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 Une expérience comme une autre

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MessageSujet: Une expérience comme une autre   Une expérience comme une autre Icon_minitimeDim 28 Fév 2010 - 17:40

Trouvée sur le net :

Une nuit d'été. Comme ils ont l'habitude de faire depuis plus de 8 ans déjà, Bruno et Patrick vont faire une partie de billard anglais (boules jaunes et rouges). Les parties sont généralement assez équilibrées car Bruno sait bien jouer mais Patrick a beaucoup de chance et lorsqu'il se concentre, il peut nettoyer la table sans jamais rendre la main à son adversaire du moment. Une dizaine de parties et quelques cigarettes plus tard, ils décident d'aller boire une bière pour finir la soirée proprement.
Arrivés au pub, en sortant de la voiture Patrick commence à sortir comme ça : « ce soir j'ai envie, je me taperai bien un mec. »
(Pour info il faut savoir que Patrick avait toujours eu la réputation au lycée d'être très en avance et très expérimenté en matière de sexe et on lui prêtait, sans qu'il s'en défende une expérience homosexuelle. Cela le faisait rire. Patrick savait aussi, pour le connaître depuis plus de 19 ans que Bruno se cherchait encore bien qu'il ait presque 25 ans maintenant. Sa non-réussite avec les filles le faisait douter et il se demandait parfois si sa voie n'était pas avec les mecs. Tout cela si on connaît bien la personne, ça se sent. Donc Patrick qui aimait bien choquer son entourage en joua un peu).
Patrick vit tout de suite le visage et surtout les yeux de Bruno s'éclairer. « Ah bon ? » dit-il avec un petit sourire en coin excité.
« C'est gagné » pensa en silence Patrick, « il est ferré ».
Tout en se dirigeant vers le pub Patrick en remis une couche sur le fait qu'il avait envie de se faire un mec et Bruno se proposa.
« D'accord » dit Patrick.
« On va quand même boire un verre ? » demanda Bruno.
Il est clair que Bruno ne savait pas où il allait mais il semblait vouloir y aller. Là c'est Patrick qui dû rapidement savoir comment agir pour préparer le terrain.
« Oui, ça nous fera du bien. » (Rien ne vaut une bière pour réduire les barrières de l'esprit et de la morale.)
Salle enfumée et tumultes de tout côté, rien de terrible à se mettre sous la dent. Nous parlons de choses et d'autres assez intéressantes mais sans rapport avec la « bombe » que j'ai tout à l'heure lancée.
C'est marrant car au moment de payer, c'est Bruno qui invite Patrick. Patrick rit dans sa tête. «C'est marrant on dirait un homme qui invite une fille car il sait qu'il va se la taper ; c'est la moindre des choses. Encore un cliché. »
Bruno se gare chez Patrick. Ils rentrent sans trop faire de bruit car les parents de Patrick dorment et il est déjà 23h30. Ils montent dans la chambre. L'escalier craque sous leur poids. Arrivés dans la chambre, Patrick va dans son fauteuil et Bruno sur le lit. Bruno est excité mais il est plus inquiet et paniqué par ce qu'il pourrait se passer car il ne sait pas comment faire ; ça se voit. Il n'ose trop rien dire ni aborder le sujet de l 'éventuel scénario de ce qui va se produire dans quelques minutes.
En fait comme Patrick n'avait rien prévu, il a comme par hasard envie d'aller aux toilettes. Une grosse envie. Il redescend dans un bruit.
Evidement la grosse commission. Et en plus c'est mou donc pas facile à nettoyer. Comme toujours 5 secondes pour se vider et 5 minutes pour nettoyer. Patrick finit par rendre son anus et son conduit tout propre ou presque. Ce n'est pas plus mal après tout car cela a dilaté son petit trou et vu ce qu'il pourrait se passer...
De retour dans la chambre il retrouve Bruno debout à regarder les posters tapissants la chambre.
