Comme il aimait la rondeur de cette chair moite et chaude qui semblait vouloir se fondre en lui
Jean cessa de l’embrasser, se fit rouler à côté de lui et retira ses vêtements, et nu il revint sur Ben.
- Non ! Reste là, à côté de moi, que je puisse savourer du regard ton corps.
Ben flashait face à cet homme rond et costaud, misère ! Il avait tant fabulé sur cette rencontre.
- Comme tu es beau ! … tout en retraçant des mains les courbes de son corps, il lui dit, « J’adore ce large ventre rond, tes pectoraux puissants, lourds qui se masquent sous ta toison de poils.
Jean sourit en disant, « Tu es le premier à me le dire que ma rondeur est belle, et cela me touche, car trop souvent les mots son absents dans une relation entre hommes, Je te plais vraiment ? »
- Oh oui ! Que tu me plais, tu es ma plus belle rencontre.
- Bonne mère ! Avec tous tes mots, j’ai encore plus envie de toi.
Jean de la langue, lapait le corps de Ben, tel un chat lapant un bol de lait, il venait taquiner du bout de la langue ses tétons survoltés de cette lèche sensuelle.
Tranquille, il la promenait sur cette chair s’offrant à ses caprices, les mains plantées sur ses hanches, il la laissait courir sur ce ventre se saccadant au rythme de ses caresses.
Dérivant dans le poil pubien, il y enfonçait son nez pour humer l’odeur mélange subtil et aphrodisiaque du parfum de son amant.
Ne résistant plus à sa gourmandise, sa langue rampa sur cette barre dure pour venir déguster ce gland rose demandeur d’une mise en bouche.