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 L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES

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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMar 16 Mar 2010 - 17:59

1

Guy (31 ans) et moi (52), nous sommes en reportage dans le PAS de CALAIS .... avec, au programme de notre étude pour un grand hebdomadaire national, une enquête sur l'expulsion des "sans-papier".
Pour l'heure, nous sommes sans vêtements, Guy honorant une femme en seuls bas et porte-jarretelles, tandis que son mari m'encule sans trop de ménagements.

Le couple précité milite vaillamment pour la défense des malheureux émigrés, les nourrit, voire les loge très discrètement et, lors du dîner auquel ils nous ont conviés, mon jeune assistant et moi, se sont montrés fort heureux de nous confier des témoignages qui seront utiles pour notre écrit journalistique.
Mais, le repas achevé, tout évolua lorsque la Dame vint nous servir le café en déshabillé plus que vaporeux et, avec une dextérité remarquable, se mit à désaper mon compagnon sans qu'il ait eu le temps de vider sa tasse.
A poil, il la suivit dans sa chambre alors que, le conjoint et moi, nous nous embrassions, palpions et dévêtions mutuellement.

Se retrouvant sur le lit conjugal, notre quatuor se complut en baisers, caresses et fellations dénuées de tout tabou ..... si bien que Guy est maintenant en train de jouer avec sa queue dans la chatte féminine et que notre hôte masculin me défonce hardiment.
Les râles fusent de toutes parts et les mouilles s'écoulent à qui mieux mieux.
Sucé par la maîtresse de maison, je me régale de ses succions, mais aussi des coups de boutoir du maître de céans et de contempler l'ardeur avec laquelle Guy agite avec frénésie sa bite dans le con de ma "fellatrice".

En fin de "partie", l'hôtesse est prise de trois côtés :
mon jeune amant encule Madame dont je défonce la vulve et elle pompe son époux.
C'est géant, délirant, et, accompagné de pépiements très sonores, l'orgasme de la vicieuse est aussitôt suivi d'éjaculations simultanées dans les ouvertures si gentiment offertes.

Redevenus sérieux après ces galipettes, nos partenaires d'un soir évoquent à nouveau le sort des malheureux que le Ministre BESSON poursuit sans pitié et font allusion à un dénommé Boris, réfugié de TCHETCHENIE, muet sans grand bagage ni compagnie, sauf celle d'un chat, et qui errerait dans le sud de la région calaisienne.
Ils nous donnent l'adresse du dernier endroit où, à leur connaisance, on l'ait vu.

De retour à notre "Holiday Inn" de CALAIS, Guy et moi, nous nous endormons rapidement dans les bras l'un de l'autre.
C'est notre dernière nuit dans la région et, avant de sombrer dans le sommeil, nous convenons de faire, le lendemain matin, un petit détour vers le lieu où le dénommé Boris aurait été signalé.
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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTMENTALE SANS PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMer 17 Mar 2010 - 11:58

2

Les recherches en vue de retrouver le dénommé Boris, le sans-papier muet, s'avèrent plus longues et délicates que prévu :
De fermes en villas, d'immeubles cossus en H.L.M., de bourgs en villages et hameaux, Guy et moi, nous sommes accueillis avec prudence, sinon véritable méfiance : courageux pafois mais jamais téméraires, les gens craignent des représailles pour avoir hébergé le fuyard que la police recherche ou lui avoir donné à manger.
Nous arrivons cependant à suivre la trace de son périple à pieds depuis CALAIS et atterrissons à TILQUES, près de SAINT OMER.

Là, alors que nous achevons de déjeuner, un violent "Barre-toi, tu pues. Je vais prévenir les flics" nous fait lever la tête et, à travers la baie vitrée du restaurant, nous voyons un homme courir vers un petit bois voisin.
Comme il porte un chat sur son épaule droite, nous en déduisons qu'il s'agit de Boris.

Guy sort aussitôt alors que je pars régler la note du repas et invectiver le patron :
"Laissez-moi m'occuper de ce malheureux avant l'arrivée des gendarmes et ne donnez aucun renseignement sur ce que je vais faire".
Gêné, il me répond : "Soyez tranquille, je dirai seulement que le sujet de leur recherche est parti dans une camionnette".
Me voila donc un peu rassuré puisque je roule en voiture citroën.

