Tout en déambulant dans le domaine, nos pas nous conduire vers un chemin en cul-de-sac qui se terminait par un bloc de garages.
A l’arrière de ceux-ci, une plantation d’arbustes semblait cacher un mur qui délimitait la résidence.
Dans la plate bande de pelouse se traçait sur l’herbe un petit chemin conduisant l’arrière des garages.
Mon compagnon de promenade me dit, « On va voir où il conduit ?
- Si tu veux.
Nous avions tous deux la même pensée, mais ni l’un, ni l’autre ne l’avait exprimée de vive voix.
Il lui emboîta le pas et le suivi, longeant les garages finalement ils arrivaient au pied d’un énorme pin parasol, l’endroit devait être le refuge des ados pour des rendez-vous dans le secret, une haie de genévriers taillés faisait écran aux regards indiscrets.
Son compagnon de promenade s’approcha, et de ses mains lui enserra tendrement le visage posant ses lèvres sur sa bouche.
Il ne put résister à cette invitation, de ses bras il le pressait tout contre lui tandis que leurs langues s’enchevêtraient dans la passion d’un tendre baiser.
Ils en perdaient presque halène tant le désir avait prit possession de leurs corps dans cette étreinte sa verge bandante taquinait de mouvements lovés celle de son compagnon qui tout comme la sienne déformait de sa vigueur l’étoffe de son froc.
Quand il se mit à boursicoter mon service trois pièces, je savais où nous allions en venir, je me ressaisi car après le jeu de nos caresses, ils nous faudrait rejoindre nos hôtes.
- Je crois que nous devons freiner notre ardeur et attendre demain.
- Tu as raison, la discrétion est la clé du secret des hommes comme nous.s.
Ils firent ensemble un bout de chemin avant de se séparer pour rejoindre leurs amis.