« Tu as des préservatifs ? »
« Deux . »
« Bon, on fera avec. »
Bruno est vraiment « inactivé », ça se voit. Pourtant tout le monde a des fantasmes, tout le monde « tire des plans sur la comète », mais sa timidité apparente ou sans manque de confiance en lui le bloque. C'est flagrant. Cela continue d'amuser Patrick qui finit par lui proposer de faire une partie de « Dame de Pique » ; le gagnant donnera ses ordres à l'autre.
Ils s'installent par terre sur la moquette et Patrick commence à trier un jeux de tarot afin d'avoir un jeux de 32 cartes. Il bat les cartes, Bruno coupe puis il distribue pour 4 , chacun jouant 2 joueurs en croisé.
Patrick gagne facilement la première. Trop facile. Ils décident de faire une victoire en 3 manches.
Patrick laisse Bruno gagner la deuxième mais ça se voit trop , il est « out ».
Finalement Patrick gagne la troisième et la quatrième histoire d'asseoir sa victoire.
Bruno vaincu attend son sort. Mais Patrick vient à l'instant de trouver quelque chose d'amusant et de nouveau.
En fait pour Patrick c'est aussi une « première » mais chut ! Il ne faut pas le dire sinon la magie s'en ira. Un film vient de lui parcourir l'esprit et il est d'accord. Il va se faire plaisir tout en donnant le pouvoir à Bruno.
« Voilà ce que je veux que tu fasses : tu vas m'attacher sur le fauteuil et me bander les yeux. Fais de moi ce que tu veux ! »
« Tiens, voilà des menottes et une foulard. »
Patrick verrait presque Bruno se décomposer sur place. Quel retournement ! Patrick est au fond de lui mort de rire et commence pourtant à être excité par ce qu'il vient de dire.
Bruno tente de prendre les choses en main. Il fait asseoir Patrick sur le fauteuil et commence à lui attacher les mains dans le dos. Il lui bande les yeux. La nuit vient sur les yeux de Patrick.
« C'est maintenant que les choses vont être amusantes. Je me demande ce qu'il va faire et comment il va s'y prendre » pense-t-il.
Le bruit des mouvements de Bruno semble indiquer qu'il ne sait pas quoi faire ni comment. Il semble gêné ou bloqué. La hauteur du fauteuil et ses dimensions semblent le gêner.
Il préfère finalement tout recommencer en mettant Patrick sur une petite chaise. Il lui attache les bras toujours dans le dos, mais innovation, derrière le dossier de la chaise. « pas mal ! »
Et puis de nouveau Bruno semble bloqué ; il tâtonne. Il veut enlever le tee-shirt de Patrick mais comme celui-ci est attaché , cela ne passe plus. « acte 1, scène 1, troisième. On y retourne ! »
Bruno détache encore Patrick, lui dénude complètement son torse quelque peu poilu puis lui remets ses menottes.
Patrick aime bien cette situation ; ça l'amuse. Et puis de ne rien voir c'est à la fois excitant et « non vrai ».
Il n'y a que des avantages à cette situation : Bruno n'est pas franchement un beau gosse (Patrick non plus d'ailleurs) donc il ne peut y avoir d'excitation visuelle ; par contre le contraire pourrait se produire. Ne rien voir lui permet à coup sûr d'être excité et « partant ». De plus il n'a rien à faire, Bruno doit tout faire. Pour une première c'est certes salop mais bon, après tout c'est Patrick qui a gagné à la « Dame de pique ».
Bref. Bruno s'attaque au pantalon de Patrick qu'il enlève ainsi que son caleçon et ses chaussettes. Patrick se sent nu et attaché mais bizarrement pas « offert » ni soumis ou dominé. Pourtant c'était le but. Et là il comprend que donner le pouvoir c'est en fait l'avoir et le garder. L'espace d'un bref instant il fait le point et comprend énormément beaucoup de choses sur les tenants et les aboutissants de sa relation avec son ex (une fille pour info, car avant tout Patrick est hétéro) et surtout sur les avantages « cachées » que les filles ont sur les mecs.
