Chapitre Quatrième
PAQUES ou la RESURRECTION de LUC.
La résurrecton n'est pas le retour à la vie, mais la découverte d'une nouvelle existence.
Luc en a bien conscience en accueillant Philippe sur son lit, .....même s'il a encore quelques craintes à la perspective de sentiments et de sensations inconnues de luI
Son ami le sait bien, lui aussi, et se garde de sa tentation à prendre vigoureusement Luc dans ses bras, à lui faire partager "in petto" de actes un peu trop "hard",
à virer les slips. dès le début des enlacements.
Se couchant sur le côté, il attire Luc contre lui, l'embrasse à nouveau,
entremêle ses jambes aux siennes,
caresse le dos et les reins de son vis à vis
et ondule pour que les cotonnades dejà bien imbibées de mouilles frottent l'une contre l'autre leurs avantageuses protubérances.
Les deux corps roulent sur le pieu et chacun des partenaires trouve un immense plaisir à se retrouver tour à tour dessus ou dessous,
Philippe exulte de bonheur lorsque Luc se met à imiter ses gestes,
à palper son verso et même
à glisser des doigts sous son "blanc à poche",
à palper ses fesses fermes et sensibles.
Demeurant couché sur Luc, Phlippe lui dit :
"Laisse-toi faire, nouvel amour. Plus tard, tu feras de moi ce que tu voudras".
Et Luc s'abandonne à l'exploration entreprise par son amant.
Ce deriner descend lentement sur les chairs offertes, soulève doucement les bras de son "chéri" pour lécher des aisselles peu velues et aussitôt frissonnantes, titille des doigts et de la langue des tétons bandant et frémissant
allongé entre les jambes de Luc, donne des baisers savants au nombril etau ventre plat qui réagissent à ces douceurs.
Excité, ému aussi, Philippe parcoure avec délectation le corps qui lui est donné,
merveilleusemnt encouragé par les gémissements qu'il entend, les "oh ouiii" - " oh que c'est bon" qui fusent dans l'alcôve/chambre.
Lorsque sa tête arrive à la hauteur.de l'entrejambes, Philippe admire quelques secondes la queue tendue dont le slip épouse les formes,
le gland turgescent qui en dépasse.
Il lape la mouille qui s'en écoule puis, adroitement, soulève le tissu immaculé avec ses dents.
A sa grande joie, Philippe se rend compte que, détachant un instant sa groupe du drap, Luc l'aide à retirer le dernier rempart de pudeur.