Chapitre Troisième : PENETRATIONS BUGISTES
Aussitôt que nous sommes en voiture, Pierre pose sa main libre sur ma cuisse et la caresse. Je frémis et écarte mes jambes.
Il fait de même et nous nous affalons un peu sur nos fauteuils, sans pour autant que la légère inclinaison de mon bo-quadra soit une gêne pour sa conduite. A peine sortis de cULOZ, nous sommes déjà en érection, palpant chacun la bosse de l'autre.
Le trajet de la gare au manoir de BELMONT, résidence de Pierre, fait une dizaine de kilomètres, mais nous les parcourons en 30 minutes.
A mi chemin, en effet, mon chauffeur s'arrête sur un aire relativement à l'abri des regards indiscrets, met mon siège en couchette et s'étend sur moi. Il m'embrasse fougueusement, puis se soulève un peu pour ouvrir nos pantalons, les faite glisser avec le slip, avant de se vautrer à nouveau sur mon corps.
Le baiser reprend , tandis que nos queues se chevauchent et mouillent l'une contre l'autre.
Super excités, nous nous déhanchons. Mes mains qui malaxent les fesses fermes et rebondies de mon conducteur ne font qu'accroître notre transe, accélérer la montée de nos sèves.
De ce fait, échangeant dans un cri simultané un "Pierre" et un "Alexis", nous ne tardons pas à nous libérer et à faire jaillir des flots qui humectent nos toisons, nos ventres et, même, nos chemises mal remontées sur nos torses.
Asséchés rapidement au kleenex, nous reprenons la route mais, après que nous ayons dépassé ARTEMARE et alors que nous approchons de sa propriété, mon hôte du week-end, me dit ;
"Mets toi nu, mon amour, tu es si beau. Je désire que tu entres chez moi sans vêtement avec le seul plugde nacre à la main".
Riant, je lui réponds que "non" puisque son épouse et l'amie de celle-ci sont là.
"Au contraire", me rétorque t'il dans la foulée, "je veux leur montrer dès à présent que j'ai trouvé un superbe amant".
Amusé par la proposition, flatteuse au demeurant quant à mon physique, et désirant plaire à mon ami, je me désape dans la voiture, prenant soin de ne pas trop fripper mes habits avant de les déposer sur la banquette arrière du véhicule.
Puis je pénètre dans le vaste hall du castel, accueilli par Hélène, la femme de Pierre, dont le déshabillé de soie noire ne cache rien des formes généreuses de sa poitrine, ni de sa chatte à la belle toison sombre. Ce hall donne sur une terrrasse où, allongée dans un transat, une jeune fille blonde expose sa nudité complète.
Nayant encore jamais rien vu de la géographie féminine sans voile, je reste un instant interdit, triquant comme si je n'avais pas joui quelques instants auparavant