« Intéressant... »
Il fait un petit peu froid à être tout nu menotté sur une chaise. Et là, Bruno bloque de chez bloque :
« Et maintenant qu'est ce que je fais ? »
Là c'est la totale ! Au secours ! Le stratagème de Patrick porte ses fruits au plus haut niveau avec l'aveu d'impuissance de Bruno. C'est pour cela qu'il n'y arrive pas avec les filles ; Patrick commence à mettre en doute les quelques histoires que son ami lui avait racontées concernant ses quelques aventures sexuelles avec des filles.
Dans soupir de lassitude et d'excitation amusée Patrick souffle un : « mets-moi ta bite dans la bouche puis dans le cul ! »
Patrick, bizarrement avait éprouvé un bref instant une gêne à dire ces mots et d'ailleurs il n'avait pas répondu tout de suite à la question embarrassée et timidement inaudible de son « apprenti dominateur ». Quelque part ce n'est pas facile à dire ce genre de choses et surtout dans sa tête cela à dû gâcher son plaisir tout en lui confirmant que c'est lui qui avait le pouvoir.
La réponse de Patrick pour Bruno sembla spontanée et cela finit de l'achever. Pendant un long moment rien ! Puis de nouveau du bruit ; un bruit de quelqu'un qui enlève un jean avec difficulté. Un emballage carton que l'on déchire. Patrick sent que Bruno se met à genoux entre ses jambes. Une bouche timide veut prendre son gland pas complètement dure mais elle y renonce. On tente de lui mettre sans succès un préservatif.
Chercher l'erreur ! Parfois on se demande ....
Bref. Cette action timide et inutile finie avant d'avoir voulu commencer, Bruno se relève pour sans doute mettre le sien.
Patrick sent que Bruno se rapproche de lui et plus particulièrement de sa tête. Une main le prend par les cheveux et proche de sa joue puis de ses lèvres, Patrick sent une chose à la fois dure et toute douce.
Sans attendre Patrick se jète (buccalement parlant) sur le sexe présent devant sa bouche. Le sexe de Bruno est très dur et le latex du préservatif le rend doux, tendre et savoureux.
En fait Patrick s'est vu dans cette scène. Dans le même mouvement de bouche il y étais allé timidement puis presque instantanément franco. Dans la continuité du geste il avait testé et approuvé cet acte.
La bite de Bruno était vraiment bonne dans la bouche de Patrick. Ce dernier excité par cette première fois suçait vite et bien. Il s'amusait avec la langue sur le frein tout en avalant complètement le sexe pour en sentir le gland bien dur tout au fond de sa gorge. Il salivait beaucoup sur le sexe afin de le rendre plus glissant. Il aurait voulu que Bruno le force à le sucer et le prenne par les cheveux pour le forcer à s'étouffer avec ce sexe dur au fond de la gorge. Au lieu de cela, Bruno calma Patrick de sa main en freinant sa tête en lâchant un « doucement, je vais jouir.. ».
Franchement c'était trop drôle. « L'esclave » dominait le « maître ». Trop fort !
Patrick dû se résoudre à abandonner son délire avec un peu de regret car il aurait bien voulu sentir le sperme gicler au fond de sa gorge. Et puis avec le préservatif il aurait eu les avantages sans les inconvénients.
« Ah si seulement il n'avait pas gâché le second préservatif ! ».
Bruno commence à souffler un peu fort donc Patrick finit par arrêter et le sexe qui sort de se bouche laisse place à un sourire amusé non dissimulable ni dissimulé.
Patrick sent que l'on écarte ses jambes et son cul offert se retrouve bientôt au bord de la chaise. Les jambes écartées en l'air, il sent une chose dure qui tâtonne dans la raie de ses fesses.
Bruno semble s'y reprendre à plusieurs fois pour trouver l'anus de Patrick dans sa raie poilue.
