Le retour de Jean clot la discussion retive au Vicaire, Marc et Mathilde désirant apporter au Docteur, désrmais délivré de sa garde, tous les soins attentifs mérités après le travail.
Dès que; nu comme les deux autres, le Médecin a rejoint sur le lit ses épouse et neveu, ceux-ci s'empressent de le caliner, lécher, palper, embrasser et sucer en un concerto de jeu des mains, lèvres et bouches.
Sans doute, cela ne le repose pas physiquement, mais lui apporte un détournement du souci de ses malades et des sensations merveilleuses qu'il manifeste par des gémissements, un frémissement de tout son corps et un raidissement de ses splendides 22X6.
Quant à Marc et Mathilde, ils se régalent notamment à la dégustation conjointe des"trois-pièces" vibrantes de leur troisième partenaire
Entourant le Maître de Maison, les deux entreprenants lui font comprendre leurs désirs : pour l'un, d'enculer "Tonton" et, pour l'autre, " de se faire sodomiser par son mari.
Un train d'enfer se constitue, Marc étant à l'arrière, queue dans le cul de Jean et Mathilde à la tête, dard de son homme au fond des fesses et chatte fouillée des doigts par celui-ci.
C'est torride et la femme en chaleur ne tade pas à crier un orgasme qui inonde les majeur et annulaire de Jean.
Les deux mâles ont appris à maîtriser leurs sèves et gardent leurs jouissances, la dureté de leurs bites pour changer de position.
L'adolescent se trouve maintenant au centre du cercle des trois débauchés et lime le con encore trempé de sève féminine ... en se faisant défoncer le fion par l'organe envaseliné de Jean.
Tout est à nouveau "géant", presque "hard", et très sonore : heureusement que la villa est vide de tous autres occupants !!!
Quand, ne pouvant plus se retenir, Jean se répand abondamment dans les jeunes entrailles, Marc se vide aussi et mèle son foutre juvénile à la liqueur d'un second orgasme de Mathilde.
Il est désormais temps d'aller manger une bonne soupe, puis de dormir sagement, Marc dans son petit studio du 1er étage et, au-dessus, ses amants dans leur chambre conjugale aérée quelques instants pour la libérer des senteurs de l'amour.