Profitant du beau temps pour bronzer en intégral - ce dont j'ai besoin plus que les trois autres -, nous déjeunons nus. Hélène a quitté son déshabillé et Pierre, son boxer.
Pas de vulgarité ni de gestes déplacés ou obscènes pour autant : un simple érotisme accru
par le délice de la salade de homard, les côtes d'agneau au feu de bois, le bleu du pays de GEX et un excellent parfait à la poire .... sans oublier l'accompagnement du Manicle, un vin local,
mais aussi par une conversation de "salon" portant sur l'histoire du BUGEY, les charmes de GENEVE, les oeuvres de RAVIER, un peintre assez renommé de MORESTEL, village assez proche.
Sans faire partie de la CI.A., les deux femmes savent que, Pierre et moi, nous devons y être intronisés et que, ne connaissant pas encore les jouissances anales, je dois y être préparé.
Café et alcool pris, Elodie va donc chercher un lit de gynécologie sur lequel je suis invité à m'allonger.
Ce mobilier médical est court, permettant à mon bassin d'être à un de ses bords et de dégager mon antre grâce à des supports, légèrement relevés et écartés, sur lesquels mes jambes sont installées.
Dans un premier temps, Hélène et Elodie me donnent un lavement, puis introduisent en moi des godemichets de plus en plus imposants.
Elles le font en douceur, se courbant parfois pour s'embrasser sur mon gland et méler ma mouille à leur salive.
Pendant ce temps, Pierre promène lascivement son beau membre sur mon visage, l'humecte des suées de son gland, entrouvre mes lèvres pour enfoncer sa bite dans ma cavité buccale.
Tout cela est merveilleusement conduit, sans précipitation; et je m'offre, me soumets à tout cela avec émotion et émerveillement :
émotion de savoir que je suis initié à une défloraison que je souhaitais, mais craignais aussi,
émerveillement de me rendre compte comment on peut jouir adorablement du cul et, simultanément, d'être au contact de la hampe adorée qui inonde alternativement de suc mes joues et mon palais.
Après cela, mon bo-quadra va s'installer aux pieds du lit entre mes jambes.
Il teste alors les effets du "plug"de nacre grise, lequel me pénètre sans mal et me fait pousser des gémissements lorsque mon amant le fait tournoyer doucement en moi.
Toutefois, ces râles sont étouffés par les "chattes" de ces Dames qui se présentent à mes lèvres et, l'une après l'autre, me donnent leurs liqueurs à boire. Cela m'excite terriblement, bien que je préfère au goût la mouille de Pierre.
Désir de se "finir" en duo ou délicatesse de me laisser seul avec mon amant pour ma première sodomie?
Toujours est-il qu'Hélène et Elodie se retirent pour aller s'allonger à l'écart sur un grand matelas
Pierre enlève lentement le "plug" de luxe et, me souriant amoureusement avec un regard attendri, le présente à mes lèvres.
Le saisissant avec deux doigts je commence à le sucer, tandis que mon amour pose son gland ruisselant de désirs contre mon anneau sans doute ouvert comme le sexe d'une femme.