Rejoignant Guy, je le trouve accroupi face à un homme hagard assis contre un arbre.
Il lui sourit, ce que je m'empresse de faire aussi. Héla, nos appels de sympathie demeurent sans aucune réaction.
Hirsute, barbu, sale et dépenaillé, notre vis-à-vis pue ainsi qu'il avait été crié depuis les cuisines du "resto".
Il donne l'impression d'un gars perdu dans je ne sasi quelles pensées, absent et épuisé.

Finalement, c'est en caressant le chat que nous arrivons à attirer une certaine attention de son maître.
Le félin sent probablement l'odeur restée sur nous de nos deux "minous" (cf. L'Education Sentimentale). bien qu'ils soient demeurés à mon domicile de LYON.
Bref, le petit sursaut de vie et de conscience dont nous sommes les témoins est le super-bienvenu car, dans le lointain, nous entendons les sirènes de ce que nous analysons comme l'arrivée au village des pandores.

Sans perdre de temps, je vais vite à la voiture afin de la rapprocher au mieux de la clairière où nous avons fait la découverte de Boris.
Lorsque j'arrive à proximité de ce lieu, Guy saisit l'émigré par le bras et le traîne sans façon vers l'arrière de mon véhicule.
Il l'y pousse et s'assied à ses côtés, le minet entre eux deux.
Sur les chapeaux de roue, je quitte le village de TILQUES sans repasser par la place centrale ni devant un restaurant où la gendarmerie doit, je l'imagine, poser quelques questions au tenancier.
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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTMENTALES SANS PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeVen 19 Mar 2010 - 15:55

3

Au départ du PAS de CALAIS, je songe à quitter rapidement la région où Boris est recherché et à gagner d'une seule traite mes pénates lyonnaises.
Cependant les effluves nauséabondes de l'émigré sans-papier deviennent vite insupportables et, indépendamment du fait que, Guy moi, nous n'envisageons pas de récurer notre passager en arrivant tardivement à notre domicile, nous décidons de faire halte dans la région de TROYES, à SAINTE SAVINE plus exactement.
Grâce au Guide Michelin, nous apprenons qu'il y a là un motel, soit de quoi faire accéder très discrètement notre passager à une chambre et, surtout, à une salle de bains.

Pour l'heure, il dort ou entrouvre les yeux sans manifester des signes véritables de vie.
C'est un zombie.
Assis à ses côtés, ne serait-ce que pour surveiller le chat, Guy se pince le nez ou fait de l'aération en agitant une carte routière au niveau de sa tête.
Lui et moi, nous sommes pressés d'arriver.

Après avoir pris la clef d'une sorte de bugalow, je dépose mon ami et Boris devant la porte d'une chambre et les laisse y pénétrer avec le chat
Dociles, l'animal et son maître se laissent conduire par le cher Guy, tandis que je repars en voiture à la quête d'une centre commercial aux fins de trouver un peu de nourriture pour nos deux nouveaux compagnons et des vêtements de rechange pour le tchétchène.

A mon retour, tout le monde est dans la salle d'eau :
sous l'oeil du félin sagement assis sur le carrelage, Boris, debout dans la baignoire, se fait frictionner par Guy.
Le premier est naturellement nu, le second en slip.
"Beau spectale", dis-je en riant ..... encore que très accaparé par sa tâche de décapage, le "laveur" ne soit pas disposé à jouer les voyeur ou exhib et que, toujours amorphe, Boris ne soit pas en état d'apprécier mes plaisanteries.

Chargé d'essuyer le muet, je peux tâter ses muscles et me rendre compte des charmes du slave : il a des fesses fermes, un cambrure du meilleur effet, un torse de sportif et, même si elle ne bande pas sous mes frottements avec un linge, un queue apparemment mieux que respectable.
Tel une marionnette, Boris continue de se laisser faire ..... le chat aussi, à la toilette duquel Guy est maintenant passé.

Rebutés par la barbe hirsute de notre troisième homme, Guy et moi, nous le faisons asseoir
sur un tabouret et entreprenons de le raser.
Alors, nous sommes très heureusement surpris par l'apparition d'un visage désormais humain et très juvénile.

