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 L'Héritage de pierres et d'amour 6

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Masculin Balance Dragon
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MessageSujet: L'Héritage de pierres et d'amour 6   L'Héritage de pierres et d'amour 6 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 20:52

Il contourna le lit sans dire mots et s’engouffra sous l’édredon, Martin se pâmait au contact de ce corps lourd et puissant qui se blottissait contre le sien.
De ses mains charnues, Olivier effleurait de tendres caresses son visage, laissant sa bouche se fondre sur la sienne, tout en l’embrassant avec passion, ses mains patouillaient les épaules de son amant pour venir l’enserrer de ses bras, de pressements délicats, il fusionnait leurs corps tandis que sa langues gourmande savourait cette bouche s’abandonnant dans ce baiser sulfureux.
Martin ne demandait qu’à être consommé par cet homme qui dés le premier regard avait attisé son désir de lui appartenir, maintenant, leurs corps nus se mouvaient, ondulant l’un contre l’autre, cet amalgame de chair brûlante était divin, dans cette communion corporelle, il sentait les tétons durs comme du bois de son complice lui badigeonner le torse.
De gestes ciblés il invitait Olivier à se mettre sur le dos, pour le chevaucher, l’extase était à son comble, que cet homme était beau comme il était heureux dans ce jeu d’amour.
Tel un peintre de sa palette œuvrant sur une toile, il redessinait de ses doigts les courbes de ses seins, la paume de ses mains trainait dans le duvet de ce torse pinçant du bout des doigts dans ce voyage les tétons durs comme le roc de son bel amant, pour au final de gestes rotatifs caresser ces rondeurs pectorales.
Quand il se mit à happer de la langue cette chair onctueuse descendant lentement sur ce corps soumit, il planait jamais un homme n’avait ébranlé son corps et son esprit d’un telle passion.
Son sexe en érection se modelait comme un bâton de terre glaise sur le bas ventre d’Olivier, et son plaisir s’intensifiait en sentant la verge bandante de son amant vibrer entre ses fesses.
Lorsque sa langue quitta le poil pubien, pour laper voluptueusement ce pénis, des frissons lui parcouraient les reins, oh oui ! Comme il aimait ce jeu, avec frénésie son dard se mit à lécher le gros bonnet rose de cette bite laissant fondre ses lèvres sur cette barre délicieuse.
De cette prise en bouche, Olivier laissa échapper un '' ouiii '' joui tif qui ravi Martin dont la bouche pleine ne pouvait dire mot, mais il n’en pensait pas moi.
Ses lèvres épousaient le gland de ce beau calibre y limitant ses sucions, tandis qu’une de ses mains boudinait cette bite en délire, harmonisent ses mouvements, il faisait exploser son partenaire qui se tortillait tout en lui caressant la nuque.
Olivier restait maître de son orgasme domptant l’éjaculation, il s’agitait comme une marionnette dont sa jouissance articulait les ficelles.
Leur corps se couvrait de cette belle rosée jouit ive que seul deux amants en harmonie pouvaient sécréter repoussant les limites pour atteindre le septième ciel.
Le souffle court, aux râles mélodieux, Olivier s’agrippait avec force aux épaules de Martin laissant les mots exprimer son orgasme tandis que son sperme de giclés volcaniques inondait l’organe de son amant.
Martin envouté, dans son extase, suçais encore et encore cette bite tout en déglutissant le breuvage de la fiole de ce filtre d’amour.
Olivier enserra son visage entre ses mains en disant, « Viens ! Je veux te sentir en moi ».
Il refit le chemin,en sens inverse après cette descende sur ce corps sublime, maintenant il le gravissait entrainent dans cette ascension le sperme de son ami qui s’incorporait à la transpiration de ces corps échaudés de cette joute sexuelle.
Martin entrouvrit sa bouche et tout en posant ses lèvres sur la bouche d’Olivier se mit à la fouiller de la langue, ce baiser était comme un arc électrique entre les deux amants.
Olivier glissa un coussin sous ses fesses, replia les jambes tout en les écartant, et d’une main douce comme le satin, il saisit la verge de Martin la conduisant vers son défilé charnu la faisant entrer en douceur dans son intimité.
Martin se cambrait, et de petits coups de reins cadencés s’enfonçait en lui, le regard livide de jouissance, il pénétrait cette grotte du mont joufflu, d’aller et venues rythmiques, semblables à un métronome, sa bite battait la mesure du tempo de son corps affolé de cette orchestration d’une valse à deux temps.
Leurs mains s’enchevêtraient sous l’ivresse de ce corps à corps, scotchées l’une à l’autre leurs bouches perdaient haleine sous la puissance de leur baiser.
Martin anéantit par tant de jouissance, sentait son corps perdre toute résistance face à son sperme qui lui brûlait les entrailles, dans un charabia où prônait les " ho ouiii ", de coups de reins vibratiles sa verge projetait son nectar dans le détroit du fessier de son tendre complice.
Reprenant son souffle il murmura à l’oreille d’Olivier, « tu es merveilleux » et l’embrassa.
- Toi aussi Martin tu es merveilleux, nous avons fait l’amour avec une passion que je n’avais jamais partagé avant toi.
Blottit dans les bras l’un de l’autre, nos deux amants se bécotaient laissant leurs mains exprimer tout le charnel de leur jeu d’amour.
Et Martin s’endormit lové dans le bras d’Olivier.
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MessageSujet: L'Héritage de pierres et d'amour 7   L'Héritage de pierres et d'amour 6 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 20:55

