Chapitre Quatrième : Le très secret LIBERTINAGE de la C.I.A.
(Confrérie Internationale de l'Amour)
Accueillis au portali du castel par le Secrétaire de la CI..A., déja paré de ses loup et toge, nous somms conduits, Pierre et moi, dans une chambre où je suis convié à me dénuder complètement et à revêtir une sorte de djellaba en lin blanc.
Elle se ferme sur le devant par des boutons-pression.
Très ému à la perspective d'accéder, enfin, à la Confrérie, mon bo-quadra me donne des baisers tendres et, à l'aide d'un vaporisateur, m'asperge de myrrhe.
Peu avant 15 heures, Pierre et moi, nous sommes introduits dans une pièce qui tient du temple et de la salle d'audience.
Main dans la main, debout face à une estrade, nous voyons arriver en cortège 15 personnes, dont 4 femmes, tous "enloupés" et "entogés", lesquelles personnes prennent une place assise sur la tribune.
Une fois que ce petit monde est installé et que nous l'ayons salué d'une courbette, Pierre - toujours en smoking - se positionne derrière moi, remercie l'assistance de nous recevoir, déclare que notre surnom dans le groupe sera Castor (lui) et Pollux (moi) avant de promettre que nous nous engageons à suivre tous les réglements de la compagnie
Le Grand-Maître nous fait alors préter un serment à genoux, puis demande à Pierre-Castr de présenter son Pollux.
Collé contre mes dos et reins, il ondule légèrement pour me faire sentir son excitation, tout en passant les bras sous mes aisselles afin de défaire les premiers boutons de ma longue tunique et laisser apparaître ainsi mon torse finement musclé et imberbe, mes jolis aréoles et tétons ... dont il vante, à juste titre, la sensibilité.
Mon linge poursuit son ouverture et glisse sur mes épaules.
En face de moi, chacu est attentif à ce "désapage", voyeur manifestant son intérêt par des yeux exorbités et des langues passées sur les lèvres.
Portée à ma petite personne, cette attention coquine croît naturellement lorsque mon sbas-ventre est découvert, que sont dévoilées ma toison élaguée par Pierre dans la matinée, ma queue glorieuse de majesté sous l'effet des aphrodisiaques bus lors du déjeuner, mes couilles fermes, rondes et lisses.
Des "Oh" admiratifs fusent de chaque côté du Grand-Maître et des joues deviennent écarlates de concupiscence.
Tout cela flatte mon "ego" et me fait triquer, mouiller, davantage encore.
Devenu exhibitionniste et fier de montrer comme je suis beau, je laisse volontiers Perre-Castor me retourner face à lui et offrir ma superbe chute de reins, ma belle croupe, aux regards des membres de la C.IAI
lIl me fait me cambrer, écarte mes fesses de ses mains pour dégager mon cul/chatte dont il avait, le matin, rasé les quelques poils.
Ensuite de cela, me présentant à nouveau face à l'assemblée, ma hampe tendue vers elle, il déclare que, débutant en amour, je suis déja habile et endurant. Il termine son propos en ajoutant que, lui et moi, nous seront honorés de faire partie d'un groupe aussi "select que celui de la C.I.A. et dévoués à ses désirs.
La séance est alors levée et, tous, nous gagnons un salon. Un buffet y est dressé.
Au fond de la salle, il est une grande alcove. Dans la pénombre, elles est meublée de larges canapés et de "poufs".
Je demeure nu, tous les autres participants au conktail, après avoir quitté leurs toges, étant en smokings ou robes noires de soirée.