Nous ne pouvons nous empêcher de le remarquer sans, toutefois, que nos mots entraînent la moindre réaction de la part du complimenté.
Il ne nous est pas davantage possible de réprimer une belle érection.
Procurée par la découverte de l'éphèbe, elle est ostensible chez Guy dont le slip est magnifiquement déformé.
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMANTELAE SANS PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeLun 22 Mar 2010 - 15:05

4

Si Guy avait tenté de tester les réactions de Boris à la déformation outrageuse de son slip, il eût été déçu :
le jeune homme demeura impassible et c'est dans l'indifférence, une sorte d'aveuglément, qu'il gagne l'un des deux lits de la chambre du motel.
Il s'y allonge sur le ventre, le creux de ses reins étant aussitôt recouverts par son inséparable chat.
Le spectacle n'en est pas moins très érotique.

Me coulant derrière mon ami, je palpe la bosse agressive de son dessous et fais sentir la mienne contre ses fesses encotonnées.
L'envie ne nous manque certainement pas d'aller plus avant dans la conjonction de nos corps; mais, par crainte de réveiller le tchétchène, je m'écarte à regret ..... d'autant que, devant et contre moi, une croupe ondule et montre le désir de n'être plus séparée de ma bite par des tissus, si fins soient-ils.

Quittant le bungalow pour le dîner, nous profitons du repas pour deviser sur la suite des évènements.
Entre la côte de boeuf et la salade de fruits, nous n'arrivons pas à établir un planning des jours à venir, sinon que nous devons garder Boris en secret et faire venir un médecin de nos connaissances, en l'occurrence un femme qui sait tout de Guy et moi, ne nous cachera rien et ne manquera pas de signaler si, le cas échéant, une relation protégée avec le "troisième homme" est nécessaire ou non.

A notre retour, le "sans-papier" dort encore, mais son "minet" miaule devant la porte et profite
de son ouverture à notre arrivée pour filer dans la cour du motel.
J'ai tout juste le temps de saisir la ficelle/laisse rattachée à son cou pour suivre sa course vers une sorte de bosquet où, soucieux de propreté, il se soulage plutôt que de le faire à l'intérieur de l'établissement.
Alors que nous revenons vers la chambre, nous retrouvons le maître :
bravant le froid il est nu et inquiet sur le seuil de la chambrée.
Boris saisit son chat comme s'il s'agissait du rescapé de je ne sais quel sinistre, puis va vite se recoucher et se rendormir en le maintenant à ses côtés.


Tout cela se fait sous le regard attendri de Guy qui, de nouveau en slip, n'en demeure pas moins attentif à la démarche souple du slave, à sa beauté d'adolescent musclé fin et peu velu.
Il est vrai que, de mon côté, je ne suis pas insensible à de tels charmes et, après m'être dévêtu, j'entre sous la douche muni de la splendeur d'une hampe horizontalement tendue.
Mes lecteurs se doutent bien que, slip rapidement jeté à terre, mon amant ne tarde pas à me rejondre sous les jets d'eau, avide qu'il est, autant que moi-même, d'ébats que le bruit de la flotte et la porte de la salle de bains refermée laissent à l'abri des oreilles du dormeur.
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMar 23 Mar 2010 - 16:37

5

Sous la douche, Guy m'enserre devant lui.
Il embrasse mon cou, mordille mes oreilles, palpe des doigts mon torse humide d'eau et de gel, caresse admirablement mon ventre demeuré plat en dépit de mes 52 ans.
De ses paumes, il flatte ma hampe super-bandée et soupèse mes lourdes couilles.
Hummm, que tout cela est extra!!!

Ce faisant, il murmure des "Oh, mon amour, je t'aime tu sais", et des "J'ai envie de toi" ..... encore que ses déhanchements contre ma croupe, le frottement de sa pine sur mes fesses et ma raie soient le meilleur indicateur de désirs auxquels, autant que lui, je suis disposé à souscrire.
D'ailleurs, je ne tarde pas à me courber et cambrer légèrement, à poser mon visage sur la paroi du "tub" et à écarter les cuisses ..... en invitation muette à le laisser me pénétrer.

D'autant plus facilement que nous sommes sous des jets d'eau, la queue de Guy entre en moi.
Elle glisse aussi sûrement que lentement et je sens vite ce grand bonheur de sentir des boules se joindre à mon corps.
Chaque fois que nous parvenons à cette union totale et quel que soit notre rôle d'enculeur ou d'enculé, Guy et moi, nous marquons un temps d'arrêt et savourons l'instant où notre amour se manifeste entièrement.
La lime suit, nonchalante ou vigoureuse, parfois en alternance de mouvements lents et très sensuels ou saccadés et assez violents.
Quant à nos paroles et nos gestes, ils s'accordent au rythme des allers et venues de la bite fureteuse.

