Ayant constaté digitalement que l'adorable petit cul de Marc était souple à souhait et avait fait l'objet d'une belle lubrification par la langue de Jacques, Philippe éprouve le désir impérieux de sodomiser.
En l'embrassant amoureusement, le Vicaire fait mettre à quatre pattes son joli Enfant de Choeur, lui écarte les fesses à pleines mains et les offre à leur hôte du moment.
Celui-ci commence à exciter la rosette rose et finement bourrelée en l'humidifiant avec la mouille de son gland, puis s'enfonce lentement dans le canal.
"Oh que c'est bon", murmure le sémillant quinquagénaire, ravi de pénétrer sans peine une cavité étroite, mais parfaitement accueillante, d'entendre l'adolescent râler de bonheur contre les lèvres de son Curé et onduler pour mieux recevoir le puissant pénis.
Alors que les couilles velues du Senior butent contre les parois lisses de son adorable enculé, Jacques se met à genoux et donne sa bite à la gourmandise de Marc.
Ce dernier semble enchanté de cette double emprise.
Pour la première fois, il a une queue dans les entrailles et une autre en bouche.
Il en savoure les délices et, loin de sentir "utilisé" abusivement, il se sent honoré d'être tant désiré.
Très endurant et puissant, Philippe n'hésite pas à "défoncer" Jacques quand il le saillit, mais il réfrène ses impulsions avec le jeunot et se contente de mouvements amples de la queue.
Lorsque Jacques se couche sur le dos, tête entre les cuisses de Marc, Philippe - sans déculer - parvient à placer le garçon en 69 au-dessus du premier.
Les fellations vont au rythme de la lime et les gémissements des deux suceurs sont étouffés dans leurs gorges bien remplies.
Seules les criailleries et les mots crus de Philippe viennent troubler le silence de la chambre.
Au même moment, le Lycéen reçoit le foutre de ses partenaires.
De chaque côté, il est si dense et épais qu'il en ressort des deux trous inondés, tandis que Jacques se gargarise de la semence écoulée par son juvénile amant.