C'était dur et glissant et cela faisait envie. La maladresse et l'inexpérience de Bruno avaient créé un temps d'attente pendant lequel l'excitation de Patrick ne cessait de croître. Il se sentait chienne en chaleur, femelle en rut. Il voulait être pénétré ! !
Finalement le gland dur força l'anus de Patrick qui ne pu s'empêcher de pousser un petit cri où se mêlaient douleur, surprise et excitation. La pénétration de cette chose dure, douce et glissante dans son sphincter surprit Patrick qui n'imaginait pas cela. En même temps, ce fut le point de délivrance de toute l'attente précédente. C'était bon.
Apparemment le petit avait dû être fort car tout de suite Bruno arrêta en siffla, énervé et peureux que cela eut éveillé et alerté quelques personnes susceptibles de nous découvrir ainsi ; emboîtés l'un dans l'autre.
Bruno commença à pénétrer en cadence Patrick. Il se sentait bien dans l'anus serré de ce dernier et continuait de prendre un pied pas possible. Seulement cette position le fatiguait et était loin d'être très commode pour lui. De plus l'angle de pénétration de son sexe commençait à faire un peu mal à l'anus de Patrick qui s'en plaint quelque peu.
Il fut décidé de changer de position et pour cela il fallait enlever les menottes de maintenaient Patrick au dossier de sa chaise. Mais où étaient les clefs ? Patrick eu l'impression qu'une lumière se faisait. Bruno ne retrouvait pas les clefs dont il s'était servies peu avant.
« Putain ! C'est pas vrai quel blaire ! »
Heureusement Patrick avait une clef de secours dans sa table de nuit. Muni de cette dernière, Bruno se tourna vers les menottes pour s'apercevoir que la clef était dessus.
Bruno libéra « sa victime ? » puis lui remis les menottes dans le dos, puis Patrick, un peu aidé par « son bourreau » se mit à genoux sur la moquette, le buste et la tête sur son lit. Dans cette position il fut pénétré à nouveau. Bruno s'enfonça sans problème dans ce cul offert à sa fougue. Il y fit quelques va et vient vigoureux et soutenus. Bien qu'excité à mort par cet acte qu'il subissait avec grand plaisir, Patrick éprouvait malgré tout, en plus d'un grand plaisir dû à la randonnée du dur gourdin dans ses reins, un léger inconfort dû certainement à l'angle que prenait le sexe de Bruno à chaque poussée dans son cul.
Il lui demanda d'arrêté un peu, le temps de le retourner sur le dos pour le prendre ainsi.
« Putain, il faut tout faire et tout dire. Tout aurait été plus simple si j'avais été bâillonné ou correctement dominé ! »
Obéissant ou bien prévenant Brun s'exécuta. Alors là ce fut terrible ! Ainsi pénétré Patrick commença à prendre un pied terrible ; ce sexe dur qui rentrait et sortait dans son ventre faisait des merveilles de nouvelles sensations plus bonnes et jouissives les unes que les autres. Le gland dur de Bruno tapait à chaque poussée dans la vessie de Patrick ; ce qui était très bon.
Seulement Bruno n'aimait pas vraiment cette position et donc pas chien, Patrick accepta de se remettre à quatre pattes pour l'ultime saillie. Afin de contourner le petit inconvénient de la douleur et vu que ses menottes le lui permettaient, il écartait à deux mains ses fesses afin de faciliter la sodomie donc il était la victime consentante.
Bruno le tenait, ses deux mains posées sur les hanches, ce qui lui donnait plus de stabilité pour pénétrer Patrick de manière efficace. Il soufflait de plus en plus et Patrick sentait que sa cadence ralentissait, qu'il s'enfonçait moins loin en lui.
« Vas-y défonce-moi salaud ! Vas au fond ! Au fond ! ».