Il arrive que l'actif branle le passif et le fasse jouir en même temps que lui-même se répand dans les entrailles offertes.
Mais, à d'autres occasions et ce soir-là, chacun veut successivement prendre et être pris.
Ainsi, constatant que mon sodomisateur préfère attarder ses mains sur mon torse plutôt que sur mon sexe, je comprends vite qu'il me faut sauvegarder vigueur et semence, laisser mon homme juter en moi sans que j'arrose le sol de la douche.
Je n'en suis pas mécontent du tout, incite verbalement Guy à faire monter sa sève et la déverser dans mon fion, ondule des reins pour exciter mon partenaire, et crie avec luiilorsqu'il explose au tréfonds de moi.

Sans tarder, chacun se retourne et, demeurée archi-raide, mon épée gagne le fourreau de mon amant, le perfore, le laboure et l'arrose abondamment.
Sortis du tub, nous nous essuyons mutuellement avec tendresse et regagnons la chambre en espérant que, couverts par les chutes de l'eau du bain, nos mélopées amoureuses n'aient pas réveillé le "sans-papier".

Apparemment, il dort toujours, le drap recouvrant partiellement son corps, mais laissant nu et mettant en belle valeur son superbe fessier.
Avant de me rejoindre sur le lit voisin de celui occupé par Boris, Guy use de son portable pour photographier notre compagnon.

"Demain sera un autre jour" : tel est mon dernier mot de la journée.
Et je m'endors, enlacé avec le photographe, sans que nous ne sachions, ni lui ni moi, ce qu'il va advenir de notre prise en charge du beau tchètchène et de son chat.
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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMar 6 Avr 2010 - 18:40

6

Sans doute traumatisé par les pandores qui le pourchassèrent dans le PAS de CALAIS et par ses errances dans les bois de SAINT OMER, Boris est devenu un homme sauvage, primaire
frustre et n'accordant aucune confiance à quiconque, dont les hôtes que, Guy et moi, nous sommes pour lui.
Arrivé à LYON, il se montre apeuré au bruit de toute sonnerie, refusa de prendre ses repas à notre table : il se contente de sandwichs et de soupes lapées plus qu'avalées décemment.
Heureusement, son chat se civilise plus rapidement que lui, "copine" assez vite avec nos deux félins, les suivant peu à peu dans leurs escapades par-dessus le toit de mon immeuble et dormant parfois à leurs côtés.

Inquiété dans un premier temps par les audaces du minet qu'il avait couvé durant sa cavale, Boris semble désormais s'y habituer et, mieux, les imiter ..... sans pour autant vouloir quitter
l'espace de mon grand appartement et prendre le fras autrement que sur mon balcon.
Cependant, il nous regarde avec moins de méfiance, accepte de partager avec nous déjeuners et dîners et de se comporter alors en garçon bien élevé.
Il lui arrive de nous sourire et de donner des signes que nous pensons être de reconnaissance.
Et il se montre fier lorsque, lui ayant donné des feuilles blanches, je le félicite avec Guy pour ses remarquables dessins au fusain ou au crayon.

Au bout d'une semaine, il consent à recevoir un médecin de mes amies.
Elle le trouve un peu affaibli, mais en excellente santé, lui donne 18/19 ans au plus et, à la suite d'une prise de sang, déclare qu'il n'est aucunement séropositif.
Sachant nos moeurs, à Guy et moi, elle nous annonce cela avec un air entendu!!!

Pour autant, nous nous gardons de toute privauté ou même de gestes ambigus à l'égard du Tchétchène ..... même si nous le matons discrètement et n'excluons pas de l'associer s'il le désire prochainement à nos jeux amoureux.
Sans évoquer cette éventualité en anonnant le peu de russe que nous apprenons en "assimil", nous ne cachons pas notre vie commune et que nos dormons ensemble.

