Jusqu'à une heure avancée de la nuit du Samedi au Dimanche, Jean et Marc goûtent, tête bêche, aux "lapes" qu'ils avaient tant appréciées la veille au soir, mais il y ajoutent avec timidité au départ, puis assez frénétiquement, le cunilinguisme réciproque.
Pour chacun d'eux, il s'agit-là d'une découverte :
Jean pratiquait le léchage de cul avec Mathilde, son épouse, mais ne s'y était pas risqué - et n'en avait pas éprouvé le désir - lors de ses expériences bi-sexuelles.
Quant à Marc, il n'avait pas été initié à ce jeu de langue par sa tante Mathilde.
Toujours est-il que les deux amants trouvent rapidement un plaisir inimaginé à déguster l'antre de l'autre, imberbe pour le jeune garçon et velue pour son senior.
Dans le même temps, il se rendent compte de la sensibilité des anus ainsi offerts, de la dilatation provoquée par la douceur de salives.
Cela les porte à se doigter légèrement en se suçant, jusqu'à faire jaillir les sèves dans leurs bouches devenues très gourmandes.
Le lendemain matin Jean, en costume/cravate, et Marc, en pantalon de toile, chemise à col ouvert et blazer, se rendent à l'Office dominical en l'Eglise Saint Michel de NANTUA .... sans pour autant avoir le sentiment d'avoir pêché.
Le curé étant malade, la messe est célébrée par le Vicaire, un beau trentenaire qui, non sans quelques arrière-pensées, embauche Marc comme Enfant de Choeur .... fonction qu'il exerçait auparavant à Saint François-Xavier de PARIS.
Le temps est asez clément, ensoleillé même, en sorte que Jean suggère une randonnée pédestre sur le plateau de Chamoise.
Cette idée enchante Marc et, après avoir préparé un solide "casse'croute, revêtu short kaki aux larges jambières, comme on le faisait alors, et pull de laine, oncle et neveu partent dans la montagne.