Les parents de Marc n'ont jamais partagé l'optimisme du vieux Jules et, lors de leur séjour d'été 1939 en VALROMEY, n'ont pas cessé de manfister leur inquiétude devant la menace d'une guerre :
les pitreries de DALADIER les ont fait "rire jaune" et
leur confiance s'avère inexistante à l'égard la ligne MAGINOT et des valeurs prétendues de l'armée française.
Aussi ont-ils décidé de rentrer seuls sur PARIS, d'inscrire leur fils en "Première" au Collège de NANTUA, de le confier à la garde de Jean et Mathilde qui, hors la période estivale, demeurent dans la cité, Jean - frère ainé du père de Marc - y exerçant la profession de Médecin-généraliste.
Le jeune adolescent vient d'avoir quinze ans, a de l'avance dans ses brillantes études et n'est pas mécontent de quitter l'établissement de Jésuites où il avait commencé son cursus secondaire, la sévérité de ses anciens professeurs et de son père, le caractère triste et "calotin" de sa mère.
Bien fait, joli blond un peu bouclé, mince avec une croupe agréablement cambrée, déjà doté d'un 15x4, il est manifestement tentant pour les amateurs de "chair fraîche" et, peut-être, n'aurait-il pas résisté à des provocations s'il en avait été le sujet.
Mais, à sa conscience tout du moins, il n'eut pas de telles occasions et dut se contenter, jusqu'alors, de la "Veuve Poignet" .... au demeurant souvent mise à contribution.
Ainsi le bel adolescent est totalement puceau lorsqu'en fin d'après-midi du 3 Septembre 1939,
après avoir ramassé des champignons et ouï le tocsin annoncant le début de combats,
il trouve sa tante Mathide, robe/tablier déboutonnée, les seins et le ventre nus, une main fouillant sa chatte dans sa culotte noire et que,
tétanisé devant ce spectacle, il entend un "Viens" dont il a du mal à concevoir la réalité.