Libres, autant que Boris l'est, nous n'hésitons pas à déambuler nus ou en slip avant ou après nos toilettes respectives.
Sans forfanterie, chacun des trois peut ainsi apprécier la belle architecture des deux autres, les beaux atouts du "recto" et les charmes du "verso".
Reste à attendre le moment, dont Guy et moi ne désespérons pas, où nous pourrons goûter à un somptueux "entremets franco-russe".
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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeVen 16 Avr 2010 - 16:39

7

Cela fait aujourd'hui trois semaines que, dans une certaine clandestinité, Boris vit à LYON auprès de Guy et moi.
Peu à peu sorti, non pas de son mutisme apparemment irréversible, mais de ses absence, défiance et quasi-isolement dans la chambre que nous lui avons atribué, il prend désormais ses repas avec nous, s'aère sur le balcon et, par des signes ou des écrits, participe à
la conversation.

Mais surtout, il dessine ou peint ..... remarquablement bien et, ce vendredi soir, nous présente une ravissante aquarelle représentant la colline de Saint-Just.
Nous l'en félicitons, Guy et moi, lui promettant de faire encadrer l'oeuvre dès le lendemain .... ce qui donne au dîner un ton beaucoup plus enjoué que précédemment.
Après le repas, bien arrosé et c'est tant mieux!!!, chacun regagne sa chambre, Guy et moi regrettant de n'avoir rien osé.

Or, alors que toilette accomplie, nous passons de la salle de bains à notre lieu de sommeil et de galipettes, nous avons la bonne surprise de voir le chaton de Boris entrer par la porte demeurée entrouverte et filer vers le couffin où nos deux propres chats sont déjà installés pour la nuit.
Accroupis en slip autour des trois félins, nous les regardons attendris puis, levant la tête, apercevons le sans-papier qui, lui aussi en blanc à poche, semble implorer l'autorisation de se joindre à nous.
Il va de soi que nous lui faisons signe de s'approcher et, qu'après l'avoir accueilli entre nous et contemplé ensemble les minets, nous lui suggérons de rester pour la nuit .....
Chacun se lève et, nos bras entourant le cou du sans-papier, nous le dirigeons vers notre grand lit et nous allongeons de chaque côté de lui.

Etendu sur le dos, son dessous commençant à se soulever à l'image des nôtres, il se laisse embrasser sur les joues avec évolution vers la bouche.
Puis se met à frémir lorsque nos lèvres atteignent les siennes et que, chacun de Guy et moi, nous nous mettons à caresser l'un de ses tétons.

Hummmm, quelle émotion face à ce que Guy et moi avons tant désiré depuis ce jour où, dans le PAS DE CALAIS, nous avons récupéré ce jeune homme en fuite.
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeDim 18 Avr 2010 - 18:36

8

Guy se détache asez vite des lèvres de Boris et des miennes.
Il nous laisse en duo de baisers et donne ainsi au tchètchène l'opportunité d'apprendre avec moi comment bien user des jeux de langues croisées.
Assez doué en la matière il se montre rapidement expert en bécots plus ou moins tendres, fougueux et profonds ..... à mon plus grand bonheur.

Mais Guy n'a pas agi par charité chrétienne car, en nous abandonnant à nos embrassades, il a désormais tout loisir de se consacrer au corps - dont il révait tant - de notre hôte muet et d'en faire une découverte sensuelle de ses doigts, paumes, lèvres et langue.
Il fait vibrer ce corps, qui ne manque pas davantage de se tendre, se contorsionner, se cabrer sous le plaisir.
Je m'émerveille face à ces réactions, conscient désormais que Boris va aimer les hommes et que notre trio va s'entendre à tous niveaux.

Délicatement Guy soulève le slip de notre sans-papier et dégage de sa gangue en coton une bite fièrement dressée.
Il la contemple, l'excite de ses doigts et de lèches savantes ..... sans oublier les couilles lisses et rondes, la fine toison pubienne et la face intérieure de cuisses à la peau sensible.
Tous ces trésors intimes sont ainsi explorés.
Pour la première fois ??? Guy et moi ne le saurons jamais, mais qu'importe!!!

Sous les calins coquins de mon amant, Boris ne tarde pas à émettre des soubresauts annonciateurs d'une proche vidange.
Aussi, le cher Guy a-t'il à peine encapuchonné de sa bouche la hampe juvénile qu'il reçoit en pleine gorge des jets que j'imagine crémeux à souhait.

Emu par ce qu'il a provoqué, désireux aussi de le déguster lentement et confortablement, le suceur enfoutré pose tendrement sa tête sur le bas-ventre de son fourniseur d'élixir.
Un peu éperdu, mais souriant à mes mots et compliments doux, ce dernier ne tarde pas à s'endormir.
Attendris, Boris et moi le laissons s'assoupir ainsi.

