, se régalant de trois sèves aux saveurs mélées.
Mais, non égoïstes, ils ont le souci de me faire déguster le triple nectar et, l-vres bien enneigées, viennent m'embrasser avec autant de vice que de tendresse.

C'est sur ce baiser que s'achève la troisième et dernière séquence de la video/gay ... avec d'ultimes paroles :
- François : "Humm, les gars, je crois que je vais revenir".
- Paul et moi : " Oh ouiii, meis viens présenter un calendrier mensuel et non plus annuel !!!!"

9 et Fin) Amours post video/gay

Comme vous le savez (cf. épisode 5), Paul et moi, nous avons profité des 48 heures entre la première et la troisième séquence de la video pour nous rencontrer en intimité, hors caméra, et nous connaître davantage.

Profitant d'un voyage de son épouse, mon partenaire de film me reçut chez lui et nous avons passé ensemble deux soirées/nuits délicieuses, en véritables amoureux.
Bien qu'il eût 48 ans, mon ainé - il est vrai de "vocation tardive" - accueillait à son domicile et dormait auprès d'un homme pour la première fois.

Très enamourés l'un de l'autre, nous avons vite envisagé un suivi à la faveur des fréquents déplacements de la femme
Soucieux de vérité, Paul me la présenta au cours d'une repas un peu guindé, mais rassurant et honnête pour tous.
A cette occasion, une seule allusion fut faite à la relation homosexuelle lorsque la Dame me dit : "
"Vincent, je préfère que mon mari fréquente un garçon bien élevé et cultivé comme vous l'êtes, plutôt que d'aller d'aventures en aventures, toutes déstabilisantes et dangereuses".
Depuis lors, je ne l'ai jamais revue, mais elle fut et est toujours aimable lorsque je "tombe sur elle" au téléphone.

Cela fait maintenant 10 ans que Paul et moi, nous sommes amants.
Et nous sommes toujours aussi désireux de nos corps.
Nos ébats sont fréquents, mélant superbement des actions assez "hard" avec des échange sensuels et de grande tendresse.

Préférant la qualité à la quantité, nous avons rapidement renoncé aux 5 à 7 - sauf parfois avec François ou pour la paricipation à de nouvelles videos - et, dès que cela est possible, prenons des week-ends ou vacances en commun.
Paul a désormais 58 ans et moi, 35; tous deux, nous ne vivons toujours "QUE DU BONHEUR".

Super chouette ton histoire, Volupté !
Oufti (comme dirait Tonton) c'était chaud devant ! lol

T'es vraiment un spécialiste dis donc ! Merci.
Bisous,
Tony