Lors des trois semaines suivantes, à cheval entre Septembre et Octobre 1939, Marc se rend progressivement compte que Mathilde avait vu juste au sujet du Vicaire et qu'à chacune de leurs rencontres, celui-ci le scrute intensément.
A l'issue des Offices, quand ils sont seuls, le prêtre se risque à quelques gestes affectifs, tels la pose d'une main sur une épaule, deux doigts sur la joue ou débroussaillant les cheveux, des frôlements dans le dos, voire quelques bisous à la commissure des lèvres.
Tout cela interpelle l'Enfant de Choeur, crée aussi quelques désirs et érections heureusement masquées par l'aube .... même si Marc demeure très attaché à son oncle Jean et aux satisfactions sexuelles qu'il lui procure.
Lors des rencontres à trois, Marc est toujours super-excité d'être sodomisé par Jean tandis qu'il lime le con ou le cul de sa tante : il apprécie d'être en sandwich et de jouir ainsi dans les cavités de la femme, tant recto que verso.
Mais, tant qu'à faire, l'adolescent préfère être seul avec "Tonton",
partager en duo de somptueux 69 et cunilinguismes,
s'offrir totalement devant une glace et
se faire saillir de face pour admirer la belle queue de son senior aller et venir plus ou moins vivement dans son cul désormais ouvert à tout,
d'être embrassé pendant qu'il est baisé.
Sans en être jalouse, Mathilde s'inquiète un peu de cet amour exclusif du garçon à l'égard de son mari et songe toujours qu'une relation entre Jacques, le Vicaire, et son neveu serait la bienvenue.
Lors du repas dominical auquel Jacques fut convié, elle eut confirmation de l'intérêt porté par celui-ci au charmant Lycéen et,
lorsqu'elle apprend qu'à la faveur des congés dits de Toussaint, le prêtre envisage de passer quelques jours près de LYON, dans une propriété de sa mère, elle s'empresse d'insinuer que le changement d'air ferait un excellent bien au jeune homme.
Cette suggestion ne resta pas sourde dans l'oreille du Vicaire.