Toutefois, nous ne voulons pas sombrer dans le sommeil sans avoir juté à notre tour.
Heureusement, mon lit est très large ..... en sorte que, sans réveiller notre troisième homme, Guy et moi nous retrouvons en 69.
Nous nous pompons et doigtons avec volupté, faisant ainsi monter des sèves dont nous sommes toujours heureux de nous abreuver.

Puis retournant aux côtés de notre sans-papier en cavale, l'entourant en nous collant doucement contre lui, nous nous offrons l'un et l'autre aux bras de Morphée.


Dernière édition par volupte le Mar 27 Avr 2010 - 17:41, édité 1 fois
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMar 20 Avr 2010 - 15:54

9

Ce samedi matin, je me lève doucement et contemple attendri, mais aussi avec vice, le corps nu de mes amants encore endormis.
Humm!!! qu'il est beau le spectacle de leurs croupes finement musclées et imberbes, de leurs sexes à demi dressés et dont je ne vois d'ailleurs qu'une partie, de leurs visages juvéniles ..... y compris celui de Guy en dépit de ses 31 ans.

Suivi des trois chats, je me rends à la cuisine et y prépare leur "nanan" tout en dressant sur un plateau le petit-déjeuner des trois êtres humains de la maison.
A mon retour dans la chambre, Boris et Guy s'étirent, mais n'oublient pas pour autant de se donner quelques calins et baisers ..... meilleure manière de commencer une journée du bon pied.

A ma vue et à celle des mets que je leur apporte, ils sourient avec une grâce merveilleuse et s'asseoient en tailleur sur le vaste lit où je les rejoins aussitôt.
Avec appétit, nous mangeons et buvons tranquillement, des mains et doigts libres s'égarant parfois pour titiller un téton ou un gland, exciter le haut d'une cuisse ou la courbe d'une couille.
Il est manifestement clair que l'en-cas du matin sera immédiateent suivi d'un triolisme digestif.

Alors que, les agapes achevées, j'embrasse tendrement le Tchètchène tandis que Guy revient sur le lit après avoir déposé le plateau sur une table, je l'entends dire à l'adorable muet :
"Imite-moi, nous allons donner plein de plaisir à notre Serge bien-aimé".

Dès lors, le Serge que je suis s'abandonne docilement à l'emprise des deux amis.
L'un à ma droite et l'autre à ma gauche, ils jouent habilement de leurs doigts, paumes, lèvres et langues sur mes chairs, descendant lentement vers des parties sexuelles qu'en écartant les cuisses, je leur cède sans aucune retenue.
Songeant que Boris n'a peut-être jamais sucé quiconque, Guy - vite obéi - l'invite à le suivre dans la lèche de ma hampe, tout autant que de mes burnes.
Ce double jeu de langues est extraordinaire : il me fait frémir, râler de bonheur et, naturellement, triquer à mort, mouiller aussi .

Au terme d'une exploration prolongée, tant manuellement que buccalement, de mes atouts du devant, Guy - désormais maître de la "tripartie" - soulève légèrement mon postérieur pour dégager l'anneau qu'il a envie de cunilinguer dans le même temps que, sur son conseil, le "sans-papier", avale doucement mon dard.
Ohhh quel "'pied" !!!! qui me fait crier des "ouiiii", des "encore" et autres "mes amours", fouiller la chevelure de mes deux dégustateurs et, sans plus de tabous ni de mots interdits" lancer à la fin :
"Baisez-moi l'un après l'autre".
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volupte
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeVen 23 Avr 2010 - 11:00

10

Mon "Baisez-moi l'un après l'autre" fait immédiatement réagir le cher Guy.
Il cesse aussitôt de flatter mon trou d'amour avec sa bouche et la remplace par un, puis deux doigts.
Ce faisant, il dit à Boris qui continue de têter ma bite :
"Hummm, jeune frère, je vais préparer le terrain et, après, Serge viendra s'empaler que ta pine".

Me voila asservi, mais heureux de l'être et de me laisser mettre en position!!!
Etendu sur le côté et toujours sucé par le Tchètchène, je suis disposé en 69 avec lui tandis que, derrière moi, Guy me saillit, m'embrasse dans le cou et, bras passés sous mes aisselles, titille adorablement mes tétons.
Il mène la danse et m'encule en donnant par la cadence de sa lime celle des deux fellations concomitantes.
Lachant un strident "mes Chéris", il inonde mes entrailles d'un foutre généreux et reste quelques cinq secondes dans mon cul/chatte avant de s'en dégager en douceur.
Quel "pied" !!! Ce fut "géant".

