Cela pourrait être n'importe quel soir de Juillet ou Août lorsque, le dîner achevé, Hans se frotte derrière moi, m'embrasse dans le cou,
retire mon peignoir si je ne suis pas déja complètement nu,
murmure des "Humm, Marc chéri, j'ai toujours envie de toi"...
tandis que je fais notre petite vaisselle.
J'ondule alors de la croupe pour bien marquer que, moi aussi, "j'ai envie" et je me hâte d'achever mon travail.
Puis, mon beau soldat me prend dans ses bras comme un enfant et
me conduit sur son lit ou le mien.
Il s'allonge face à moi et nos jambes s'enchevêtrent : s'ouvre alors le temps d'un très long baiser au cours duquel nos langues se mèlent alternativement avec douceur ou fougue ... au rythme de caresses sur nos joues.
Tout est passion, émotion.
Sans mettre fin à notre embrassade, Hans nous fait rouler sur le lit,
palpe mes fesses sensibles quand je suis au-dessus de lui,
se déhanche pour bien frotter sa superbe bite contre la mienne lorsque je suis au-dessous de son corps.
Tout cela est merveilleux pour l'un et l'autre, nos yeux grand-ouverts sur ceux de l'autre témoignant de notre fol amour
D'une manière générale, le Teuton balbutie un "laisse-moi t'aimer' et prend l'initiative de nos ébats.
Couché sur le dos, frémissant de toutes mes chairs, je m'abandonne aux gestes et succions de mon amant,
m'offre de la tête aux pieds,
gémit,
éructe des "Oh Hans" qui l'incitent à me parcourir davantage, le mettent dans une sorte de transe aussi forte que mon propre émoi.
Mes tétons, ma queue, mes couilles et mon cul lisses sont léchés, aspirés, sucés, dévorés avec maestria .... ce quui n'empêche pas mon amant de se détacher parfois d'eux pour s'accroupir au-dessus de mon visage, l'enserrer de ses cuisses musclées, et m'inviter ainsi - quel bonheur ! - à goûter aux charmes de sa peau, à la saveur de sa mouille, aux humeurs de son anus, aux vibrations de ses seins entre mes lèvres.
Parfois, il s'empale sur mon sexe,
d'autres, plus fréquentes, il me sodomise de face, tout en me branlant entre nos ventres et me donnant des "pelles"langoureuses.
Humm, que tout cela est délicieux et mérite de durer.
Heureusement, nous sommes très endurants et savons maîtriser nos jouissances.
Hans ne donne le "la" de leur libération qu'après plus d'une heure de galipettes.
Selon son humeur du jour, nous nous répandons dans nos antres intestines, dans nos gorges gourmandes, voire sur nos torses ou nos visages ....
ce, au son de cris, de "Hans" et "Marc" vibrants qu'avec la fin de l'été et celle du séjour de mes oncle et tante dans leur maison de campagne, nous serons contraints de rendre plus discrets.