A faire successivement l'amour avec Hans, Jacques et Jean, le jeune Marc pourrait être déboussolé, repu ou lassé de sexe;
A espionner son Officier allemand tout en étant follement épris de lui, il pourrait éprouver quelques scrupules et mauvaise conscience;
mais le Lycéen assume tout cela sans états d'âme et vit pleinement ce qu'il fait, ce qui lui est offert aussi, jours et nuits.
Si l'affection portée à son Oncle Jean et au Vicaire Jacques demeure intacte,
si les plaisirs sexuels échangés avec eux sont toujours enchanteurs,
ils ne sont pas comparables à la passion qui unit désormais Marc et le Teuton.
Sauf pour dormir, ils ne passent pas une minute ensemble sans éprouver le besoin de se murmurer des mots d'amour,
d'exprimer leurs sentiments par un doux baiser, le frôlement d'un doigt sur le visage, l'épaule ou le torse.
Le désir l'un de l'autre est constant.
Dès qu'en fin d'après-midi, Hans est libéré de ses occupations, l'ivresse des corps emporte les deux amants.
D'une manière générale, Marc attend son ami dans son petit studio,
vient l'accueillir en robe de chambre à la porte de séparation entre les deux logis ou le laisse pénétrer dans sa chambre alors qu'allongé sur le ventre, il est nu sur son lit.
Quelle émotion sans cesse renouvelée, quand les lèvres du Militaire se posent sur celles de son petit chéri !!!
Quels émois partagés lorsque des mains douces défont la ceinture du peignoir de Marc ou,
que s'étant assis sur le rebord du lit, Hans embrasse délicatement, palpe doucement, le cou, les omoplates, les reins et les fesses - les fesses surtout -qui s'offrent à lui !!!
Quelle merveille, à l'excitation réciproque, de voir le Germain se lancer dans un lent strip-tease pour retirer son uniforme de S.S.,
mais également abandonner à Marc le bonheur de le déshabiller !!!
Et quelle délectation, toujours partagée, au moment où l'adolescent se contente de sortir les queue et couille de son partenaire, puis entreprend de les caliner, lécher et sucer ... à fond parfois !!!
Avant de dîner en tête à tête, nus ou en robes de chambre, Hans et Marc ne manquent jamais de prendre un apéritif côte à côte, enlacés,
voire de déguster leur nectar dans la baignoire, le cadet fréquemment empalé sur la bite de son aîné.
Couchés tôt, ils prennent le temps de s'aimer ....leurs ébats, mélant tendresse et fougue, étant le meilleur des somnifères.