En voyant avancer le jeune Marc vers son lit, Jacques se rend bien compte que la protubérance de son caleçon ne laisse pas le garçon indifférent et qu'il commence même à bander dans son pantalon de pyjama.
"Hummm" se dit le Vicaire en tendant les bras vers son Enfant de Choeur et l'invitant à monter près de lui sur le pieu, plutôt que de rester debout sur son côté comme quelques instants auparavant, les deux hommes l'avaient fait en allant embrasser la grand-mère dans sa chambre.
Marc, qui se doute de ce qui l'attend et le désire même, n'hésite pas à venir s'allonger auprès de son prêtre préféré et se coule vite contre lui, heureux de sentir les bras de son compagnon se refermer dans son dos et des lèvres se coller contre les siennes.
Des hauteurs de NANTUA, sur le plateau de Chamoise, Jacques avait secrètement vu l'oncle et le neveu en train de "se faire des choses", se bécoter et se sucer, mais il n'avait pas imaginé que le Lycéen était déjà aussi "pro" en matière de relations physiques entre hommes.
C'est donc avec une excellente surprise qu'il constate l'art d'embrasser de son compagnon, l'habileté avec laquelle il sait méler sa langue à la sienne et la saveur de l'haleine fraîche d'un adolescent.
Les boutons de la veste du pyjama de Marc sont défaits sans la moindre résistance et, se courbant légèrement, Jacques prend grand plaisir à caresser le torse imberbe et finement musclé, à poser ses lèvres sur des tétons si sensibles que le jeune homme frémit et gémit aussitôt.
Ce dernier s'abandonne totalement :
il se redresse un instant pour qu'on lui enlève sa chemisette de nuit, laisse son aîné délacer la ceinture en toile de son pantalon et l'ouvrir, puis soulève ses fesses pour aider son déshabilleur à le mettre complètement nu.
Jacques contemple émerveillé ce corps si beau, si lisse, le joli sexe dressé et environné de quelques poils adorablement bouclés, les couilles rondes et fermes.
"Que tu es beau" murmure-t'il en palpant délicatement les chairs offertes et frémissantes sous ses doigts.
A genoux sur le côté de sa jeune proie, Jacques en prend possession, digitalement et buccalement, excité par les réactions de son petit amant, ses râles, ses frisonnements, ses coulées de mouille, les vibrations de la queue autour de laquelle il enroule doucement sa langue.
De temps à autre, il lève la tête pour sourire à Marc, lui donner un baiser, lui balbutier des "Oh, mon chéri" et l'autre en profite pour mater le beau poitrail de Jacques, aussi athlétique que celui de son oncle Jean, mais imberbe.
Il est également séduit par la déformation devenue énorme du caleçon dans la fente duquel on aperçoit un gland turgescent et humide.
Alors, il n'hésite pas à passer une paume de main sur cette superbe bosse.
Le Vicaire sursaute à ce geste espéré et s'empresse d'activer la pression qui fermait son dessous, de le faire glisser.
Désormais aussi nu que son charmant voisin, il s'étend contre lui, entrelace ses jambes avec les siennes, caline les adorables fesses de son partenaire, joint sa belle bite à celle plus modeste mais tellement mignonne du cher Marc et avant de l'embrasser presque fougueusement, bégaie un
"Oh, petit amour, il y longtemps que je te souhaitais comme ça dans mes bras".