Sur son lit et une bonne heure durant, Pierre me "travaille" le cul.
"Il faut, me dit-il, "que, demain à la C.I.A., tu sois bien ouvert et réceptif pour "prendre ton pied" et satisfaire les membres de la Confrérie qui voudront faire connaissance avec toi".
J'en suis quelque peu interloqué, mais aussi excité à l'idée d'être désiré et accueilli sans tabous, de rendre également Pierre fier d'exhiber son jeune ami, de le présenter en offrande.
Et puis, sauf sous le coup de quelques "boutoirs", je ressens avec bonheur la belle pine de Pierre dans mes entrailles et me laisse volontiers assaillir dans toutes les positions : couché sur le ventre, à 4 pattes sur le pieu, sur le côté, debout ... mais surtout, pris de face, allongé sur le dos ...
ce qui donne le double avantage de voir la belle hampe de mon amant aller et venir dans mon fion et d'être embrassé par lui.
J'aime de plus en plus me donner totalement et ne suis plus contrarié par les "petite salope"," femelle adorée", "ton trou est mieux qu'une chatte" ou autres paroles haletées par un Pierre en furie.
Admirablement endurant, il sait contenir sa jute et faire des pauses-tendresse au cours desquelles je suis caliné et léché de partout, le sujet de déclarations d'amour.
Une seule chose me frustre : l'interdiction absolue de jouir alors que je trique à mort.
"Tu comprends", me ressasse Pierre, "il est nécessaire que tu sois en super-forme et doté d'une crème abondante pour montrer aux futurs Confrères que tu sais être un mâle plein de force et de sève".
Soit, mais c'est difficile à subir .... d"autant qu'après avoir définitivement déculé pour la soirée, Perre enfonce le god de nacre grise que je devrai garder toute la nuit et me sodomise la gorge pour y déverser un foutre épais dont la saveur calme mes regrets de ne pas pouvoir me vidanger.
Le petit matin est sage.
Pierre fait ma toilette sans excitation, même si ses gestes éveillent mes sens.
Il talque mon anus pour lui ôter toute irritation née des enculades de la veille et du port nocturne de mon plug, il donne quelques coups de ciseaux sur ma toison pubienne pour en faire un triangle parfait et élaguer quelques poils un peu trop longs. Il me frictionne d'eau de Cologne , me rase de près.
Bref, Pierre et moi, nous me trouvons finalement très beau, masculin/féminin tel que nous le désirons.
Peu après 13 heures, nous partons au terme d'un déjeuner léger préparé par les deux femes qui me félicitent pour, tout à la fois, ma prestance et ma grace, la superbe harmonie de mon corps.
Nous buvons, l'un et l'autre un élixir d'amour, concoté à base de gingembre et plantes aphrodisiaques.
Pour le trajet, je remets mon pantalon de toile, ma chemise blanche et le blazer laissés la veille dans la voiture.
Quant à Pierre, il porte avec élégance et aisance un smoking dont la couleur noire est contrastée par une noeud-papillon et une large ceinture de soie, tous deux de teinte mauve.
A 14 heures 30, loups sur les yeux, nous sonnons au portail d'une belle propriété sise dans la campagne entre GEX et DIVONNE les BAINS.
Sam 7 Fév 2009 - 22:28