Ecartant gentiment Boris et moi qui étions enchâssés buccalement, Guy fait évoluer le premier en plat dos ..... en sorte que je n'ai plus qu'à venir m'accroupir au-dessus de la hampe dressée du "sans-papier".
Habilement guidée par des doigts de Guy, le vit de Boris glisse aisément en moi :
il est vrai que je suis encore nappé, en véritable gel, du sperme que je viens d'accueillir dans mon canal anal.

Encouragés par le troisième larron, Boris et moi entrons en transes.
Nos têtes sont follement agitées et nos corps vibrent intensément de toutes parts.
Montant et descendant le long du dard dont je sers de fourreau, j'halète et crie mon bonheur, mes sons étouffés par les baisers de guy.
Et lorsque mon jeune enculeur se vide en moi, joint sa semence à celle précédemment projetée par Guy, je jute abondamment sur le ventre et le torse de mon arroseur interne.
Ledit Guy quitte alors mes lèvres pour nettoyer de sa langue gourmande la neige qui blanchit le recto de notre hôte.
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MessageSujet: L'EDUCATION SENTIMENTALE sans PAROLES   L'EDUCATION SENTIMENTALE SANS PAROLES Icon_minitimeMar 27 Avr 2010 - 17:24

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Entamée la veille au soir, la miraculeuse matémorphose de Boris se poursuit et développe ce samedi.
Certes, il ne retrouve pas la parole, mais consent à émerger de son isolement, à sortir en ville pour accompagner Guy chez un encadreur/exposant d'oeuvres d'art aux fins de faire mettre son aquarelle de Saint-Just sous verre.
Il est félicité par le commerçant qui lui propose même de réaliser d'autres dessins ou peintures et de les exposer à la vente chez lui.
Tout cela donne à mon hôte étranger moral et sourire.

Il rayonne et je m'en réjouis, d'autant qu'à son retour à la maison il paraît en excellente complicité, même muette, avec mon amant/collaborateur de presse et partage avec lui le soin de préparer le déjeuner et dresser le couvert tandis que je termine un article dénigrant à nouveau la politique française à l'égard des "sans-papier" .... naturellement sans faire quelque allusion à celui que j'héberge.

Comme il se met à pleuvoir en fin de repas, il n'est évidemment pas question d'aller faire un tour dans les monts et campagne du Lyonnais.
Qu'à cela ne tienne : une sieste crapuleuse sera parfaite pour occuper notre après-midi.

Le "la" en est donné dès le "pousse-café" que nous prenons sur un canapé du salon où, entre deux goulées de cognac, le Tchètchène m'imite sans aucune réticence pour aventurer une de nos mains sur le torse et la bosse d'un Guy ravi que nous l'entourions et nous occupions ainsi de lui.
Alors que je me lève et passe derrière le sofa pour déboutonner la chemise du trentenaire, tiltiller ses seins , masser tendrement son torse et l'embrasser dans le cou, le jeune étranger s'agenouille près de lui et, avec une délicatesse de "pro", retire ses mocassins et pantalon.
Rapidement, Guy se retrouve donc affalé en seuls slip et cho7 de coton blanc.
Il frémit d'aise, exhale des soupirs et humidifie son dessous archi-tendu.

Se redressant, tout en restant assis, il demande à notre hôte de se lever et s'empresse aussitôt d'ouvrir son jean puis de dégager sa bite.
Il la contemple quelques secondes avant de l'enfourner en bouche et de presser d'une main les couilles extirpées du boxer.
De mon côté, je me mets à poil et, me collant derrière le sucé, achève l'oeuvre de désapage que Guy avait à peine entreprise.

Debout à son tour, ce dernier vient fermer un cercle à trois :
les queues érigées se chevauchent,
les toisons pubiennes s'humectent de mouilles,
les fesses frissonnent sous les caresses,
langues et lèvres se cajolent.
Demeurant enlacés, nous évoluons en ronde vers ma chambre, le lit dont les grandes dimensions sont si adaptées à des ébats san aucune gêne et la glace qui reflête tout ce que des yeux chastes ne devraient pas regarder.
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