Au petit matin, Martin fut éveillé par le soleil s’infiltrant par la fente des persiennes venant danser sur son visage tandis que l’odeur du café embaumait la chambre, Olivier avait déjà quitté la couche de leurs ébats amoureux.
Il s’assit sur le bord du lit, s’étirait les bras encore sous l’emprise de cette nuit merveilleuse, puis de ses mains il ébouriffait ses cheveux comme pour revenir les pieds sur terre, il mit sa chemise, enfila son pantalon et passa de la chambre à la salle à manger où les deux hommes étaient attablés devant un bol de café.
Alors ! dit Ferdinand, « tu as bien dormis ? Olivier n’a pas trop ronflé ?
- J’ai dormi comme un ange, peut-être la faute du rosé ! Où ce merveilleux rêve que j’ai fait que les ronflements d’Olivier n’ont pas troublé.
Il fit un clin d’œil discret en souriant à Olivier.
- Tu vois ! Martin a passé une bonne nuit malgré mes soit disant ronflements, j’y a que toi qui les entends et je me demande comment d’ailleurs ! Puisque nos portes sont fermées.
- N’écoutes pas Martin ! Manges un bout, même la bouche pleine ce gros bêta dit des bêtises.
Olivier déposa un bol de café noir devant son compagnon de nuit, « si tu veux prendre une douche, je t’ai mis un drap de bain sur le lavabo ».
- Merci Olivier, je crois bien que je vais rester quelques temps pour vider les armoires et repeindre les pièces.
Olivier lorgnait tout en sourire, « j’en suis très heureux, si tu veux je pourrai t’aider pour les peintures ».
- D’accord.
- On te laisse la maison Martin, nous on va à la vigne, dit Ferdinand.
Une fois qu’il eut pris sa douche, il débarrassa la table fit la vaisselle puis fit le lit tout en rêvassant sur cette merveilleuse nuit, et quitta la maison pour gagner sa nouvelle demeure.
Il ouvrit son sac de voyage et changea de linge de corps et de chemise, fin près, il commença à faire l’inventaire, il était étonné dans la cuisine tout était impeccable, il n’y manquait rien, pour un homme qui vivait seul, il devait aimer cuisiner, là ! Ils avaient un point commun avec le cousin.
Dans la salle à manger tout en fouinant dans les meubles, il ouvrit les tiroirs de la commode, et surpris il se trouvait un nouveau point commun avec le cousin, il était ordonné et méticuleux dans le rangement, dans le tiroir du haut il y avait la télécommande de la télé, un lampe de poche, deux bougies son carnet d’adresses et un bottin téléphonique.
A côté une ancienne boîte rectangulaire à biscuits en fer dont les dessins avaient en partie disparus avec les ans, en couvrant cette boîte Martin découvrait de vieilles photos en noir et blanc.
Il se mit à les regarder, c’était des photos de famille les parents de Roger et celle d’une très jolie jeune fille sur certaines le cousin était à ses côtés la main posée sur son épaule sur ces photos il devait avoir une bonne vingtaine d’année.
Surpris, Martin découvrait une photo de leurs deux prises lors de ces fameuses vacances à la ferme, cela le faisait rire de joie et remémorer cet inoubliable mois de juillet.
Sous la pile de photos, il y avait une lettre, il déplia le papier jaunit par le temps et de sa lecture les larmes lui emplirent les yeux, c’était une lettre de rupture où plutôt de renoncement à un amour.
Elle lui demandait de ne pas chercher à la revoir, leur amour était impossible, car son père avait décidé de la marier à un autre homme, elle écrivait que même mariée à un autre celui-ci ne pourrait posséder que son corps car son cœur venait de se refermer sur un amour immortel.
Elle terminait sa lettre en disant que ses larmes rendaient l’encre plus claire sous sa plume, mais que le soleil de leur amour brillerait jusqu'à la fin de ses jours
Martin en avait le souffle coupé par cette déclaration d’amour d’un romantisme d’un autre temps, il replia la lettre et la remit dans la boîte sous les photos de son vivant cette boîte ne quitterait pas le tiroir.
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