Patrick fut amusé et surpris plus par l'intonation de sa voix que par les mots qu'il venait d'employer. Jusqu'où allait-il aller ? Du coup Bruno redoubla de « vigueur » ; disons que son va et vient fut plus rapide et rapide, en tout point il fut. Pendant quelques secondes Patrick éprouva un grand plaisir du fait que Bruno venait de passer à une vitesse supérieure mais ce ne fut que de très courte durée car il sentit ce dernier souffler de manière continue puis pousser un petit râle. Au même il arrêta de sodomiser Patrick pour se figer dans son cul. Des spasmes parcoururent son corps et Patrick sentit dans ses entrailles des jets brûlants. C'était nouveau et bon. Une sorte de lave brûlante ; une sorte de sève bouillonnante envahissait l'entrée de ses reins. Il faisait chaud, Patrick était bien même s'il n'avait pas joui.
Bruno s'affala sur Patrick un bref instant avant de sortir de son cul. Le réservoir plein de préservatif fut le dernier à sortir de son anus avec un « floc » de plastic que l'on tend et qu'on lâche ensuite sur les doigts.
Bruno enleva son préservatif, y fit un noud puis le jeta dans la poubelle avec celui qui avait été gâché inutilement. Il commença à se rhabiller avant de libérer Patrick.
Patrick était content de ce qui venait de se passer. C'était très intéressant et très instructifs sur bien des points.
Bruno quelque part était muet. Patrick pensa qu'il ne savait pas comment gérer cette situation. Naze et niais jusqu'au bout !
Faute de mieux, il devait se comporter comme tout mec venant de tirer son coup et qui ne pense plus qu'à se barrer. C'est en gros ce que fit Bruno. Normal !
En quinze minutes les deux hommes étaient redevenus présentables, avaient de nouveau fait craquer les escaliers pour sortir fumer une cigarette dans la rue puis après une poignée de mains « viriles ? », s'étaient séparés avec le départ de Bruno dans sa voiture aux bruits de vaches meuglantes.
Ils avaient échangé quelques propos dont certains étaient même intéressants mais rien en rapport avec ce qui venait de se passer.
Après avoir bu un verre de coca, Patrick monta dans sa chambre pour se branler doucement et longtemps. Lorsqu'il éjacula, les giclées de sperme furent longues et nombreuses. Son sperme était liquide et avait une bonne odeur. Il était bien et n'avait mal nulle part. Son anus n'était plis dilaté.
Il se coucha content de cette soirée sans penser à d'éventuelles conséquences à ce qui était arrivé.
Dans le noir de sa chambre, à un moment dans la nuit il se demanda même si cela avait été réel et comment cela avait pu arriver.
Le lendemain matin dans les W-C, un peu de sang sur le papier toilette quand il s'essuya l'anus lui prouva qu'il n'avait pas rêvé. Bruno lui avait même défoncé le cul ! ..à moins que cela ne soit la conséquence de l'éjection d'un besoin gros et dur à froid.

Epilogue :
Quelques mois plus tard, Patrick retrouva une copine. Bruno semblait toujours assez instable au niveau de ses relations ; du moins si relations il y avait. Et puis par des amis communs, Patrick su que Bruno était tombé amoureux de lui. Il était apparemment mal, ne mangeait pas trop et fumait à mort.
Plusieurs fois alors qu'il était tranquillement chez lui devant la télévision ou devant son ordinateur, Patrick entendit le bruit de la voiture de Bruno.
Celui-ci fit de nombreuses fois le guet en voiture ou bien à pieds devant chez Patrick mais Patrick joua la sourde oreille.
Un jour ils se revirent chez une amie commune, où ils prirent dix minutes dans une pièce éloignée de la foule et du bruit pour que Patrick explique clairement ses intentions à Bruno. Celui-ci dit avoir comprit et ils se serrèrent la main en amis. Pourtant son regard en disait long ; très long !
Cependant le temps et les chemins pris firent qu'aujourd'hui ils ne se voient plus.
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