Hans sait bien qu'il n'obtiendra le coeur et le corps de Marc que par la douceur et la tendresse.
Il n'est pas question pour lui de brûler des étapes par des gestes inconsidérés que le jeune homme, qu'il veut séduire et croit puceau, pourrait considérer comme une sorte de viol ou refuser par simple dégoût.
L'Officier allemand s'estime déjà bien heureux d'avoir pu amener le lycéen dans sa chambre dès le premier soir du départ de ses oncle et tante,
de se trouver avec lui, nus et enlacés après un massage/ prétexte,
de passer maintenant sa langue entre les lèvres de son compagnon et de caresser doucement son visage.
Certes, le Teuton avait ressenti rapidement le trouble de Marc en sa présence, une sorte d'émoi qui s'était concrétisé durant le repas des instants précédents .... mais il lit maintenant dans le regard du garçon les signes d'un amour naissant, d'une attirance, d'un appel à l'affection.
Et tout cela ne doit pas être gâché.
Tout en continuant ses baisers, Hans flatte sa proie, lui murmure qu'il est superbe, que sa peau est douce, qu'il est charmant, qu'il donne envie de l'avoir pour ami et confident.
Marc ne répond pas.
Regardant toujours intensément son Senior, mais estant réunies dans son cou, il tremble, frémit, se raidit parfois et au lieu de s'écarter du recto de Hans, se blottit presque contre lui.
Hummmm, que tout cela est merveilleux : cette poitrine juvénile frôlant celle virile, mais imberbe, du guerrier,
cette jeune queue dont la mouille coule un peu sur le ventre de ce même guerrier et
celle de celui-ci qui caline les cuisses et couilles lisses de l'adolescent sans que ce dernier semble s'e offusquer.
Sans quitter d'une main le doux visage de Marc, Hans descend l'autre à ses reins, puis à ses fesses.
Déja sensible aux massages sur ces rondeurs, Marc frissonne, émet un gémissement.
Alors, le Germanique ose bafouiler : "Ouiii Marc; abandonne-toi, nous sommes là pour être très bien ensemble"..